Oui c'est moi je suis yashiro Uchiha j'ai faillit me faire renvoyait par cette académie qui sert a rien bon rien a signalée a iwa mais j'ai une question a vous poser, que me vaut l'honeur de votre visite ?
Ishiro ne c'était pas trompé, il avait bien senti que la personne qui lui avait fait face dans l'obscurité était bien le contacte d'Iwa, leur entrevue tournait de la même maniére que celui au quel avait participé le nara de l'akatsuki, il se nomait Yashiro... Yashiro Uchiwa, un autre de ce clan déchu, de ce clan aux caractéristiques si spécial. La question qu'avait posé l'étudiant était assez bête en soit, pourquoi un membre de l'Akatsuki viendrait se perdre dans le confin d'un pays qui évoquerait chez lui autant de tristesse ?
"La raison de ma venue ? hum, elle est assez clair, je viens simplement m'assurer que tout fonctionne bien comme prévu, que vous suiviez bien les instructions. Par ailleurs, je viens aussi receuillir quelques informations, mais comme vous l'avez dit, rien à signaler à Iwa... comme d'habitude dans ce village. Bref... veillez à ne pas vos faire démasquer, bien que ce serait trés difficil. Et pour en revenir à l'académie qui ne sert à rien... et bien je dirais que vous avez tord de penser ça, c'est grace à cette fameuse institution que je suis là aujourd'hui..."
Ishiro marqua une pause dans son discours, histoire de vérifier si ils nétaient pas écouté, avec tout les événements qui s'eussent produits ces derniers temps, il vallait mieu prévenir que guérir, ainsi, une oreille attentive ne décelant rien, il reprit un bol d'air et par la même occasion son discours...
"Bon, je peux vous dire que vous avez choisi, si je puis dire, le bon camps, ce serai domage d'avoir à suprimer un élément tel que vous, avec des capacités aussi... spécial... et bien, je n'ai rien d'autre à dire, tout a été dit, je n'ai plus qu'à repartir... ah oui, si vous aviez à parler de moi appelez " Yojimbo " est ce bien compris ?"
Ishiro regarda le ninja avec un regard aussi dur que la plus dur des pierres précieuses, tenant à la main son chapeau de paille à clochettes qui teintaient d'une sonoritée crystaline dans la noiceur d'un moment que l'on appelait nuit.