Team Naruto
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Team Naruto


 
AccueilPortailRechercherDernières imagesConnexionS'enregistrer
Pensez à mettre votre profil à jour. Mon Profil > Informations ! Remplissez bien votre profil afin que les informations affichées correspondent à votre situation réelle ! Merci !
Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €

 

 Comme voler une sucette à un bébé...

Aller en bas 
AuteurMessage
Hyuuga Shireisu
Nuke-nin
Nuke-nin
Hyuuga Shireisu


Masculin
Nombre de messages : 428
Age : 31
Localisation : Arcadia
Grade : Nuke Nin
Clan : Hyûga
Camp : Nuke-Nin
Affinité 1 : Fuuton
Affinité 2 : Raiton
Capacité Ninja 1 : Genjutsu
Date d'inscription : 05/01/2008

Feuille de personnage
Vie:
Comme voler une sucette à un bébé... Gauchebf12000/2000Comme voler une sucette à un bébé... Barrevidemo4  (2000/2000)
Chakra:
Comme voler une sucette à un bébé... Gauchebf12400/2400Comme voler une sucette à un bébé... Barrevidemo4  (2400/2400)
Ryos: 2 000

Comme voler une sucette à un bébé... Empty
MessageSujet: Comme voler une sucette à un bébé...   Comme voler une sucette à un bébé... EmptyLun 11 Aoû - 19:02

[Lundi 11 Août | Après midi et nuit après la rencontre avec Sarutobi]

Il n’avait fallu que quelque seconde à Tanin’ pour rallier Iwa, le village ninja dans le pays de la Terre. Tanin’ avait repris le contrôle total sur le corps et l’esprit de Shireisu à la fin même de la discussion avec Sarutobi. Quand ce fut arriver Shireisu avait sentit l’entité pressé. Quelque chose de rare. Le temps jouait t-il contre eux? Y avait-il eu un problème quelconque? Il ne sut. Tanin’ devait aller à un endroit dans l’instant. C’était la seul chose de sûr. Encore une fois encore Shireisu sentit son esprit oppressé par celui du parasite. Il cherchait quelque chose dans son esprit. Quelque chose du passé, don il se servait dans de rare occasion pour la simple et bonne raison, que si il l’utilisait pour des longue distance, il laisserait Omidemo à la place initial.
Quand le parasite eu trouvé le casier mémoire qu’il désirait. Il se baissa au niveau du loup lui murmurant quelque mot inaudible. Et la créature de la nuit s’en alla sans son maître suivant des ordres clair et limpide comme l‘eau coulant d‘un ruisseau.

Mais avant de prendre le pays de la Terre comme destination, Tanin’ se transporta dans un lieu étonnant. C’était une combe étonnante entouré de falaise incrusté de minerai réfléchissant la lumière du soleil comme le faisait en ce moment l’eau du lacs bleu de la combe. Cette zone d’eau laissait entrevoir d’innombrable îlot de terre verdoyante. Un seul obstacle: Le soleil don la lumière était multiplier par les falaises miroir et l’eau.
Dans la combe, il faisait une chaleur presque insoutenable et laisser aveugle tout ce qui osait ouvrir les yeux en son sein. Ceci n’arriva pas Tanin’ c’était transporté sur une des îles les plus au centre de l’étendu d’eau. Sa vue était éteinte il se guidait de dieu sais qu’elle manière sans doute employant au maximum de ces capacité ses autre sens.
Sur l’îlot il alla jusqu’à un saule étendant du mieux qu’il pouvait son ombre pâle face à la lumière accru. Une fois l’arbre atteint Tanin’ creusa un trou sans une longueur d’hésitation. Bientôt il déterra un magot protégé d’un voile de soie blanche et noir. Il retira le tissu et le fourra dans son sac, laissant découvrir deux anneau d’un bon centimètre de largeur chacun. Sur les plaques d’or faisant tout le contours des l’anneaux, étaient incrusté de fine reliure noire représentant des tigres en chasse.
Sans plus attendre, Tanin’ les mis respectivement à son index et majeur droit. Dans la seconde suivante il avait encore disparut.

