Etèrnel retour...

-Maître.

Shireisu tira son regard du paysage qui lui faisait face et le dirigea vers la situation d'où venait la voix. C'était Shiro Janikusai. L'extravagant. Vêtu de ces vêtement sombre à la couture occidentale, d'un haut de forme noir, et de maquillage tribal teintant sa peau déjà pâle d'un ton blême contrastant avec des effets noir. Ses cheveux mi-long et aussi coloré que l'est le corbeau était teint à certain endroit de mèche rouge. Encore jeune, Shiro portait déjà la folie dans son regard, une âme burlesque et mystèrieuse. Second disciple de Shireisu, peut être celui à l'esprit le moins radicale. Ce tenait à ces côté Muzai Seichuku, premier disciple. Un gamin qui appartenait dans les souvenirs de Shireisu à l'enfant qu'il avait put sauver des ninjas d'Iwa en échange de ses corde vocale qu'il c'était faitent tranché dans la fuite... Les long cheveux tiré en une fine tresse, le torse dénudé revêtu d'un costume traditionnel oriental dans les tons sanglant. Muet, l'esprit torturé par les souffrances, le silence et l'isolement il était à la fois le plus prometteur et le plus définitif...
Du coin de l'oeil Shireisu les observa tour à tour, c'était ses deux véritables heritiers. Les seuls pouvant prétendre à étendre leurs savoir sur le sien. Deux tendres opposés à l'automne de leurs enfances. Il n'était pas encore temps pour eux de prendre sa suite. Ces yeux retournèrent à observer l'horizon bleu étincellante par les rayons du soleil du midi. Les nuages se mouvaient rapidement dans l'azure ciel d'Eté. Les chemins bougeait. Shireisu allait faire un retour au source.

-Retournait sur Terayama auprés de Shingen et Makoto entraînez vous et attendez mon retour. Votre aube arrivera bientôt mais il n'est pas encore temps de vous montrez sur les projecteurs de l'éternel et absurde cirque humain.
-Mais maître...

Muzai tira la manche de Shiro au même momment où retenti le claquement de doigt definitif du Tanin'. Les deux élèves se retirèrent de la grande pièce d'architecture gothique. Les échos des voix vibrèrent encore un moment dans la pièce, un passé qui se renouvellé jusqu'à se qu'il se taise à jamais dans un nouveau présent. Il se leva de son perchoir, passé les arches le séparant de l'intèrieure de la pièce. Son manteau noir qui le recouvrait alla s'échoir sur le sol de marbre gris. Derrière se masque de tissu il était vêtu d'un chique costar, tout dans les tons noirs, couture occidentale. Shireisu réajusta son col...

-Maestro!

Cette clameur glacial résonna longtemps dans la pièce où la vie s'élevait peu à peu. Devant le suprême orgue d'église se tenait un esprit, et en lune autour de ce gargantuesque instrument s'aligner un orchestre. Et tous ensemble, sous le même echo perpetuel, ils commençèrent à jouer. En mesure, en tempo... Virtuose.
Le forte s'accentuer peu à peu dans des clameurs sombre et puissante où un corp de choristes d'enfants faisait retentir leurs voix rajoutant un aspect malsain au morceau. Puis soudain; piano... Le contraste était étonnant. L'orage de son c'était transformer en murmure du vent... Progressif... Imposant... Impulsif. Le ton montait à nouveau pour un second et retentissant choeur grandiloquant. Toutes la puissance, et la technique des musicien se mêlait dans se suprême chorus, chaque musicien était indispensable pour donner l'âme de la musique où s'échouer de puissant impacte de voix monstrueuse accompagné de l'hymne prophètique et perturbé des enfants, des nappes stressantes des sopranes, et des ondes engoissante des bassus. Le tout formait une harmonie unique et parfaite qui se faisait ressentir dans toute l'île deserte. Et à l'ultime note montante du crescendo final, Shireisu disparu de la pièce.
Une nouvelle époque était née.