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 Court Essai - âme sensible s'abstenir

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Kishiro Karachi
Chef de l'Akatsuki
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Kishiro Karachi


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MessageSujet: Court Essai - âme sensible s'abstenir   Court Essai - âme sensible s'abstenir EmptyVen 13 Nov - 21:08

Gangréné


La ville croule de ces larmes onyx aussi brûlante qu'un lac d'acide. Elle s'effondre, s'enfonçant dans la terre sale... Les rues comme mille tentacule se plisse, mâchoires se resserrant inexorablement sur la proie de ses délices tant désiré... Les pas des passant dans ces corridor de la mort n'était que pied en plus dans se marécage glouton, un pas de plus dans le piège de la cité. Grise monotonie qui te viole, t'extermine jusqu'à la souche de ton existence. Tu n'es rien dans se paysage de pluie noire, de fumée sombre, et de lumière si blafarde qu'elle n'inspire que dégoût et vomissement. Chaque pas se succède d'effroyable gorgorisme tel un être régurgitant ces tripes jusqu'à en crever. Se vidant de sang à en peindre le sol gris et boueux d'une opaque couleur sombre. Tu marche malgré ta misérabilité, tu avance dans ces ruelles t'avalant un peu plus chaque seconde, ton désir d'avancer t'hypnotise comme un serpent que tu ne vois pas que tes pied te même directement au centre du terrible. Suicide silencieux, que tu semble ignorer, droit vers les terribles et mille rangé de dent du Kraken qui s'élève et se propage de par le centre. Regarde tout ces corps torché, affaissé, détruit qui t'entoure regarde bien le mal prendre sur eux, mais rien ne te sors de ta léthargie. Aguiché par le noir tu t'avance sans relâche tel une pulsion sexuel se voulant être assouvi, masochiste de ta douleurs interne tes yeux éclaté d'halluciné ne prouve qu'un peu plus de ta folie innocente. Et toute ces putes qui l'appel sur les bords de la rue comme des chattes en chaleur ne sont pas trou à ta taille. Ignore la vie, ignore le monde, misanthrope insensée qui va inexorablement vers sa propre déchéance.

Trempé, jusqu'à l'os. Ni honte, ni excitation ne s'étale sur ton corps dénudé, dévêtit de tout sentiment comme de tout vêtement l'un et l'autre mangé par la pluie lethale qui tombe diluvien sur ton corps blême comme un fantôme dégarni de tout souffle. Un pas de plus et la vermine commence à grimper ta jambe. Tu n'es peu plus reculé même si la douleur te fait frissonner. Tout le long du chemin tu n'as vu, tu n'as entendu, tu n'as vécu que l'obscurité. Souffrance est un mots dépassé depuis si longtemps dans ta vie aux couleurs si délavé, si parjuré que aucune différence ne peut être faite entre le blanc et le noir. Quel horrible sensation de se sentir gris jusqu'à la fin de ses jours n'est-ce pas? Mais tu n'as rien fait pour te retirer de ce linceul qui te servait de lit. Maintenant c'est chose inutile,le couvercle c'est déjà refermé au dessus de ta tête et seconde par seconde la terre humide s'amoncèle sur toi par kilo, puis par tonne. Tu es finis, il est trop tard, tu ne peux plus aller en arrière ni même te retourner. Ton corps est bien trop engourdi maintenant. Tu avances sans savoir où tu vas mais il ne te reste plus que cette option. Marcher jusqu'à ce que la gangrène dévore chaque partie de ton corps.

Les ruines qui t'entoures, les gens criants au secours, les enfants perdus dans la brume et tous ces exilés, balafré, effacé, déprimé qui suivent la marche ou qui sont déjà tombé ne sont que plus de péché, d'absurdité, d'inutile dans la vie de débauche que vous avez vécu aveugle de votre propre bonheur dans la douleurs inconsidéré vous à voilé les yeux. Cécité vous à gagné comme la gangrène qui mord maintenant vos pied, et dont la cheville sera bientôt gagné. Un tas de détritus ambulant n'ayant vue bien plus tôt avant que l'averse, les mains amicales qui vous étaient tendus.

Ah! Mille tristesse que la votre qui vous gagne et qui prolonge chaque goûte du ciel qui tombe en deuil. Terrible agonie qui vous gagne du cœur à l'esprit, de l'âme au cerveau! Mais plus rien ne peut dorénavant vous sauvez. Aucun ange salvateur ne gagneras votre chemin et vous feras voler la haut; bien au dessus des nuages, là où le soleil brille de mille feu. Allez y, marchez vermine! Marchez droit vers la déchéance de votre dernière et seul vrai propriété: Vous même. Foncez droit vers le gouffre, laissez-vous happer par cette gueule ouverte n'attendant qu'une chose: goûter votre chaire, votre sang, vos os mais surtout votre désespoir. Il n'y à plus grand chose à avancer maintenant déjà les trois quart de votre corps c'est fait dévorer. Les muscles ont lâchés, l'esprit à déconnecté, la dernière chose vous faisant avancer est cette volonté si forte et si absurde de se jeter dans la gueule du monstre. Mourir en prématuré, gangréné par la souffrance aveuglante de votre vivant. Non loin en pleure votre disparition. Moi je ris, être terrible? Monstre glouton? Qu'importe je ris de cette imbécillité qui à gagné votre tête malade.

Sales torturés de la vie comme si elle vous avez rejetté. Rendez vous conte maintenant, là, juste devant le gouffre, que vous avez tout raté. Du point zero, au point le plus haut, vous êtes tombé aux négatifs. Laissez moi voir sur votre visage la plus grande souffrance que jamais vous ne vivrez plus en vous rendant clairement compte que votre acte était idiot mais qu'il est déjà trop tard. Les terribles tentacule vous ont déjà tous poussé dans le vide. Vous n'aurez plus à souffrir maintenant, juste à mourir.

Sales torturés, gangrénés prématurés, je vous dis adieu! Adieu et à jamais! Faite couler vos larmes sales suicidés, vos dernières. La vie que vous aviez reçu par le miracle vous seras maintenant jamais bloqué. Et la lumière que vous auriez percevoir malgré le noir n'existera plus jamais. Tombez! Tombez au plus profond de vos ténèbres. Elle aurait dû vous sauver cette obscurité? Et bien vos souffrance n'en seront que mille fois plus terrible.

Gangréné jusqu'à l'âme. Jusqu'au cœur.
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Kishiro Karachi
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MessageSujet: Re: Court Essai - âme sensible s'abstenir   Court Essai - âme sensible s'abstenir EmptyVen 13 Nov - 21:14

Le Marchand de Rêve


Le ciel noircissait chaque seconde un peu plus. Des fumées noires et opaques l'emplisse de toutes la rage qu'il évoqué, lui, ce ciel si noir et impénétrable qu'il semblait s'étendre sur la terre elle même comme une brume monstrueuse avalant homme et espoir. Le ciel était devenu bouche ouverte et gloutonne... Et la chaleur en son ventre était de plus en plus suffocante... A peine avaler tu te sentais déjà digéré. Terrible était ce ciel tant les sens étaient affectées. Immondice odeur de brûlé, et de sang parvenait aux narines, yeux aveuglé d'un voile si noire qu'on aurait put les avoirs clos... Et dans ce brouillard de charogne on pouvait entendre tous les gémissement d'agonisant, se vidant déjà mort d'un sang noir sur le sol de cendre et de braise. Et les crépitement des flammes à répétition, et les hurlement d'effroi. Ce n'était pas l'enfer, même l'enfer éclairé le visage des assassins... Là rien, juste ce noir firmament qui semblait vous égorgez, vous étouffez, vous torturé comme une main maléfique de divinité.

Où se trouvait cette Eden pourpre, cette holocauste brûlant de haine, de douleurs et de mort. Rien ne permettait de le savoir, il n'y avait que de la fumée, un ciel se confondant au sol comme l'épicentre d'un néant naissant.

Ce fut dans un lieu moins violé par l'obscurité que enfin on put l'apercevoir, cette main à la poigne mortel. Cette main maintenant fermement la poignet d'un sabre d'argent et tranchant maculé de sang rouge. Cette main appartenant à un être de stature aussi droite que sa lame, vêtu d'un manteau de brume et d'obscurité. Un masque blanc sur son visage encadré de cheveux long-corbeau et d'un haut de forme sombre. Sans aucune expression il fixait le carnage autour de lui, l'incandie mangeant comme de la vermine les corps étendu mort et calciné, il fixait l'homme plier et soumis devant lui. L'homme gisant à côté de ses deux bras tranché, ses yeux humide de larme implorant la pitié du meurtrier masqué... Mais ses demandes n'atteignaient pas les oreilles du tueur, trop loin, seul son âme de berserk persistait, l'être de sentiment humain n'était pas. Et d'immobilité parfaite passa à la phase de mouvement rapide. Empoignant le manchot d'une main de fer, il rapprocha son visage inexpressif de celui sa proie geignant de peur. Le front glacial du masque s'attachant à l'autre, les yeux halluciner de l'un dans les deux orbes noires d'inexpression de l'autre. Il blêmit, prenant le teins de la mort sans l'être. Puis vint se murmure sorti d'outre tombe. « Bonne nuit » disait-elle, d'un ton étrangement enjoué à la proximité de l'offre de mort. Offre qui suivi, d'un coup de sabre transperçant à la verticale la trachée continuant sa course dans le crane où il embrocha le cerveau et reparut au sommet de la boite craniène. Après son œuvre de mort, l'homme masqué retira doucement, petit à petit sa lame de sa gaine de chaire transpercé, d'os broyer et de cervelle troué. S'agenouilla et attendit, la fumée prenant peu à peu conquête de se territoire encore de trop illuminé.

Il s'éloignait maintenant, sur une barque aussi noir que son âme, aussi sombre que la mort. Si le passeur guidait les morts alors se serait dans cette embarcation qu'il les accueilleraient pour le voyage. Mais ce n'était pas Charon qui s'en allait sur ce lac terne où pleuvait la cendre qui recouvrait de sa grisante réalité l'eau maculé, souillé, pollué. Sur ce lac s'amonceler les poussières de millier de recement tué par la lame d'argent du masque. Masque au regard inexistant porté vers l'œuvre de son carnage; vers l'incendie encore brulant et crépitant toute la rage et la douleur dont est imprégné le feu. Il regardait son art meurtrier, la gangrène qu'il provoqué au monde une fois de plus. Il regardait en s'éloignant, en échappant à la chaleur de l'enfer, au jugement dernier, et aux cendres égorgeurs. Il s'éloignait sur cette barque aussi noir que son âme, aussi sombre que la mort. S'éloignait, pour ne plus jamais poser le pied sur cette terre qu'il venait de tuer jusqu'à la racine même de la vie. Il ne resterait que du sable carbonisé et de l'air consumé.

Dans ce paysage où la vie s'en était échappé et où même le marchand de rêve semblait qu'une ombre sans vie projeté dans ces acte passé quelque chose respirer encore la vie. Dans le sillage de la barque s'agitait encore quelque chose, dans un grand sac épais et refermé, quelque chose ou quelqu'un gesticulé. Elles gesticulés parce que à l'intérieure de se sac gigotaient les dernière naissance du village brûlé, naissance qui seconde après seconde étouffé. Amoncelaient comme de vulgaires victuailles la chaire tendre et fraîche agonisé. Et leurs cries d'effroi face à la mort, leurs mouvements désordonnés prouvant que l'air ne leurs arrivaient plus ne faisait ni chaud ni froid au marchand de rêve. Ses grain de sable brulant que les petits être respiré allait bientôt leurs faire fermer les yeux. Poumon carbonisé, intérieure brulé.

Et le sable du sommeil prenait une nouvelle ville, un nouveau village. Et quand le soupir du dernier enfant fut tranché par le faucheur, l'homme; L'être masqué se débarrassa du sac dans les eaux ténébreuse du lac ardent de million de cendre grise. Englouti, dans ces eaux noirs et sales, l'enfance mourrait dans un dernier sommeil. L'innocence perdu à jamais. Les âmes parjurés pour toujours. Droit vers la balance du cœur et de la plume. Ainsi va le monde ici, et lui marchand de rêve c'est déjà retourné vers sa prochaine où il offrira l'éternel sommeil. Déjà oublié; il vogue, seul.

Marchand de rêve...
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Konan
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MessageSujet: Re: Court Essai - âme sensible s'abstenir   Court Essai - âme sensible s'abstenir EmptyVen 13 Nov - 23:41

wow quesque c melancolique j adore
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