Cette fois il vagabondait dans une grotte aménagé de belle manière, des tentures flamboyante cernait les murs de la pièce circulaire principal. Table massive et travaillé, sofa de bonne qualité, armoire de bois sombre et verni. Mais tout ce luxe laissa Tanin’ indifférent. Sans plus de révérence il alla dans une autre pièce. Il s’agissait d’une chambre un grand lit deux place en son centre. Un gigantesque tapi s’étendait sur le sol. Des bibliothèque et autre meuble d’exposition saillait les murs. Un bureau ce trouvait à la droite du parasite. Il y alla et chercha rapidement quelque chose dans les tiroir du meuble. Rien mis à part de la paperasse, des parchemin, et des cahiers de note. Il analysa un instant le bureau. Un sourire apparut derrière son masque.
Un ingénieux mécanisme en dessous du bureau permettait l’ouverture d’un tiroir secret. Une fois ouvert… Rien strictement rien. Mais Tanin’ n’en resta pas démuni. Il savait qu’une plaque de surface cachait le contenu. Cela ne lui prit pour la retirer. Une fois fait, il en ressorti un collier. Un cercle retenait une figure en courbe et en pique. Dans l’immédiat Tanin’ ce le mis autour du cou. Puis posa son regard sur la bibliothèque rattaché et en tira un livre qui s’avéra être un épais cahier de note portant le titre de « Bilan de Mission ». Tanin’ tourna les page jusqu’à un chapitre croustillant parlant d’un lieu nommé le Temple de Terayama. Dans les ligne, l’écrivain décrivait son entraînement accompagné d’un certain Omidemo. Ils arpentaient la voie du Houhou. Tanin’ passa l’histoire jusqu’à atteindre la dernière page ou était retenu un autre collier cette fois c’était un oiseau dans un cercle. Le parasite détacha le bibelot et se le mis autour du cou pour tenir compagnie à l’autre objet.
Disparut.

Cette fois il était bien dans les terres d’Iwa sur une proéminente falaise qui surplombait le village caché. Le soleil était encore haut dans le ciel. Même si il pouvait remplir son objectif en plein jour, Tanin’ préféra attendre l’arrivé de la lune, que la nuit pose son voile de mystère, d’effroi et d’étrangeté sur la ville se trouvant à ses pieds. Il était hors de question de se faire grappiller un bout de chemin. Le temps n’était plus à la diplomatie, mais à une action directe mais réfléchi.
L’entité avait beau être un être cruel et sadique aux idée virant au fanatisme, il ne manquait en aucun cas de réflexion dans ses plan. Tout été réfléchi à l’avance gardant une marge d’erreur et un plan de rechange si jamais le premier plantait. C’est simple, le parasite se croyait jouer au échec. Les Échecs de la Vie.

