..:: Discussion & Entrainements d'Ooarashi ::..

Les deux jeunes gens s'installèrent à l'écart de tout. Rien de romantique à tout cela, juste un peu de tranquillité. Entre la fraicheur qui régnait dans le village et la chaleur qui dominait la plage, le contraste était saisissant. Il s'en rappelait encore, la première fois où il s'y était rendu. Son entrainement avec Danzou... Qu'était-il devenu ?

Ils s'étaient posés à l'ombre d'un arbre, près d'un rocher plutôt plat. Le garçon constata en ouvrant les sacs qu'il y en avait presque pour 4 personnes ou 3 gros mangeurs. Il plaisanta.

Ooarashi : Tsukiyo-Sensei vous ne m'avez rien pris ?

Il sourit et commença à déballer les plats encore chauds. Ils les posa sur un grand morceau de tissu qu'il avait tiré de son sac. Il y prit également une grande gourde d'eau. Enfin il aurait pu s'agir d'eau mais il n'en était rien. Elle l'ignorait, cependant à l'auberge dans laquelle avait résidé Raito avant de se rendre à Kumo, ils avaient une cave. Il s'y était largement servi.

Il posa la gourde sur la pseudo nappe.

Ooarashi : Encore une fois merci. I-tada-kima-su !!

Il patienterait jusqu'au milieu du repas pour évoquer les choses dont il avait à discuter.

La jeune femme se mit à genoux en regardant Ooarashi tout mettre en place le fait qu’il sorte une sorte de nappe l’amusa elle n’était pas si pointilleuse, elle qui faisait encore pas mal de chose comme une sauvage mal éduquée, mais c’était assez choquant pour elle de risqué de salir un tissu pour ça. Elle n’en dit pas un mot bien sur même si elle manquait d’éducation elle ne vexait pas les personnes sans raison plus que valable.

Ooarashi s’emblait vouloir casser la glace se n’était vraiment pas le moment de parler de choses aussi bénignes alors Tsukiyo après lui avoir souhaité bonne appétit et qu’il fallait qu’il arrête de la remercier… à son tour engagea la conversation

« Tu ma dit que tu avais rencontré plus Maitre d’armes… Tu as du voir beaucoup de pays ? Et avoir des tas de souvenirs et d’histoires à raconter »

La question de Tsukiyo était des plus simples mais aussi bien calculé, un homme ne passe pas sa vie à courir les villages sans en avoir gardé un peu de savoir au moins dans le visuel. Elle voulait en savoir plus sur lui avant de devoiler quoi que se soit sur son village.

Il sourit à la question. Les choses venaient d'elles-même et il n'aurait pas à batailler pour en venir au sujet principal. Mais peut-être était-ce trop simple. Il demeura prudent et se promis de le rester jusqu'au bout.

En attendant, il avalait goulument son repas. Il avait réellement faim. Puis il s'arrêta en se sentant observer. Évidemment, la jeune femme attendait la réponse à sa question.

Ooarashi : Désolé...

Il gloussa puis reprit.

Ooarashi : J'ai parcouru principalement l'archipel du Pays de l'Eau. C'est une région qui a subit de nombreux désastres. Le principal village Ninja a fait par le passé l'objet de guerres et de luttes qui l'ont totalement ruiné. Les paysans qui vivent aux alentours n'y voient plus un symbole de réussite mais d'échec. Ainsi, de nombreux sages et autres maitres de l'esprit et du corps, sont venu comme en pèlerinage. Soit pour guider le peuple, soit malheureusement pour l'asservir.

Il marqua une pause et en profita pour avaler quelques bouchées.

Ooarashi : Dans mon voyage j'ai rencontré pas mal d'entre-eux et nous avons échangé nombre de discussions au sujet du sens réel de la vie, de la condition de l'homme. Toutes ces rencontres, malgré mon jeune homme, m'ont permis de me forger un esprit fort, solide et résistant à toute forme d'aliénation.

Tsukiyo écoutait. Soit perplexe, soit fascinée. Lui marqua une longue pause durant laquelle chaque parole devait avoir un écho. Tout était voulu. La conviction pour être réelle doit avoir l'air d'être un choix personnel. Ainsi il avait appuyé sur le mot "aliénation". Ce dernier mot allait prendre toute sa résonnance juste après.

Ooarashi : On vit vraiment dans un monde fou n'est-ce pas ?

La parole était lâchée. Monde de fou, aliénation, esprit fort, sage ou sagesse. Le fil conducteur était fin et presque invisible mais il était réel. Il attendit patiemment de voir si elle s'en saisirait.

