Une rencontre au claire de lune

La nuit avait poser son doux voile paisible sur le lieu de

rendez vous que c’était donner Pein et Marjojo.
La pleine lune éclairait de sa lumière blanche les alentours comme une bénédiction
venue des cieux. Les étoiles s’instillait et se reflétait dans les bassins ,
recouvert de pétale rose . Décroché par le caressement du vent qui sifflait
d’un air joyeux .

Les cheveux de Pein volait au vent et ses yeux bleu reflétait
la lumière de la lune . Son regard fixait le bassin qui se trouvait devant lui.
Pein ne bougeait et pas et se contentait de fixait le bassin jusqu'à ce qu’une brise vint sifflait prêt de
ses oreilles. Pein se retourna alors et vit la personne qu’il attendait.

Une jeune femme vêtu de noir et de rouge ,deux couleurs
significatif de souffrance , se trouvait devant lui .Pein la fixa avec attention et vit qu’elle était vêtu
d’une jupe , malgré la fraicheur de la nuit . Pein posa ensuite son regard dans
les yeux noirs profond de la jeune femme avant de replonger son regard dans le
bassin en adressant quelque mot à la femme

« N’ecce pas une tenue un peut légère pour une nuit de
fraicheur »

Marjojo arrivait un soir de pleine lune près d'un bassin où s'y trouver un jeune homme qu se nommait Pein Rikudou ...Elle était vétu de sa traditionnel jupe rouge avec sa chemise noire, Marjojo depuis son choc émotionnel de sn enfance était devenu une gothic, mais elle essayait de changer, mais en vaint ...Elle avait déja entendu parlé de Pein, il était décrit comme un personnage froid comme Marjo, elle marchait doucement sur un petit chemin près d'une forêt .La jeune fille ne savait pas exactement la raison de l'invitation de Rikoudu mais peu importe, elle allait le découvrir dans peu de temps .Quelques légéres brises soufflaient dans la campagne et Marjo était presque arrivait au point de rendez-vous ... Une fois arrivée, Pein se retourna un instant et fixa ensuite le bassin se trouvant devant lui, et il lui demanda :

"Pein :N’est ce pas une tenue un peut légère pour une nuit de
fraicheur ?
Marjojo :Il n'y a que la mort qui me donne froid ..."

Elle répliqua ses paroles aussi calmement que l'homme lui posa la question, lorsqu'il eut entendu ses mots, Pein se retournaet commença à se redresser, il peina un peu pour se mettre sur ses deux jambes, une fois relevé marjojo demanda :

"Marjojo :He bien que me vaux l'honneur de cette invitation disons ...... nocturne ....
Pein : C'est histoire de discuter au clair de lune, une gothic n'aime-t-elle pas ces rencontres ?
Marjojo : Si ce n'est que pour parler alors soit, mais sache que les gothic ne sont pas tous les mêmes ....."

Pein eut un léger sourir à la fin de cette phrase, Marjojo avait sa propre personnalisation du gothisme ....

Marjojo : Si ce n'est que pour parler alors
soit, mais sache que les gothic ne sont pas tous les mêmes ....."

Pein eut un léger sourir à la fin de cette phrase, la jeune gothic était directe que cela soit dans ses paroles ou dans ses gestes et
cela plaisait à Pein du moins c’était ceux qui lassait paraitre son sourire. Puis soudain pein reprit un air sérieux et posa une nouvelle fois son regard sur les yeux ténébreux de Marjojo en lui disant d’une voie froide

Pein :« Seul dieu devrait te donner froid… »

Une légère brise accompagna les mots de Pein, cachant les yeux de marjojo à celui-ci par sa chevelure. Pein passa alors sa main dans les cheveux de marjojo pour dégager ses yeux, sa main forait le front de Marjojo. C’était le premier contact qu’il avait entre eux mais pourtant pein ne semblait pas y accorder d’impotence.

