Départ au delà des mer et en dehors du monde...

[Musique]

-Alors t'es tu décidé? Partons nous en ta compagnie Shireisu?
-Oui. Nous partons pour mieux revenir...

Il faisait nuit noir dans le port de Kiri, la garde en avait été levé et pour seul lumière éclairant le sombre quelques braseros en jouaient le rôle. La neige avait commencer à tomber une heure plus tôt dans les îles du pays de l'eau, l'aire était froid, très froid... Mais moins froid que le cœur des hommes qui attendait devant un grand navire de bois sombre, de toile rétracté pour cause de tempête, et de mélancolie palpable...
Une grande partie de l'équipage était encore à bord du batîment préparant un départ imminant pour des mers taché par la neige et sinué par les vents. Se serait un voyage épuisant, et les marins du pays de Tâ le savait bien et se concentré déjà psychologiquement à l'aventure... Quant au reste des hommes, une partie porté des vivre du port jusqu'à la soute par une passerelle à cette édifice. Et hormis Shireisu, et le loup noir à ces côté trois hommes leurs faisaient face. Deux marins à la mine sombre et un personnage symbole de patience et calme extreme dans de beau vêtement noble, et cheveux, blanc comme la pureté de la neige. Un viel ami de Shireisu dont il c'était souvenu il y a peu et qu'il avait contacté dans l'immédiat pour un long, trés long voyage. Disparaître de la circulation, se ressourcer ailleur. Oublier, ce faire oublier. Tel un inconnu voguant loin de l'esprit simpliste de l'humanité.

-Bien, alors embarquez. Nous allons partir.

Ils s'éxécutèrent suivant les derniers vivres. Chaque marin avait ce visage fort des hommes de la mer mais dans cette nuit d'hiver, une triste face se cachait derrière cette pugnasité habituel. Le pays de Tâ était dans une periode trouble. Peu à peu se faisant dominer par un tyran se servant des service de renseignement pour éxécuté de sombre tâche. Les pays voisin enpiétait quant à eux sur le territoire, se servant de l'escuse du danger dictatorial pour ravager ville et village. La guerre était donc partout où l'homme était... Mais il ne fallait pas se faire d'illusion la paix ne serait jamais. Avec ou sans les hommes le terme évolution qui serait plus vrai en tant que désévolution serait toujours présent, cette esprit reptilien, préhistorique inspirant les envies primaire et insencé d'une vie dite intelligence... Bref. Il n'y avait pas d'espoir pour un monde déjà perdu, il fallait subir par delà les idéaux et se battre comme un chiffonnier pour garder les pieds sur terre et les yeux vers le ciel. Un rêveur dans la masse indistincte de peuplade en vulgaire copie d'être sans rien d'excitant pour la vie. Vivre comme un démon, seul, ne vivant que pour soit... Qu'importe on devait laisser le cour du temps couler dans le fleuve instable.

*Continu d'avancer suis le chemin que tu empreintais, n'abandonne jamais si ce n'est le choix qui te l'a demander. Avance, avance toujours dans le sens où te mène ta voie, elle seul connais l'itteneraire à suivre, écoute là, laisse là te guider. Jusqu'au bout. Jusqu'à ce que la nuit s'écroule et que le soleil chute que tout deviens noir, jusqu'à la fin de tout. Toujours.*

Shireisu avait décidé de se séparer de la voie destiné au Houhou. Il suivait maintenant la séparation et y avancer dessus, sans se retourné. Jamais.
Il s'installa sur l'avant du navire, accouder au pont, l'oscillement du bâtiment s'accentuait déjà à peine sorti du port. Et la neige tombait sans fin. Impécablement blanche dans le noir de la vie. Si blanche... Tant contraste... Qu'elle rendrait aveugle les maux du coeur pour se concentré seulement sur l'instant présent, instant unique, instant qui n'aura qu'une vie, celle de la seconde même.

*Vie et vois. Vois et archive tout ces moment unique qui font d'une vie, une vie complète, qui n'a pas trépasser face à l'innutiliter. Regarde, connais toi, connais le monde et disparait en toute plénitude. Une vie... Parfaite.*

Le navire était maintenant au milieu des eaux infini de l'océan, toute terre avait laissé place à la mer... Un silence muet de vague. Trombe et crash. Fracassement inninterrompu, déluge, chute. Noir. Néant. Dépression. De là naissait le nouveau caractère de cette âme torturé et éternel qu'était devenu Shireisu aprés la perte prématuré de son innocence. Comme si cette dernière était son équilibre aujourd'hui perdu. Maintenant il se balancer entre radicalisme, machiavélisme, sagesse, bienveillance, depression et incompréhension. Perdu. Trop tard pour se retrouvé. Trop de chose c'était passé, trop de chemin avait divergé, il en avait perdu son fil d'Ariane au milieu du labyrinthe qu'avait été ça vie. Il craignais à tout tournant de rencontrer le Minotaure, sa chute, sa fin... Sa libération.

Il savait déjà que ce n'était pas un adieux qu'il faisait aux Terres de son enfance ni même au monde. Mais c'était la fin d'un récit, d'une histoire, d'un roman. La plume régissant imperceptiblement le tout derrière son imprévisibilité gratté déjà le papier. Et bientôt une couverture s'ouvrirait vers une autre histoire. D'autre douleur, d'autre peine... Mais déjà, Shireisu avait tout perdu, il ne craignait plus la fatalité, il subirait sans craindre. Il resterai là devant le sort. Le narguant sans doute, se riant de lui. Jeux. Mais il serai d'une âme si triste si incompréhensible, si dépressive que rien ne pourra l'atteindre. Un vide dans son coeur. Un être appart. Par delà le tout et le rien. Evolution?