Quand le soleil disparut enfin derrière les montagne, derrière l’horizon; le reste du panorama ce teinta de couleurs de plus en plus sombre encore une courte heur et la lumière du jour s’en sera allé. Laissant Iwa dans le calme de la nuit noir. Tout au long de la journée, Tanin’ avait vue les nuage s’accumulé dans le ciel, un orage allait avoir lieu dans peu de temps. Parfait. Son odeur disparaîtra comme lui lorsqu’il aura son objectif en main. Dans peu de temps.
Voila, le temps était venu. Tanin’ s’élança dans le vide. Le vent siffler à ses oreille, il descendait à une vitesse hallucinante, mais la pluie fut plus rapide et il senti les première goûte. Le parasite crocheta une racine épaisse à l’air libre après avoir creusé la roche de la falaise. On pourrait se demander comment ses membre avait résister à se brutal changement d’état, de vitesse implacable à immobilité parfaite. Il se dressa sur la branche. Le village n’était qu’à une vingtaine de mètre en contrebas. L’entité repéra les garde patrouillant sur les muraille et quelque patrouille vaquait dans les ruelles de la ville. Dans les quartier mal famé, Tanin’ pouvant entendre la joie ou la colère de l’ivresse.
Il sauta à nouveau.
Quand il se reçu le première éclaire apparut dans le ciel suivi du mugissement terrifiant de son compagnon céleste. Les quelque goûte de pluie était devenu véritable déluge. Les vêtements du parasite était trempé comme ses cheveux et son masque. Il mis sa capuche noir et commença à avancer de toit en toit dans la nuit. Ses pas n’était même pas des soupirs, il ne faisait qu’un avec se qui l’entourait silencieux comme une ombre.
Les ruelles était de plus en plus inonder, et pour s’amuser Tanin’ y descendant lorsque une patrouille passait avec difficulté pataugeant dans l’eau et la terre. Dans l’eau quand il marcher, aucun remous cernait ses mouvement. Le Silence même. Les gardes passait à quelque centimètre de lui sans même l’entrevoir. Et pour peu qu’un d’entre eux et le regard plus aiguisé que les autres, il ne verrait qu’un simple rêve en mouvement disparaissant d’un sommeil inconnu.
Tanin’ se joua de la vigilance de la ville. Personne ne l’avait vue tomber du haut de la falaise jusqu’au toit d’une habitation à une trentaine de mètre des murs d’enceintes. Et depuis personne ne l’avait vue errait dans la ville jusqu’au bâtiment le plus haut, accolé à une montagne noir. Un bâtiment gardé. Porte, fenêtre, balcon, jardin. Des soldats surveillé chaque parcelle de terrain, et se devait être la même chose à l’intérieure. Il n’y avait aucun doute à avoir. C’était bien l’endroit qu’il cherchait.
Il aurait put atteindre directement la salle principal du bâtiment mais il aimait les jeux dangereux surtout quand il savait qu’il serait le seul vainqueur à la fin de la partie. C’est certainement pour cela qu’il passa les gardes de l’entré du domaine passant par un mur adjacent sans soucis notable. Pour ça aussi que les soldat du jardin n’entendirent aucun frissonnement de l’herbe rase, roulement dans les zones caillouteuse. Pour cela qu’il n’avait rien vue de plus que se qu’il gardait depuis leurs mise en service.
L’ombre passait leurs vigilance si facilement s’en était presque risible. Les hommes n’avait pas même fait un mouvement de tête quand il leur était passé à un mètre à peine.
Épris de liberté il ne se fera jamais enfermer. Il était comme l’air. Soumission, Impossible, Prison n’était pas des mots de son vocabulaire. Il était libre. Le vent, l’eau, le feu, la terre l’ombre il était le monde. Le monde était lui. Le monde libre, la liberté il aura toujours.
La pluie qui tombait sur ses vêtement ne provoquait aucun bruit comme si elle avait compris qu’il était elle. Tanin’ atteint le bâtiment. Il regarda au dessus de lui. Un balcon était placé deux étage plus haut. Facile. Le parasite saisi une première prise quasiment invisible puis une seconde et ainsi de suite. La paroi vertical sans réel maintien ne lui posa aucun problème pour la gravir. En quelque minute il était sur le balcon. Noir sur noir, les gardes n’avait rien remarqué.
La fenêtre évidement ferma ne fut pas un plus gros souci pour Tanin’, il passa sa main par un carreau. Cette main avait prit une teinte violette, elle semblait être devenu spectre. En réalité sa mains s’adapter a molécule de se qu’elle traversait pouvant ainsi aller plus loin ce fut ainsi qu’il ouvrit la porte de l’intérieur. Et qu’il put rentré dans le bâtiment au sol fait de marbre sombre.