Labrise c’était arrêté de souffler et la vue de Marjojo était dégagé, Pein arrêta alors sa main ou elle avait atterrit ; au niveau de la joue droite de Marjojo. Il la retira alors doucement en esquissant la forme du visage de Marjojo. Pein ferma alors les yeux et acquiesça de la tête comme si il venait de comprendre quelque chose. Il regarda Marjojo durant quelque seconde avant de reprendre la ou il avait laissé :

Pein :« La mort est omniprésent et tôt ou tard t’emportera, elle n’attend que ton heure. Rien ne sert de la craindre car elle sera toujours la et attende seulement le signal de dieu pour t ôter ton âme. Donc crains Dieu et ne la crains pas elle »

"Pein :La mort est omniprésent et tôt ou tard t’emportera, elle n’attend que ton heure. Rien ne sert de la craindre car elle sera toujours la et attende seulement le signal de dieu pour t ôter ton âme. Donc crains Dieu et ne la crains pas elle ..."

La jeune gothic le savait, elle avait l'impression de connaître la mort sous toutes ses facettes, les paroles du jeune Pein de touché en aucun cas la jeune fille, elle apprenait chaque jour à vivre avec la mort, les paroles lui parraissaient même ironiques, peut-être avait-il crut affecté Marjojo en parlant de cette maniére mais pas du tout... Alors d'un ton ironique elle répliqua :

"Marjojo :Je crois que la mort est peut-être ma raison de vivre, quant à Dieu, je n'y crois pas, qui a inventé cette stupidité, le monde n'est que souffrance éternel ...Je diras même que Dieu n'est qu'un simple espoir pour les imbécile qui croive être bénit par le saint esprit, mais la vrai bénédiction est la mort, dans notre monde qui n'est autre que celui de la survie, notre vie n'est qu'une douleur continue, mais quand vient la mort, c'est une liberté :

Ne crains pas l'éclat du soleil
Ni le baiser froid de la neige
Ferme les yeux, ouvre la bouche
La mort est bonne
Ne crains pas, le tourbillons du vent
Ni le coeur qui ralentit ses battements
L vent aime, lecoeur est aimé
Je te promet une chose
La mort est belle ..."

Pendant toute la durée de son discours la jeune fille ne cessait de tourner autour du jeune homme en traçant une ligne avec son doigt sur Pein, elle tentait avec maintes reprise de le regarder dans les yeux mais celui-ci par moment détouné son regard et à la fin des ses paroles elle prit son visage et le fixa dans les yeux, puis se dirigea vers le petit bassin pour aller y observer le reflets des étoiles et de la lune ... Pein quant à lui répliqua :

"Pein :Tu m'as l'air de bien connaître la mort .
Marjojo :Les gens sont étonnants avec leur prétendue ignorance .Vous commencez à mourir le jour de votre naissance .Chapue parcelle de peau qui se desquame, chaque cheuveux qui tombe, chaque prénom oublié est une mort quotidienne .La grande n'est as tellement différente ...
Pein :Et comment peux tu le savoir ?
Marjojo :Je le sais, c'est tout !"

La jeune fille regardait Pein avec un petit sourir en coin, mais elle gardais un regard neutre face au jeune homme, le vent commencer à souffler, la nuit rendait l'atmosphére de plus en plus froide .Pein se rapprocha doucement de la jeune fille, Marjojo avait l'impression qu'il se méfiait d'elle .Elle se retourna et lui se stoppa net et ne bouger plus, elle ajouta ironiquement :

"Marjojo :Je te sent tendu ... aurais tu peur ?

"Marjojo : Je te sens tendu ... aurais tu
peur ?

Pein sourit à la question de Marjojo et s’élança
brusquement vers elle, saisissant ses deux bras en la plaquant contre l’arbre se trouvant juste derrière elle. Pein tenait les poignets de Marjojo avec chacune de ses mains et son corps était coller au sien, leur deux visage n’était séparés que de quelque centimètre. Pein la fixait dans les yeux sans rien dire son mouvement était si rapide et si imprévue qu’il surprit Marjojo qui ne pus rien faire.

Pein ressentait le souffle de Marjojo sur sa peau et la légère chaleur qui se dégageait de sa peau, mais il en la relâchait pas et se contentait de la fixait âpres quelque seconde il ce décida enfin à lui parler :

Pein : « Je n’aie peur de rien Marjojo, sauf de moi-même car je suis Dieu …et je suis bien réel comme tu peux le constater »

Les lèvres de Pin frôlait celle de Marjojo à chaque syllabe qu’il prononçait, c’était comme un léger baiser à chaque fois mais une nouvelle fois Pein en semblait pas y porter attention. Il s’arrêta de parler quelque seconde âpres ses mots, toujours tenant Marjojo pars ses poignets avant de reprendre :

Pein : « Sais tu pourquoi je détourner le regard quand tu tournais autour de moi ? Car la mort me demandait à six reprises si ton heure était venue »

L’expression faciale de Marjojo changeait à chaque révélation de Pein, serait-elle qui aurais prit peur ? Pein en doutait fortement, il s’avait qu’elle avait connus la souffrance en son enfance et quelle l’avait fait grandir tous comme lui. Et sa Pein le savait depuis le moment où il lui avait passé sa main sur sa joue.

Pein relâcha les poignets de la jeune femme, puis se retourna et fit un pas avant de se retourner en s’adressant une nouvelle fois à la jeune gothique:

Pein : « Ne remet plus jamais en cause mon existence »

"Pein :Ne remet plus jamais en cause mon existence ."

Marjojo fut assez surprise de l'attitude de Pein, il avait dut tenter de l'impressionner mais rien n'y fit, elle resta aussi froide qu'une statue .La jeune regarda un instant les étoies, elles brillaient de milles feux, toute la magie d'une nuit au clair de lune pour de banals paysans ..... Mais pas pour la gothic, c'est une nuit où la mort frappe à plusieur centaines de maisons, des vies volée, la june fille commença à marcher en direction du jeune homme et lui murmura à l'oreille :

"Marjojo : Si tu es Dieu alors moi je suis la mort ..."

Le jeune homme inclina légérement la tête vers elle, puis elle passa devant lui et lui fit la révérence, il ne comprit pas tout de suite se geste, puis elle répliqua :

"Marjojo :C'est un honneur pour moi de rencontrer le tout puissant, le maître du monde ...Mais ce n'est rien par rapport à la mort, elle dirige toutc'est elle qui fait le bonheur des uns et le malheur des autres, tu ne peux le nier et tu le sais .Et ton existence je dois sans arrêt la remettre en cause, dois tu mourir aujourd'hui ou demain, seront nous la jour ou la nuit, auras tu mal ou non ....?
Pein :C'est pour toi qu'il faut garder ses questions .
Marjojo :J'en doute fort mon cher ami ...Vois tu Dieu ou pas, la mort ne fais aucune différence, à ce jeu là nous somme tous perdants ...
Pein :Toi aussi ....
Marjojo :Et je l'assume parfaitement, la vie est rempli d'imprevu et malgré que tout les êtres de cette terre connaisse la mort, elle reste toujours un événement inatendu de la part de tous, juste un conseil, lorsque ton heur seras arrivé, n'éssais pas de résister, si tu te laisse faire,ton décé sera aussi facileque ta naissance "

Elle lui sourit, elle avait l'impression de jouer avec Pein, un combat sans merci mais fait avec des mots ....

Marjojo sourit à Pein et Pein lui rendit ce sourire, il se rapprocha d’elle et prit sa main affectueusement et la place contre son torse. Pour qu’elle peut ressentir ses battement de cœur, Pein fixa les yeux de Marjojo s’en dire un mot, son regard se plonger dans le sien et leur visage se rapprochait peut un peut l’un de l’autre. Leur front finissait par se toucher et leurs lèvres se posèrent l’un sur l’autre, échangeant un baiser de tendresse entre Pein et Marjojo. Les battements de cœur de Pein s’affolèrent durant cet instant, puis Pein finit par reculer lentement.

Pein tenait toujours la main de Marjojo contre son cœur et il la regardait avec passion avant de lui adresser quelque mot :

« Dieu et la mort n’ecce pas un beau couple, Marjojo devient ma nuit
et je deviendrais ton jour. Ensemble donnons la vie et reprenons la. Soit ma déesse…Marjojo »

Les paroles de Pein semblait venir du fond de son cœur du moins c’est ce
qu’n croyait en apparence, à la fin de ses mots le regard de Pein changea
brusquement et Pein resserra fortement la main de Marjojo en répliquant :

« Laisse moi rire, la mort n’est rien comparer à dieu elle n’est que
son vassale et accomplit la tache que Dieu lui à donner ; celle de
reprendre la vie »

Pein resserrait de plus en plus la main de Marjojo durant ses paroles,
comme pour lui faire comprendre que ses paroles étaient vraies. Puis
soudainement il enfonça la main de Marjojo dans son abdomen juste au-dessus de son cœur, il la regarda ensuited’un air amuser avant de reprendre la parole :

« Maintenant tu as le pouvoir de vie ou de mort sur moi, prend ma
vie et fait en sorte que ma mort soit la plus douloureuse possible. »

Apres ses mot Pein afficha un sourire narquois avant d’adresser des mots
voix basses inaudible :

« Tue moi et je me réincarnerais dans un autre corps un Dieu ne
meurt pas Marjojo »

Durant les nombreuse paroles que lui avait soufflé Pein, la jeune fille gardait un visage neutre, elle voulait bien représenter la mort .Le baiser qu'elle avait reçu avait fait battre son coeur plus rapidement mais pendant un court instant,il avait serré la main de la june fille comme pour lui faire mal, mais aucune douleur ne venée .Puis soudain le jeune Pein planta la main de Marjo dans son abdomen et ajouta :

"Pein :Maintenant tu as le pouvoir de vie ou de mort sur moi, prend ma vie et fait en sorte que ma mort soit la plus douloureuse possible."

Ces queqlues mots firent sourire Marjojo, le jeune homme était passé d'un sentiment assez amical voir plus à une demande de mort, une envie si soudaine, la jeune fille gardait sa main enfoncée et s'apprétée à appuyer encor plus mais l'homme ajouta :

"Pein :Tue moi et je me réincarnerais dans un autre corps un Dieu ne meurt pas Marjojo ..."

Tout à coup la jeune fille retira brusquement sa main et regarda le jeune homme d'un air noir et ajouta :

"Marjojo :A quoi bon te tuer, tu n'en vaux pas la peine, pourquoi gacher de l'énergie à te tuer, tu n'es qu'un déchet de ce monde .Peut-être que la mort n'es rien par rapport à Dieu mais par rapport au autres je suis la chose la plus crainte, Dieu fait beaucoup de promesse mais il en tiens très peu, tu n'es qu'un menteur, comment les gens peuvent-ils avoit confiance en ça, moi la mort j'en fai une promesse et je la tiens tout le temps ....
Pein :Mais nous somme tous destiné à mourir un jour ...
Marjojo :He oui, tu en fais parti aussi, tu vient juste de le dir par toi même, tu ne peux donc pas être Dieu ...
Pein :Toi tu ne peux être la mort, car le jour ou tu moura qui fera donc la mort ?
Marjojo :Mes enfants peut-être, si j'en ai, mais je ferais perduré la mort, car même ce fichu monde est destiné à mourir, donc je suis la gagnante de ce jeu, je ferais mourir la lumière du jour, la nuit est la tristesse du jour, et les étoiles sont ses larmes...tout les jours j'apporte les larmes, tout les jours je prend la vie, et qui sait bientot peut-être rendrai-je la tienne ..."

Marjojo pris la main de Pein et la posa sur le coeur de Marjojo et elle le regardait dans les yeux puis calmement elle murmura :

"Marjojo :Chaque jour qui passe mon coeur est toujours plus triste ...
Pein :Qu'est ce qui le rend triste ?
Marjojo :Te savoir vivant !
Pein :Alors qu'attends tu pour me tuer je suis une cible facile, je n'attends que la mort ...
Marjojo : Patiente, ton tour viendra "

Elle dit ses derniére phrase avec un léger sourir diabolique ...

"Marjojo : Chaque jour qui passe mon cœur est toujours plus triste ...

Pein : Qu’est ce qui le rend triste ?

Marjojo : Te savoir vivant !

Pein : Alors qu'attends tu pour me tuer je suis une cible facile, je n'attends que la mort ...

Marjojo : Patiente, ton tour viendra "

Un sourire diabolique s’afficha sur le visage Marjojo âpres ses paroles, Pein la fixait sans rien dire attendant patiemment que sourire s’efface avant de répondre à Marjojo

Pein : Ecce réellement moi qui te rend triste Marjojo ?!Ou le faite que les gens adorent plus dieu que la mort ?!

Marjojo : C’est toi qui me rend triste et toute ton existence

Pein : N’ecce pas parce que tous les jours j’apporte la vie qui remplit de joie les cœurs et que toi tu apporte la mort qui les rend tristes,

Marjojo : non

Pein :
N’ecce pas parce que les gens me prie et me demande de l’ide alors que toi il t’ignore ?

Marjojo : Je te dis que non

Pein. N’ecce pas parce que j’apporte le bonheur et les leur du soleil et que toi tu apporte la tristesse et la nuit ?

Marjojo : Non !!

Pein : N’ecce tous simplement pas parce que les gens m’aime et toi il te déteste ?

Marjojo : Non tu dit n’importe quoi !!

[b]Pein :Tu peut mentir avec des mots marjojo
mais ton cœur lui ne men pas

Marjojo fut surpris par les dernières paroles de Pein, elle avait sans doute oublié que sa main était toujours posée contre son cœur qui s’affolait de plus en plus quand Pein lui posait ses questions.

Elle qui fixait Pein dans les yeux depuis un moment détourna le regard et fixa le sol, Pein vit des larmes se former dans les yeux de Marjojo et retira sa main de son cœur. Dans la fraicheur de la nuit la température chuta de plusieurs degrés et l’air devient humide. Puis des goutes de pluies se mirent à tomber chacune leur tour et devinrent de plus enplus nombreuse jusqu’ a former une averse au dessus de Pein et Marjojo .

[Des goutes de pluie glissaient sur le visagede Marjojo recouvrant ses larmes, ses habille ainsi que ses longs cheveux était trempé. Pein passa sa main sur la joue de Marjojo et releva sa tête .Le regard de Pein avait changé des spirales avait entouré sa pupille bleu claire. C’était
ses yeux qui étaient à l’origine de la pluie qui recouvrait les larmes de Marjojo et Pein tenait à ce qu’elle les voie.

Leur regard se croisèrent durant quelque seconde et Pein se sentit comme attirer par Marjojo, une nouvelle foi ses lèvres se déposèrent sur celle de Marjojo. Ses bras entourèrent la taille de Marjojo collant leur deux corps l’un à l’autre, une nouvelle fois Pein sentit le souffle chaud de
Marjojo sur sa peau. Il sentit aussi que le cœur de Marjojo battre rapidement et soudain il remarqua que le sien aussi battait de la sorte.

Pein cessa alors d’embrasser et Marjojo et décolla ses lèvres des siennes, il la regarda quelque seconde avant de lui parler :

Pein : « N’ecce pas ironique la mort, réconforté par Dieu ? »

Mais soudain la jeune fille eut un mouvement de recul, elle regardait maintenant le jeune homme avec un air noir, elle avait l'impression de comprendre, elle ajouta d'un ton froid :

"Marjojo :Je ne veux pas de ta pitié, j'ai compris, tu as peut-être des pouvoirs divins, inconnus à mes yeux, mais pourqui cherche tu à cacher mes larmes, ma tristesse est toujours là et même un Dieu ne pourra rien n'y faire ...
Pein :Mais ...
Marjojo :Je préfére rester seule, la mort est solitaire et le restera, car telle est ma décision ..."

La jeune fille regarda le ciel et vit que la pluie commençait à se calmer, elle regarda le jeune pein et lui fit un grand sourir, comme pour un pardon, comme une joie retrouvée, certe elle avait apprécié les instants de réonfort avec Pein mais elle avait ressentit cela comme de la pitié, elle n'en voulait pas, d'ailleur pour le moment, ele cherchait à se découvrir elle même, elle ne cherchait personne encor, mais elle savait qu'un jour elle ne serait plus seule, depuis quelques temps, elle avait découvert une partie cachée en elle mais encor inconnue, il fallait qu'elle le découvre, mais pour le moment, elle voulait essayer de mieux se comprendre ... Elle vit un arc en ciel se former près des nuages,tout en regardant le ciel elle dit :

"Marjojo :C'est magnifique, je n'ai jamais vu un arc en ciel aussi beau .
Pein :c'est ça quand on est dieu ...
Marjojo :C'est assez impressionnant ...même la ort ne peux égaler cela mais elle sait faire pas mal de chose ..."

Le jeune homme afficha un sourir sur son visage, même s'il paraissait froid sur lui, il avait quand même un fond assez doux, il ne cherchait pas à faire de mal à Marjo, il cherchait surement à mieux la connaître ...

Pein:c'est ça quand on est dieu ...

Marjojo :C'est assez impressionnant ...même
la mort ne peux égaler cela mais elle sait faire pas mal de chose ..."

Au parole de Marjojo Pein eut un léger sourire depuis un petit moment lui et Marjojo ne cherchait plus a à se montrer leur force l’un à l’autre , il cherchait plutôt à se connaitre et cela enjouait Pein qui se tourna ensuite vers l’arc-en-ciel qui était apparue en même temps que les première lueur du soleil créant un magnifique constate entre les dernières étoile scintillantes , la lumière douce de la lune et le soleil orangé qui se levait et la magnifique voute de l’arc-en-ciel qui commençait sa route dans la nuit pour la finirai dans le jour .

Ce spectacle était magnifique et mélancolique, Pein se tourna vers Marjojo et lui dit avec un léger sourire :

Pein : Ne t’inquiète pas je sais que la mort sais faire pas mal de chose et j’espère que tu me les montreras un jour.

Pein tendit ensuite la main à Marjojo et la fit venir prés de lui, il retira le long manteau noire et rouge qu’il portait sur lui et le déposa sur les épaules de Marjojo. Il commença ensuite à marcher en direction d’Otto il avait prit la décision de raccompagner Marjojo chez elle. Ils commencèrent la route ensemble et Pein se tourna vers Marjojo pou lui dire :

Pein :Marjojo parle moi de toi !

{dsl de la longuer du rp}

Marjo fut étonnée de voir le jeune Pein deposa sa cape sur elle, ils ne cherchaient donc plus à se lancer des pics mais plutot à se connaître et à s'apprendre ...Ils partirent tous les deux dans la direction du village d'Oto No Kuni puis le jeune homme demanda à la gothic :

"Pein :Pein :Marjojo parle moi de toi !"

Marjojo fut surprise de cette question, mais elle y répondit avec un grand sourir :

"Marjojo :He bien, je suis viens d'un village au Nord du Nippon, j'ai grandit avec mon père, étent donné que ma mère est morte en me mettant au monde et ensuite j'ai décidé de devenir ninja pour servir Oto, j'adore ce village, les villageois y sont forts accueillants .
Pein :Alors tu n'as vécu qu'avec ton père ?
Marjojo (baissant les yeux) : Oui ..."

Cette question était difficile pour la jeune gothic, elle n'aimait pas parler de ses problémes, surtout de celui-ci, elle voulait évitait de raconter son passé, c'était d'ailleur à cause du décés de son père que la jeune était devenue une adolescente gothique .Alors elle demanda :

"Marjojo :Est ce que Dieu souffre quand il perd sa famille, ressens tu la douleur au fond de toi même ? Je voudrais savoir, car la mort, elle, souffre souvent, des plaies à jamais ouvertes et qui ne refermerons surement jamais .Et pourquoi devons nous souffrir ? Je pose trop de questions, je m'embrouille, je souffre ..."

La jeune fille garda les yeux baissés, mais Pein pris le visage de a jeune gothic comme un frère, Marjo pensait qu'elle pouvait se sentir en sécurité avec lui, mais elle avait peur de souffrir en continu, une douleur intenable ...

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