La jeune femme écoutait attentivement les propos de Ooarash,i elle le laissait donner ses opinions sur le monde et les pantins qui pensaient tout diriger. La jeune femme avait déjà un avis bien tranché sur tout cela mais aimait écouter l’avis d’autrui. C’était aussi peu être un moyen de ne pas perdre la confiance dans la nature humaine. Mais elle fut stopper net par une question plus que personnelle, il lui demandait son point du vu sur le monde et sa folie… la jeune femme fit un bref pouff de mécontentement, car elle avait parcourut tellement de chemins tellement de village de pleines de montagnes et de forêts avant de trouver Kumo qu’elle avait vraiment un marre profond des gens à tel point qu’elle fuyait toujours la société.

« Je ne pense pas que le monde soit en cause, le monde est la pour accueillir les êtres Humains ou animaux je parle de tous êtres vivant, mais les animaux ne sont pas fou ils vivent sans tout gâcher, la seule folie est humaine à toujours vouloir s’imposer prendre pour ne pas donner avoir sans fin plus encore et encore. La seul folie de se monde c’est nous les pseudos être humains les pseudos roi de l’univers … ‘’Le ton de la jeune femme était dure, froid, méchant, remplit d’une haine profonde quand elle parlait des être humains’’ Les hommes pensent que un autre homme est sur terre que pour mieux l’asservir quitte à le détruire, détruire son passé, son présent et son avenir alors pour se qui est de notre monde je ne vois pas comment des être aussi abjectes qui ne pense cas eux pourraient en prendre soin… » La jeune femme se stoppa elle regardait Ooarashi en se disant

‘’ Roulala ma vieille tu vas un peu trop loin il va croire que tu aimes personnes, en même temps se n’est pas faut tu tuerais bien toutes ses être rien que pour le plaisir de les voir souffrir autan qu’ils ton fait souffrir, allez reste zen mange un morceau décompresse un peu tu t’enflamme’’

La jeune femme recommença à manger sans même demander si Ooarashi était choqué ou embarrassé par ses propos car en final, elle était sur d’avoir raison. Un long silence s’installa avant qu’Ooarashi reprenne la parole

‘

Il fut comme frappé en plein cœur. Mais le choc était des plus agréables. Il n'était donc pas le seul à penser ainsi. Il y avait réellement des gens qui refusaient le monde dans lequel ils vivaient. Il ne s'attendait pas à tant de concordance entre leur point de vue respectif. Il prit son temps avant de répondre. Les prochains mots détermineraient si Tsukiyo détestait simplement cette face du monde ou si elle était prête à le guérir, activement. Si elle était de l'idéologie de Shireisu, ou si elle pourrait elle aussi, lui laisser une chance de changer les choses.

Ooarashi : En effet. Quand je parle d'un monde fou, je devrais dire un monde de fous. Car comme toi je pense que l'homme est la cause de bien des maux...

Il laissa les secondes défilées. Elle devait se rendre compte que loin d'être choqué, il était du même avis qu'elle. Il poussa la discussion un peu plus loin.

Ooarashi : Mais il y a une question à se poser. Beaucoup des êtres que j'ai pu cotoyer ne savent pas exactement comment répondre.

Une pause pour encore mieux laisser aux mots le temps de faire effet.

Ooarashi : L'être humain est-il naturellement l'être abjecte ou... A-t-il été programmé au fil des siècles de notre civilisation à l'être (à être abjecte)...?

Il sentit qu'il l'avait interpelée.

Ooarashi : Le monde actuel, ou plutôt notre société semble bien plus complexe qu'il n'y parait. Tous nos actes, toutes nos pensés, toutes nos façons de voir et concevoir. Rien de tout cela n'est naturel. Il est donc logique de croire que notre attitude envers ce qui nous entoure ne l'est pas également. Tout est de pure fabrication humaine.

Il avala une nouvelle bouchée et se tourna vers la mer.

Ooarashi : Nous ne faisons qu'exécuter ce pour quoi nous avons été programmé. A savoir, créer, consommer et détruire. Vous savez, Tsukiyo-Sensei, je crois profondément que l'homme est un être dont le point fort est également le point faible. Notre conscience, notre libre arbitre. Parmi les animaux, même les plus sauvages, tout acte entre dans une logique plus grande qui sert forcément à l'ensemble. La chaine alimentaire permet par exemple la régulation des ressources naturelles. Mais la façon de vivre de l'homme perturbe tout l'équilibre, tant naturel que spirituel. Il n'y a qu'un responsable à mes yeux.

Elle attendait la suite.

Ooarashi : Ceux qui ont créé cette façon de vivre, ce mode de vie. L'homme, par sa conscience et son libre arbitre, a compris quels étaient ses avantages sur les autres créatures naturelles. Il peut décider. Certains ont été corrompus dès l'origine par le Mal. Le Mal avec un grand M. Il ne s'agit pas de démons. Les démons font partie de ce monde ou d'un autre lié au nôtre. Il s'agit de cette force dont rien ne nait. Tout y est détruit. Le Mal. Celui qui ronge tout. Ces êtres corrompus ont monté tout notre système de vie actuelle. Regardez, malgré que cela soit contre nature, nous tuons sans besoin de se nourrir, nous détruisons sans recréer, nous faisons de nos congénères des brebis décérébrées pour mieux les exploiter. Le fait même d'avoir créer des mots tels que la Guerre, la Misère, la Richesse, le Pouvoir... Que de notions qui n'ont rien à faire parmi nous, êtres égaux, êtres sans plus ni moins de droits que les autres de cette terre...