Il grimpa quelque étage. Au cinquième il entendit des pas. Il eu juste le temps de se plaqué confortablement dans un angle au plafond, juste au dessus d’une embouchure de porte avant qu’un garde passe. Ce garde semblait plus habile que les autres, il c’était arrêter en dessous du parasite. Cherchant des yeux le bruit minime qu’il avait réussit à saisir. Il vis des trace humide sur le marbre. Il allait bientôt étudier les murs et plafond… Donner l’alarme!
Il n’en n’eut pas le temps.
Comme un serpent, Tanin’ était tombé de sa position un katana de taille habituelle entre ses main. Comme un fauve la lame mordit le cou de l’homme au même moment qu’une mains fantomatique lui traversait l’épaule. Le sang n’eu pas l’occasion de sortir. Le poison de la main avait déjà agi pétrifiant la substance rouge à même le corps. Bientôt le poison agirait comme un acide transformant l’homme en une vulgaire flaque d’eau.
Ni plus, ni moins.
Il était mort.
Le parasite se reçu impeccablement et continua sa course. Rien ne l’arrêta à nouveau durant son ascension. Il atteint sans encombre le huitième étage. Constitué d’une pièce. D’un bureau. Luxueusement décoré. La porte n’avait pas été verrouillé, et personne n’y était. Après tout les heures avait passé, il devait se faire tard. L’entité rentra, fermant avec soins la porte. Se retrouvant dans un noir absolue. Mais ses yeux voyait grâce à Shireisu. En quelque coup d’œil il repéra tous les meubles de la pièce. La personne qui travaillait ici, était soignait tous les dossiers était rangé à leurs places, chaque livre était classé et placé dans leurs zone propre. Rien ne traînait. Facilitant un déplacement déjà assuré de Tanin’.
Il avait trouvé se qu’il cherchait. Dans une armoire massive dans un compartiment secret qu’il n’eu aucun mal à ouvrir le mécanisme n’était qu’une simple proéminence à actionner. Une rangé de livre devant. Il retira la partie centrale libérant la vue sur un coffret au bois et en fer finement sculpté. Il ne possédait ni la clés ni de passe partout. De plus il désirait faire ça discrètement sans casser le coffret. La main fantôme fit encore son œuvre. Une par une le parasite saisi les pierre parfaite et les mis dans son sacs, soigneusement positionné, comme tous les objets présent à l’intérieur. Une fois assuré qu’il ne restait rien dans le contenu, il remis en place le coffret ainsi que les livre s’assurant d’avoir bien mis dans l’ordre d’avant et referma le compartiment secret. Il remis en place tout ce qu’il avait put bouger. Et se dirigea vers la baie vitré. Il l’ouvrit de tel façon que la pluie ne pénètre pas la pièce et se mit en équilibre sur la saillie. La main fantômes fit encore son œuvre et referma l’ouverture à clé.
Tanin’ regarda attentivement autour de lui. La baie vitré du bureau donnait directement sur le panorama de la ville. Il grimpa jusqu’au toit du bâtiment et alla jusque au bord opposé sans émettre de bruit. L’immense falaise était là, en collision avec le bâtiment. Une multitude de prise saillait la paroi irrégulière. La monté fut donc un jeu d’enfant pour lui, prenant le temps de quelque pose admirant le village d’Iwa sous un déluge d’eau et d’éclair dont les mugissements se faisait de plus en plus lointain.
En une bonne demi-heure il arriva au sommet, et dans l’instant suivant il disparut, comme un rêve. Seul preuve de son passage: Un disparut, un coffre vide.


[H.RP: Je possède maintenant les objets artefact d’Iwa.
Je m’explique:
Ces objet étant au village de la roche et personne n’ayant indiqué leurs situation géographique ou autre elle se trouve obligatoirement dans le bureau du Tsuchikage.]
Revenir en haut Aller en bas
 
Comme voler une sucette à un bébé...
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Me,moi,comme vous voulez XD
» ~~Comme la vie est triste...~~(PV Ichigo)
» Comme pour Ikhoa
» /!\ Comme d'image pour kainata /!\

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Team Naruto :: Archives/Corbeille :: Archives :: Archives 3.0 :: Iwagakure No Sato (Satori) :: Portes du village-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser