Il faisait froid, une brume légère envahissait l'air déjà plein d'humidité. Ayao marchait sur un chemin de terre boueux, il avait un aspect naturel a première vue, mais en réalité, il était loin d'être comme les autres. Il ne portait jamais de chaussure, il n'aimait pas avoir les pieds enfermer toute la journée dans des bottes ou des sandales, il préférait sentir la nature partout où il allait. Il portai un long pantalon en tissu rouge, ainsi que des longs gants allant jusqu'a son coude, tout en laissant ses doigts en liberté, là aussi il préférait sentir le vent passer entre ses doigts. Il était torse nu, sans aucun poil sur la peau, il ne se les rasait pas, non, c'était naturel chez lui. Il avait passer son arc derrière son dos, et son carquois remplis de flèche pendait à sa ceinture. Mais ce n'était pas là le plus marquant lorsqu'un passant s'arrêtait pour l'observer, car Ayao portait une bande de tissu sur les yeux. Un souvenir douloureux pour lui, cela datait du temps où il était enfant, un homme lui avait arracher les yeux pour lui apprendre à rester calme... Les passants se demandaient à chaque fois comment il pouvait faire pour voir où il allait, c'était simple, quelqu’un voyait à sa place, son fidèle faucon volait au-dessus de lui, poussant un cri de temps a autre pour avertir son maître d'un obstacle ou d'une présence. Il adorait son compagnon, toujours fidèles, il ne pouvait imaginer vivre sans lui. Ayao n'était pas du genre bavard, mais quelque fois, il se surprenait à discuter avec son faucon, il avait la certitude qu'il le comprenait. Le faucon qui planait majestueusement descendit soudainement en piquer, fit un demi-tour et ce posa sur l'épaule de son maître.
" Que ce passe t-il Hayabusa ? "
Hayabusa poussa un léger cri en signe de réponse, la langue des faucons n'était pas si difficile lorsque l'on prenait le temps d'écouter. Ayao avait tout de suite compris, quelque chose d'imposant se trouvait au bout du chemin. C'était un grand village d'après ce que disait Hayabusa. Mais Ayao voulait en avoir le cœur net, il apposa une main devant les yeux de son faucon et le relâcha dans les airs, Hayabusa (surnommer Haya) vola droit en direction du village. Ayao voyait à travers les yeux de son faucon, une vision a la fois claire et précise, il voyait tout ce qu'il avait besoin de voir et meme beaucoup mieux qu'avec des yeux d'humain. Il continua d'avancer lentement en direction du village, il s'arrêta net lorsqu'il atteignit la grande porte. Ayao avait senti que l'atmosphère était étrange, empli de douleurs et de souffrances. Et ses doutes se confirmèrent lorsqu'il vit la porte en ruine, fracasser en deux, la muraille autour ne tenait meme plus debout. Il n'y avait aucune présence aux alentours, Ayao décida de passer la porte et d'enter dans le village, pour trouver une explication a ce qu'il c'était passer. Le village semblait désert, abandonner par la vie, les armes éparpiller un peu partout sur les dalles pavées laissaient à penser qu'une bataille avait eu lieu ici, et que par conséquent, c'était la guerre qui avait détruit ce village pourtant, Ayao ne trouva aucun corps ou squelette joncher le sol. Tout était en ruine, les portes de nombreuse habitation était ouverte ou fendue en deux, une couler de sang stagnai sur le rebord d'une fenêtre, meme les grands bâtiments était en ruine. Un silence de mort s'installa peu a peu, Ayao avait cesser de déambuler entre les ruelles désoler, il pensai déjà a rebrousser chemin. Haya poussa alors un cri strident, en un éclair, Ayao avait empoigner son arc et une flèche a la pointe fine et aiguiser était tendu en direction de la grande place, là où siégeait autrefois l'Académie ninja. Une silhouette était percher sur les décombres.
" Décline moi ton identité ou je lance une flèche de semonce au raz de ton oreille !"
L'ombre percher disparu dans le souffle du vent pour réapparaître sur les dalles pavé devant l'académie. Un reflet lumineux éclaira pendant un instant un objet métallique que tenait l'ombre a sa main droite. un allier où un ennemi, Ayao ne le savait pas encore. L'ombre disparut encore un fois, emporter par le vent on ne sait où. Un hurlement retentit a traver le village, une femme etait sortit d'une des maisons delabrer, ses vetemes etait en lambeaux, dechirer et sale, un homme sortit a sa suite, un katana a la main.
" Aller vien ma biche ! Je serait douleureux, mais tu va aimer ça ! "
Le bandit se jeta sur la femme qui hurlait et ce debattait, appelant a l'aide meme si elle savait sa derniere heure de digniter arriver. L'homme n'avait pas remarquer le faucon qui volait au dessu de lui en poussan des petits cris. Ayao decocha sa fleche, elle filait comme un eclair et volait aussi majestueusement qu'un oiseau. La pointe tranchante, tailler dans la roche au bors denteler, se planta dans le cou du bandit, qui n'avait meme pas entendu le siflement du projectile. Pendant un instant, la femme lorgnait sur le sang eclabousser un peu partout, mais elle se releva, cachan sa poitrine, elle partit en courran.
" Sale pilleur...Je me demande comment tu t'appelait, mais tes intention je les ai deviner, tu as trouver ce village par hasard, alors tu y a emmener ta copine naïve pour t'ammuser, mais elle a vite compris qui tu etait, et elle a preferer partir...Tu as donc eu ce que tu méritait, une mort rapide...."
Hayabusa se posa sur son epaule droite, il caressa la tete de l'animal qui lui rendait cette gentillesse par de petit cris de satisfaction. L'animal se retourna, et son cri strident retenti a nouveau, l'ombre etait revenu, elle se tenait droite, toujours un kunai a la main.
" Ma menaçe tien toujours et si tu doute de ma conviction, regarde l'etat de cet homme..."
Cette ombre allait elle denuer lui repondre? où alors elle resterait planter là a l'observer? Allier ou Ennemi, Ayao n'allait pas tarder a le savoir.
"Que fait tu en ce lieux devaster? Il n'y a plus rien, hormi la mort..."
"Je cherche a faire ma place en ce monde."
L'ombre s'approcha de lui , grace au yeux du faucon, Ayao voyait une femme au visage parfait, entierement vetu d'un long manteau noir. La femme devait avoir son age environ si ce n'etait plus. Elle avait les yeux bleue mais un fin halo de vert percistait sur les contours. Elle n'avait aucune imperfection sur le visage, ses levres formait un doux sourire charmeur.
" Ce n'est pas ici que tu va faire ta place, a moin de tout reconstruire...Mais ce village est en ruine, il sera impossible de le remetre en etat."
" Tu vien de ce village?"
" Non, mais je sais que ce village s'apellait Otokagure No Sato, je suis tombé dessu par hasard."
" Je vais le reconstruire."
La femme ricanna silencieusement tout en regardant la bande de tissu qui couvrait les yeux d'Ayao.
" Tu peut partir où m'aider c'est comme tu veux..."
Ayao envoya Haya dans les airs, en premier lieux, il fallait netoyer les rues, apres seulement la reconstruction pourrait commençer. Mais Ayao se dirigea vers une grosse pierre, morceau d'un monument en ruine qui etait tomber sur une maison, il tenta de la soulever, mais il n'y parvin pas, il s'ecroula au sol, le soufle rauque. Epris par un sentiment de pitier, face a l'handicap d'Ayao, le jeune femme soupira.
" D'accors je vais t'aider ! "
D'un bond, Ayao se releva comme ci de rien n'etait, un sourire en coin marquan sa betise. la jeune femme s'aprocha pour l'aider a degager cet enorme rocher, mais Ayao l'arreta.
" On va deja commençer par netoyer les rues ! apres on reconstrui ce qui peut encore l'etre ! "
La jeune femme passa une main dans les cheveux d'Ayao et partit a la recherche d'outil pour netoyer les rues. Ayao s'aprocha de la maison devan lui, la porte etait tacher de sang, l'obscuriter avait envahit l'interieur de la maison, il ne pouvait rien voir a l'interieur.
" Au faite, je m'appele Kami et toi ?"
" Ayao...Ayao Mizako."
Il partit dans la maison en prenan soin de ne rien toujours, sans meme avoir eux besoin de l'appeler, Haya etait poser sur son epaules droite, donnant sa vision perçante a son maître. Une seule piece etait presente avec un lit bloquer au fond, une odeur horrible emplissait l'air, des moches tournait au dessu du lit. Ayao vu un bras decharner sortir de la couverture rouge. Ayao remarqua un balais a droite, il l'aggripa et sortit dans la rue et jeta le ballai au pieds de Kami.
" Tien, balaye le sol ! "
Kami jeta un regard noir mais elle passa quand meme le balaye sur les dales de pierre. Ayao retourna sur ses pas et regarda la grande porte, ils sortit alors une feuille de papier de la poche de son pantalon, et griffona dessu pendant quelque heures.
" Quesque tu fait ? Ne m'aide pas surtout !"
Kami s'approcha et regarda par dessu son epaule, le parchemin etait grifoner par de nombreux dessin et calcul qui etait pour elle incomprehensible.
" Il faut reparer la porte et la muraille, c'est le plus important."
" Alors j'ai passer le balais pendan une heures pour rien ?!!"
" Mais non pas pour rien ! Tu t'es muscler le poigner."
Ayao demanda a Kimi de rassemler les gros morceau de pierre qu'elle pourrait trouver et les rassembler devant la grande porte. Pendan une heures, elle se suait a la tache, heureusement, elle etait douer et savait parfaitement controler son chakra. Ayao etait encore devant la grande porte, immobile.
" Et maintenant ? "
" Il nous faut de l'argent..."
" Tu en as ? parceque moi non ! "
" Prend ce parchemin, va a la banque du village le plus proche et retire tout l'argent, et tu achetera ça."
Ayao tendi sa feuille de papier contenant une liste des materiaux et outil pour reconstruire la grande porte. Dans un soufle d'agacement, Kimi pris la fueille et partit vers le village paysan le plus proche....
Sujet: Arriver D'Ayao Mizako 