Il se rendit compte qu'il avait totalement monopolisé la parole. Alors il s'interrompit et ne finit que par une dernière chose.

Ooarashi : De la naissance, et bien avant, jusqu'à la mort, et même après, nous ne faisons que servir ces idéaux qui ne devraient pas être les nôtres... L'homme est mauvais, mais ce n'est pas de nature. L'enfant ne devient mauvais qu'à partir du moment où il conçoit, et donc qu'il comprend et intègre le système dans lequel il vit. Comment réagirait-il et grandirait-il dans un système différent, plus proche de la Nature ? Ce libre arbitre est simulé. Sommes-nous en définitive, réellement libre dans un monde tel que le nôtre ?

Il avait tout dit. Il tendit la gourde à Tsukiyo. C'était tout un symbole. Après le discours, le geste. Comme une main tendue. Acceptait-elle ou réfutait-elle sa thèse ?

La jeune femme gardait toute sa rancune depuis des années sur les gens en général, mais elle savait au fond d’elle-même que tous n’étaient pas si néfaste il devait bien y avoir quelques personnes correcte dans se monde. Comme les gens qu’elle voulait protéger dans son village, mais la pensée de laisser certaine personne vivre malgré leurs façon d’être était plus dure encore que de sauver les bonnes personnes. Le nouveau venu dans son village lui faisait recaser des choses qu’elle se battait pour enfouir au fond d’elle depuis bien longtemps. La jeune femme avait le visage durci, le ton grave, le regard noir, quand elle répondit

« Peu être y a-t-il des être humains honnêtes certainement même, mais les autres fissent par tout polluer et même la personne la plus pure finira par détruire pour ne pas l’être à son tour, moi-même je ne sais même pas dans quel catégorie je suis ou j’ai été ne sachant rien de mon passé. Peu être ai-je profité des gens tuer sans raison qui sais ? Mais une chose est sur a se jour c’est que je tuerais sans remord toutes les personnes que je serais responsable de mon état ainsi que toutes personnes qui essaierais de toucher à se village ou ses habitants même si ils ne sont pas tous parfait… »

La jeune femme tremblait sans même le voir mais continuais de s’expliquer

« Peu être que les enfants sont influencés des leurs naissances, mais il y a des personnes qui sont néfaste dans leur cœur des le début et pour eux il y a rien a faire, je ne pense pas qu’il y a un avant naissance et encore moins un après, la seule chose qui ferais de l’homme un être qui ferait attention à son prochain serait de les placer au beau milieu de la chaine alimentaire comme c’était le cas à l’époque des dinosaures mais cela est impossible alors ni toi ni moi pourront un jour changer se monde seul les futures arrivant feront à leur guise, ça sera peu être pire ou mieux qui sait ? Une chose est sur je ne serais plus la pour voir ça. »

La jeune femme pire tout de même la boisson que lui tendait Ooarashi. Mais ne but pas de suite

Sur ces paroles, il ne dit rien, se plongeant dans une intense réflexion, mimant une rêverie inspirée par la mer.

Pensé : Elle n'est pas encore prête. Comme beaucoup, elle constate mais accorde à la fatalité la responsabilité de la situation.

Pour lui, la fatalité était une excuse de l'esprit. Selon lui, il n'y avait rien d'inéluctable si ce n'était la mort. Pourquoi refuser l'action pour le changement ? Parce que la tâche était ardue. Il faudrait d'abord renoncer soi-même à un mode de vie si profondément ancré dans les préceptes cognitifs que cela équivaudrait à une mort et une renaissance. Lui l'avait accepté mais le monde des hommes y était-il préparé ? Il avait longuement réfléchi à la question et était arrivé à la conclusion que tout changement ne s'effectuait qu'une fois au pied du mur, au bord du gouffre. Il allait pousser l'être humain à faire un choix entre sa vie actuelle et celle que le chef de la Team Taka croyait possible.

En cas de mauvais choix, un autre être, Shireisu, serait ravi de plonger le monde dans le Néant. Quoi qu'il en était, toute action, aiderait Shireisu. La dette était-elle donc si omniprésente ?

Ooarashi : Vous savez, parfois, il faut presser le changement quand il ne vient pas. Les Ninjas n'ont-ils pas pour mission d'agir lorsque quelque chose menace le village ? Si le village est le monde, ne doivent-ils pas agir, tous ensemble, pour le protéger ? Aussi difficile que cela puisse être, je crois que je suis prêt au changement. Je n'ai que trop vu les ravages de l'attitude humaine. Kiri n'est qu'un théâtre parmi les autres... Malheureusement...

Sur ce, il se leva et fit quelques pas. La réflexion était de mise : avait-il le droit de contraindre le monde à une autre vision ? Même en sachant que ce même monde avait été contraint, de gré plus que de force, à adopter le style de vie qui était le sien ?

Ooarashi : Les hommes souffrent par les hommes. Le monde souffre par les hommes. Si les hommes doivent changer, ce sera par des hommes qui ont en fait le choix... Passé, présent, futur... Si le choix se fait maintenant, le changement n'en sera que plus rapide.

Tsukiyo sourit en écoutant les idées de reformes et de changement que Ooarashi exposait, pas qu’elles lui déplaisaient au contraire mais comment arrivé à se résultat ??

« Tu es optimiste comme j’ai rarement vu, tu crois vraiment que tout être est capable de changé face à la mort, je pense que oui mais il ne changera pas pour longtemps à mon avis. Moi je suis d’accord sur le fond de ta pensée mais comme tu l’as bien dis j’essai de protéger mon village de changer les choses ici pour le reste du monde je me sens beaucoup moins concerné je le vois plutôt comme les personnes à détruire pour que mon village soit bien. »

La jeune femme se stoppa un moment son dialogue elle mit la gourde à sa bouche mais la repoussa pour finir

« Tu vas penser que je suis égoïste de penser cas mon village et ses habitants mais c’est ici que j’ai été accueillit par ses gens les autres village mon laissés passé sans même réagir à la détresse d’être perdu alors je veux tout faire pour rendre se que le village ma apporté et la mort ne me fait pas peur je l’ai côtoyé tellement souvent que des fois je l’ai même demandé et seul des gens qui on vécu ceci peuvent vraiment changer ceux qui sont près à donné leur vie pour une personne qui ne connaissent pas… Tu en as croisé beaucoup dans tes voyages ? »

La jeune femme avait touché un point à son avis alors elle prit une grande gorgé de boisson…

Il hocha simplement la tête.

Ooarashi : Il y en a bien plus que vu ne le pensez en dehors de Kumo. Certains ont même sacrifié leur liberté pour que les autres l'obtiennent. Certains renoncent à tout, parents, amis, alliés, vie, identité...

Il se stoppa. Il parlait de lui-même et le faire de cette manière avait quelque chose d'émouvant ou d'attristant. Puis il reprit.

Ooarashi : ...Mais il y a toujours moyen d'agir. Ce sont les gouttes de pluie qui font les torrents. En changeant ceux qui nous sont proches, pour leur salut et leur liberté d'âme, on apporte une pierre à l'édifice. Si chacun fait un peu autour de soi, c'est le monde entier qui change...

Cela avait du sens, il le savait. Mais changer les choses demandaient des efforts. Quels efforts était-elle prête à faire ? Dans quelle mesure son village voulait, pouvait et allait changer ?

Ooarashi : Toi qui vit ici, quelle est la politique du village, à quoi servent tous les combattants et les Ninjas de Kumo. Vont-ils en guerre ? Font-ils des missions pour les profits du village ? N'assurent-ils que la défense des villageois ? La polique de Kumo est-elle conquérante ? Moi qui vivait par delà l'océan, je n'ai aucune idée des relations extérieurs du Pays de la Foudre. Kumo est-il soumis...au... Gouvernement Mondial ?

Il s'approcha d'elle, prit délicatement la gourde et en tira une énorme rasade.

Tsukiyo était dans le pétrin cette fois Ooarashi lui posait des questions interne à son village, que pouvait-elle dire avouer qu’il n’y avait plus personne pour protéger le village ? Non pas question, elle n’avait pas encore confiance dans toutes ses belles paroles elle devait pourtant trouver de quoi répondre puis tout à coup ça lui paru évident….

« Eh bien si tu as un moyen d’agir de vraiment couper le mal à la racine je suis toujours partante, et le village comme tu peux le voir accueille les personnes inconnues comme toi, moi , et bien d’autres, oui nous faisons des missions en t’en que ninja forcément, mais on se garde des missions assassina, vole, récolter d’informations pour détruire ou attaque un village. Enfin c’est la politique actuel mais nous nous entrainons sans relâche ; car même si on n’attaque pas nous sommes loin d’être à labrit de se faire attaquer… c’est a cela que servent les ninjas de se village on protège rien de plus. Mais tu auras bientôt l’occasion de le voir de toi-même je pense. Ceci dit ça n’a pas toujours été ainsi… »

La jeune femme baissa la tête un peu honteuse mais même si elle n’était pas là à se moment.

« Alors explique moi comment tu vois les choses c’est toujours intéressant d’avoir se style d’avis qui sais ça pourrait aider ici …. ???»

Tsukiyo avait survolé le problème principal de son village avec une habileté déconcertante mais elle savait bien que ça ne durerai pas indéfiniment. Il fallait qu’elle trouve vraiment les intentions de cette homme voir si il cachait ou pas quelque chose. Elle pensait déjà pouvoir lui faire confiance avec ses idées mais la prudence était devenue la seconde nature de la jeune femme alors elle préférait prendre son temps.et voir toutes ses réactions un village sans guide est trop vulnérable pour jouer sur l’instinct…

Pensé : Elle dit peut-être vrai. A l'époque où j'étais ici, et où KyoSuke dirigeait, le village se contentait de mener son train train. Pas d'ennemi précis. Juste un village, des habitants et des Ninjas les protégeant...

Si Raito demeurait prudent ce n'était pas de peur d'affronter la jeune femme, il se sentait capable d'en venir à bout si nécessaire. Mais il avait de l'affection pour Tsukiyo. Il sentait quelque chose en elle de bon. Un part d'elle adhérait aux mêmes idéaux que lui après tout. Il tenta une nouvelle approche.

Ooarashi : Je ne suis pas un sage distillant la vérité. J'ai simplement mes convictions. Elles sont nées de mes voyages, de mes rencontres, de mon expérience. Et d'ailleurs, un des moines que j'ai pu croiser sur ma route m'a dit que celui qui n'agit pas quand tout va mal, est aussi coupable que celui qui engendre ce mal...

Il fit craquer son cou et ses doigts, son corps s'engourdissait.

Ooarashi : Il y a beaucoup à faire pour ceux qui veulent sauver le monde mais on ne sort pas si facilement de plusieurs siècles d'habitudes et de vision du monde. Il y a des étapes. Je suppose que si j'en avais l'occasion je pourrais partager mon peu de savoir avec les gens de Kumo. Ce sera peut-être déjà ma pierre à l'édifice dans l'amélioration des choses.

Debout, il observa la plage de son long. Il fit de pas sur le sable avant d'effectuer un saut périeux. Il se réceptionna sur ses deux pieds, et adopta une posture de combat rapproché. La jeune fille avait l'air stupéfaite.

Ooarashi : Après ces années passées à voyager, j'ai beaucoup appris sur la spiritualité, la sagesse, et le combat. J'ai compris à mes dépens que ceux qui n'étaient pas prêt à changer l'exprimer avec rage et violence. J'ai du apprendre à me défendre. Quand on a la force nécesaire, on peut ravir sa liberté à ceux qui la détienne et la garde avec virulence. Telle est ma façon de voir les choses. A Kumo je ne cherche que la connaissance. Pouvoir, richesse et domination ne m'importe que peu. Quand j'aurai atteint le niveau nécessaire, je reprendrai ma liberté à ceux qui juge me l'avoir prise. Sans haine. Sans rancœur. Et je prouverai à tous qu'en étant libre, on peut décemment choisir de vivre dans le respect de la nature, de ce qui nous entoure et de nos congénères. Par choix, je ferai de cette attitude ma nature profonde. Cela prouvera que l'homme par nature, peut être bon.

Il fit un nouveau saut et se réceptionna face à Tsukiyo.

Ooarashi : Si dans ma quête, je trouve des compagnons, la lutte n'en paraitra que plus juste...

Tsukiyo se leva en souriant elle remua la tête ni pour dire oui ni pour dire non, tout en s’approchant du jeune homme qui s’emblait ne plus tenir en place, et lui posa la main sur son épaule.

« J’en ai vu des gens des bizarres, des violents, des bêtes, des gentils… enfin un peu de tout au final mais jamais quelqu’un d’aussi confiant que toi dans les gens je t’avoue que j’aimerais avoir ta foi en tout se
que tu dis mais pour ma par ma liberté j’ai du la gagner, pire j’ai du l’arracher aux mains de ceux qui me l’avaient volé et pour cela je les ai tué sans aucun remord. Et si c’était à refaire je recommencerais sans une once d’hésitation. »

La jeune femme ne pouvait s’empêchera d’être franche elle l’avait toujours été même devant son Kage, mais elle se choquait toute seule à vouloir croire les idéo de cette homme d’ailleurs c’était la première fois qu’elle rencontrait une personne qui parlait comme cela donc ça ne pouvait que la surprendre. Voir que un être humain voulait changer le monde même si c’était tester de vide la mer à la petite cuillerée la ravisait. Qu’elle fille bizarre elle aussi finalement.

« Bon et bien on va déjà commencer par tester de se comprendre vraiment sans se mentir ensuite on verra si il on peu déjà évoluer sur mon village et qui sait peu être un jour je regarderais le monde, si déjà je pouvais voir mes pensées oubliées… »

La jeune femme avait perdu se visage sombre qu’elle avait en parlant des gens et affichait de nouveau un lège sourire. En regardant les vagues qui s’écrasaient sur le sable.

« Quand on regarde se paysage on ne peut que être bien t’es pas d’accord ? »

Rassuré par le geste de la jeune femme, il sourit lui aussi. Il s'en voulut de lui mentir sur son identité mais c'était pour protéger le village plus que lui même. Tout village qui l'aidait subirait les foudres du gouvernement mondial. C'était évident. Il finit par se détacher de ses sombres pensés pour regarder la mer.

Ooarashi : Vous avez raison Tsukiyo-Sensei. C'est une bien belle nature que nous avons là...

Il était prêt pour la suite. Il hésitait sur la méthode. Devait-il feindre de tout apprendre ou lui montrer une partie de son niveau actuel ? La prudence devait rester maitresse. Sans pour autant lâcher des yeux ce paysage magnifique, il s'adressa à la jeune femme.

Ooarashi : Quand débuterai-je ma formation ?

Cette phrase venait couper court à la contemplation mais il était capital de poursuivre. A l'extérieur, ses compagnons devaient eux aussi se mettre en mouvement...

La jeune femme réagit à son tour quand elle entendit cette homme qui malgré tout ses discours restait avant tout son élève lui demandé de travailler

« Oui c’est vrai qu’il va falloir se mettre au travail un peu tout de même je crois que je n’avais jamais autan parlé de ma vie, j’ai fini par en oublier toutes mes fonctions »

La jeune femme sourit de plus belle en faisant une petite moue catastrophée, puis elle se frotta les mains l’aire bien décidée.

« Eh bien si on commençait maintenant… Tu as un niveau déjà ou on doit tout apprendre à la base vu tes acrobaties de toute à l’heure tu n’as déjà pas trop besoin de trop faire des assouplissements c’est déjà ça !! Mais au niveau combat chacra etc.… »

La jeune femme regarda dans sa sacoche et sorti toutes les techniques ninjas de son village pour les tendre a Ooarashi qui les prix dans sa main

« Voilà tout se qu’il y a à apprendre… oui y en a beaucoup alors c’est pour cela que si tu as déjà des acquis ça serait plutôt bien !! »

La jeune femme attendit qu’il étudie se parchemin

Il prit le parchemin et commença à le lire. Les techniques de base. Bien qu'il les maitrisait toute parfaitement il allait devoir tout reprendre. Il n'en avait pas une folle envie, alors il inventa un stratagème.

Ooarashi : C'est quoi exactement un Bunshin ?

Il continua à lire à haute voix.

Ooarashi : Technique de clonage... Ca me rappelle...

Il posa le parchemin sur le sable et s'écarta de Tsukiyo.

Ooarashi : Durant mon voyage j'ai rencontré un maitre. Un moine du Temple de la Foudre. Un peu plus haut Nord. Il m'a appris l'art de la méditation. Son temple avait été attaqué il y a de cela des lustres. Pour leur défense les moines avaient développé des stratagèmes... L'un d'eux s'appelait le Kagami. La technique du miroir.

Il concentra son chakra et le malaxa. Après un bref mouvement de mains, un nuage de fumée se forma à ses côtés. De ce nuage jaillit un autre Ooarashi.

Ooarashi : Une technique presque d'illusion. Il s'agissait de pouvoir tromper l'ennemi pour mieux se replier. Est-ce que le Bunshin a quelque chose à voir avec ça ?

Tsukiyo remarqua très vite que le coté novice de Ooarashi n’était pas si novice que cela mais elle n’en prit pas cas surtout que elle-même n’aimait pas plus que ça travailler les technique de bases qui restaient systématiquement les même gestes les même mots. Alors avec une satisfaction presque joyeuse elle demanda à Ooarashi

« C’est super tu gères déjà ça, tu d’autres tours que tes moines t’auraient fait voir si c’est le cas hésites pas car on fera de suite des choses bien plus intéressantes, moi j’aime quand ça bouge alors ne t’inquiètes pas je ne serais pas choquée ou humiliée. Mais bon si tu ne peux pas on le fera ensemble c’est le passage obligatoire des ninjas passer par un entrainement plus facile pour monter de plus en plus haut jusqu’au moment ou tu feras tes propres découvertes »

La jeune femme restait à voir si cette élève allait une fois de plus faire des prouesses ou s’il allait vraiment falloir apprendre ses techniques.

Ooarashi : Il ne s'agit donc que cela ! Le vieux moine s'appelait Raijio. Il avait accueilli, à l'époque de ces troubles, un ninja de Konoha dénommé Karatchi. Karatchi Hyuga.

Il passa les minutes suivantes à lui raconter ce que le moine lui avait révélé : les attaques d'Arisuma Kan, la lâcheté des villages cachés, les mois passés avec le Hyuga de Konoha. Les deux hommes avaient échangé nombre de connaissances que le moine avait lui partagé avec Ooarashi.

Ooarashi : Je pensais qu'il ne s'agissait que de techniques permettant d'exacerber la concentration et la force de l'esprit mais il semble qu'ici, en tout cas pour les Ninjas, il s'agisse de techniques de combat. Si je compte bien il y a 5 techniques de base. Le Bunshin. Le Henge. La marche sur l'eau. La marche sur parois. La libération de l'esprit. Cela ressemble aux 5 préceptes du moine. Le Miroir. Le Reflet. L'Art Astral. L'Art Ancestral et la Conscience. Je vais vous montrer, vous me direz ce qu'il en est. Cependant, je ne maitrise pas réellement la Conscience. Je n'ai jamais eu l'occasion de... l'employer.

Il avança et enchaina de nombreux signes de mains. De Mudras dont la plupart était inutile. Il fallait simplement qu'il masque sa parfaite maitrise des techniques. En quelques secondes, il réalisa un Henge, qu'il nomma Han'ei (Reflet), il avait prit l'apparence de Tsukiyo. Puis il s'avança sur l'eau et utilisa la technique du Mizu Aruku, qu'il nomma Seikijutsu (Art Astral), puis, s'appuyant sur un rochant et effectuant un saut il marcha le long de la paroi rocheuse à la verticale. Il s'agissait du Noboru Kigi qu'il nomma aussi Kyuujutsu (Art Ancien - Ancestral -).

Ooarashi : Il semblerait que pour préserver le secret de leur relation, le moine avait changé les noms des techniques que lui avait transmises Karatchi. Mais je ne vois toujours pas comment utiliser cela au combat, ni même en quoi cela fait progresser l'homme ou le ninja au niveau de sa maitrise psychique et spirituelle... Une idée Tsukiyo-Sensei ?

La jeune femme restait bouche B, elle ne s’expliquait pas comment un homme qui ne connaissait rien sur l’art d’être un ninja à par se qu’il avait appris par la bouche de moines et autres personnes pouvait d’un coup tous mettre en pratique, Tsukiyo avait mit un temps fou pour arriver à toutes les maîtriser garder le flux parfait sur l’eau puis sur les parois rocheuses.

‘’ Comment a-t-il fait tout ça ?? Ou il a un don pour être ninja ou il y a un souci ? J’espère que c’est juste un don car franchement j’aurais bien voulu apporter ma confiance à cet homme... Mais ça questions ne colle pas avec un menteur… Merde je sais plus quoi penser… Là !! Ça commence à faire beaucoup. Bon reste tranquille ne fait rien voir pour le moment... Tu finiras bien par comprendre.’’

L’esprit de la jeune femme était plus que perturbé par une tonne de questions sans réponses mais son souci était plus qu’elle voulait croire en cette homme donc son jugement se trouvait perturbé à chaque doute qu’elle pouvait ressentir, comme si elle avait un blocage sans comprendre d’où il venait. La jeune femme finie par reprendre le dialogue après quelques minutes de doutes elle le fixait en souriant…

« La je suis épatée tu as vraiment bien comprit la façon de faire je ne connais pas les personnes qui ton fait découvrir toutes ses choses mais elles devaient être très expérimentées pour que tu réussisses si vite à trouver la finalité pour tout mettre en pratique, moi il ma fallut plusieurs jours pour faire se que tu viens de me faire voir…’’ regarde ça réaction’’ Alors des félicitations s’imposent je crois… »

La jeune femme observait de plus en plus son élève qui ne faisait voir aucune agressivité malgré quelques remarques bien trouvées la jeune femme était de plus en plus perplexe

‘’Merde si il était un ninja d’un autre village il verrait mes doutes et me sauterait tout de suite à la gorge pour éliminer le risque d’être démasqué… Fait chier !! J’y comprends plus rien… Merdeeee !!’’

Tsukiyo reprit très vite son calme enfin du moins en apparence, elle continua de parler posément à Ooarashi

« Alors pour tes doutes au sujet de ses techniques le pourquoi du comment on les apprend c’est très simple … Pour le Bushin, tu as déjà compris tout seul ça peu permettre une divertirons qui n’est pas négligeable, pour se qui est de marché sur l’eau tu verras que les combats ne son pas toujours sur la terre ferme et aussi des fois il est plus rapide de passé par un chemin sur l’eau que de devoir la contourner c’est un peu la même chose pour marche sur les parois les arbre etc… ET ensuite le Henge, la je pense que tu le sais de toi-même… mais le principal de toutes ces techniques reste l’apprentissage de tes sens de la manipulation progressive de ton chakra de le diriger dans certaines parties de ton corps, on ne peu pas du jour au lendemain manipuler ses sens sa concentration son chacra comme des ninjas qui on passé des années à s’entraîner. Je pense que c’est la l’aboutissement d’un entraînement régulier et progressif. J’espère que je suis assez claire pour toi ce n’est pas toujours simple d’exprimer une idée. »

Tsukiyo attendit une réaction des questions de Ooarashi lui qui semble toujours vouloir en savoir plus mais elle continua ses explications en même temps, il ne fallait pas passer plus de temps à parler cas travaillé.

« Alors pour se qui est de la libération de l’esprit je vais t’expliquer deux trois truc.. Et oui encore ‘’sourire’’ un il faut savoir que certain ninja on la faculté de rentrer dans ton esprit pour te faire mourir et faire faire des truc que tu na ferais pas te faire voir des choses qui n’existent pas, enfin tout se que l’on pourrait faire en rentrant de force dans la tête de quelqu’un… Pour faire cela, ils utilisent le flux de ton chakra alors il faut savoir stopper se flux et le remettre en route. C’est une image simple mais qui reste la plus facile à comprendre. Alors pour savoir si tu y arrive très simple tu vas sur l’eau pas loin juste au bord ne vas pas te noyer tu reste sur la surface en utilisant l’art de marche sur l’eau puis tu stoppe le flux et pieds vont tout de suite couler et tu recommence la technique sans sortir de l’eau dans la seconde suivante. »

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« Bon j’espère que tu as suivi se que je voulais expliquer ??? »

La jeune femme attendait le verdict elle n’était pas moine et ses explications étaient peu être pas les plus claire

Le jeune homme se sentit rassuré. Il avait convaincu Tsukiyo. Elle lui passa quelques minutes à lui expliquer les différentes utilisations des techniques de base. Evidemment, il les connaissait déjà mais il put constater que le jeune femme ne se trompait nullement. Il écouta soigneusement les conseils et consignes concernant le Kai.

Il s'avança vers l'eau et usa du Mizu Aruku No Jutsu pour y marcher sur quelques mètres. Lorsqu'il arriva suffisamment loin de la rive. Il prit son temps. S'il le faisait trop facilement il ne serait nullement convainquant. Après ce laps de temps, il relâcha son chakra et commença à s'enfoncer puis immédiatement il le refit affluer. Il remonta à la surface et prit quelques secondes pour stabiliser à nouveau ses émanations de chakra.

Ooarashi : Tsukiyo-Sensei... Si j'ai bien compris, il s'agit de rétablir son flux de chakra naturel ou normal afin d'éradiquer les perturbations créées par l'adversaire ? Ca correspond tout à fait à l'art de la Conscience que m'avait expliqué Raijio-Sama.

En un bond il revint sur la rive de sable.

Ooarashi : Si les techniques de base se résument à cela je pense être prêt. D'après les documents que j'ai pu consulter durant tous mes voyages, ce sont les seuls enseignements distillés par l'Académie Ninja. Si je les maitrise, plus ou moins, quelle est ma prochaine étape ?

Le jeune homme retourna vers leur lieu de déjeuner pour tout ranger, attendant la réponse de son Sensei...

La jeune le suivit et ramassa avec lui les restes froids du déjeuné tout en discutant

« Tu sais Ooarashi je suis vraiment étonné que tu es réussi ses techniques si facilement tu aurais du prendre la voix des ninjas plutôt car tu vas être doué dans se milieu… » Tsukiyo en revenait pas de se qu’elle venait de dire.

Elle se stoppa un moment continuant de ramasser tous ses restes puis elle regarda la mer un instant, elle ne c’était pas rendu compte que la journée avait déjà beaucoup avancé le soleil n’était pas encore près à laisser sa place à la nuit mais il ne luterait que quelques heures de plus, Tsukiyo s’étira ses bras loin vers les nuages en disant.

« Roulala !! Je n’avais pas vu que les heures étaient passées si vite, je crois que je n’ai jamais eu l’impression de voir une journée passer aussi vite, mais bon on va passer à autre chose maintenant… »

Tous étaient rangés et les deux personnes se tenaient l’une à coté de l’autre le regard tourné versl’horizon

« Alors tu vas devoir allez dans la grande tour du Kage là bas je te retrouverais pour te donner une mission de rang D, et oui tu vas commencer à te rendre utile pour se village… Ne t’inquiètes pas se style de missions restent des missions propre au village, comme aider un villageois pour un travail, ou faire un dépôt de courriers etc.… rien qui ne soit dangereux. C’est moi qui te la donnerai en main propre dès que tu viendras. »

La jeune femme était plus ou moins dans ses pensées et fini par dire

« Bon alors reposes toi ou vas faire un tour pour te trouver un endroit ou dormir cette nuit et quand tu veux je serais dans les bureaux j’ai du travail là bas, alors si ta pas d’autre questions je vais y allez maintenant ou c’est moi qui ne va pas avoir le temps de dormir cette nuit. »

La jeune femme regardé son élève impatiente de pouvoir partir, comme à son habitude elle allait encore faire les choses importantes au dernier moment.

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