#Analepse# La voie du Houhou I - La concentration parfaite

[-Je tien à dire que certain personnage et lieu ne m'apartienne pas.
-Tous les moment relaté dans les RP qui suivront se sont passé dans le passé. Donc je suis dans l'accorp des règle spacio temporelle récement instauré.
-Ce RP est divisé en de nombreuse parti. Je demande à se que aucun poste mis à part les mien ne soit fait sur se topic.
-Pour les curieux ils devront attendre pour voir le résumé complet du RP.]



Shireisu avait longtemps entendu parlé du Houhou, cette oiseau rare vivant dans les belle forêt entourant Terayama. Cette animal avait même inspiré un jeune moine à élaboré un art de vivre mais aussi de combattre. Il c’est même avéré que ce moine qui était maintenant vieux, enseigner cette façon d’être dans le magnifique temple de Terayama, son destin de religieux avait tout simplement changé à la simple vue de cette oiseau magnifique dit-on. Était-ce possible qu’une créature puissent changer un homme comme cela? Changer la piètre existence d’un paria en un riche marchand connu de toutes les îles? Changer un pirate, corsaire du haut océan ce battant pour le butin des bateau impérieux en le plus fidèle bras droit de la cour? D’autre cas comme cela, ce comptant sur les doigts d’une main était venu aux oreilles de Shireisu, et toutes ces personne c’étant changé du jour au lendemain avait tous répondu les même mots… « C’est ma rencontre avec le Houhou »… Et ce fut que après plusieurs année d’émerveillement face à cette oiseau mythe que Shireisu c’était enfin décidé de ce rendre a Terayama pour commencer l’apprentissage de cette art.

Omidemo avait suivi son compagnon vers le temple, il avait lui aussi décidé d’apprendre cette voie… Malgré que son étique de prédateur ne concordé pas du tout avec celle de l’art. Mais de toute manière le vieux moine accepté d’enseigner à toutes les personne possédant quelque caractéristique particulière. La voie du Houhou était une étude longue et difficile, on disais qu’il fallait plusieurs année pour maîtriser les deux étape certain même, une vie entière. Il n’y avait que deux personne qui ai réussi à apprendre ce mode de vie; le vieux moine, et son apprenti préféré…

Les deux hommes vêtus de leurs éternel manteau noir au motif rouge avancer sur les sentier poussiéreux de l’ouest du continent, là où les ninja était rare. Les chapeaux de paille tressé cachaient leurs visage des rayons du soleil brûlant de ce moi de juillet. Les arbres aux plumages verdoyant étendaient leurs ombres tachés de lumière sur la route de terre battu par les années où les hommes foulaient inlassablement sa robe. Une petite brise battait les champs d’orge, de blé et de chanvre à l’ascendant du chemin, et rafraîchissait le visage des voyageur et des vagabonds de grand chemin. Au loin on pouvait voir de belles montagnes à la teinte mauve qui semblaient transpercé la nue blanche et rare dans ce ciel d’été. Le chant des criquets traversé les pleine coloré du vert étincelant au jaune paille. L’orchestre des oiseaux cachés dans les branchages des arbres touffus faisait danser la nature. Les bruits de pas de la populace était comme les percussions ordonnées de la cour impériale. Plus loin, la bas, sur une plaine plus haute que les autre, au milieu d’une forêt abondante, s’élevait le temple de Terayama. Merveilleux temple divisé en plusieurs bâtiment, tous construit par un merveilleux architecte, ses parois d’un blanc impeccable où saillait des fenêtres rectangulaire, et les panneau coulissant était tous décoré par les copie des œuvres d’artiste aussi proche de la nature que l’est le temple lui-même. Les toits d’ardoise roussi au soleil formaient une élégante courbe et le tintement d’une chute d’eau faisait vrombir toute la structure d’une étrange sérénité.

Shireisu et Omidemo franchirent les premiers arbre de la forêt de Terayama. En continuant tout droit dans ce sentier ombrageux ils devraient atteindre le temple en une quinzaine de minute; bien sûr il aurait très bien put arriver la bas en une fraction de seconde, mais ils n’étaient pas pressé et ils aimaient regarder le paysage sous tout ses détail. Alors qu’ils allaient arpenté une petite montée escarpé, Shireisu s’arrêta. Son compagnon ce retourna et le vis regarder dans les méandre de la forêt du côté droit. Omidemo allait lui poser la question de ce qu’il faisait, quand d’un ample mouvement de la main Shireisu l’incita a continuer sa route et qu’il le rejoindrait vite. Omidemo obtempéra et commença sa petite montée. L’autre s’engouffra dans la forêt.

Malgré l’herbe verte poussant de la terre, celle-ci était tapissée de feuille morte ayant déjà plusieurs saison. Le bruit qu’il avait attiré son attention sur le sentier revint a ses oreille pour le guider; c’était un chant d’oiseau bien étrange d’une beauté sans égale mais avec une larme de mélancolie datant de plusieurs siècle sans doute. Pour Shireisu ce chant ne pouvait être ignoré, comme une odeur alléchante, où un désir ardent… Le jeune atteint finalement une petite clairière sur un arbre de l’autre côté avait était construit un nid de paille, de branchage, et de feuille, dans ce nid une magnifique créature envoûtait la forêt de ses poèmes. L’animal portait une couleur verte sur le ventre qui ce égaré peu à peu vert le jaune, ses aile avait de magnifique plume couleur de feu et son fin bec reflétait la lumière; c’était lui, le Houhou. L’oiseau avait vue lui aussi son étrange visiteur, mais aussi incroyable soit cela, le Houhou n’eu pas peur il s’envola même jusqu’à Shireisu pour se poser sur son épaule, lui murmurant ainsi sa douce mélopée.

Finalement le jeune homme et son nouvel ami reprirent la route vers le sentier puis le temple ensemble. Quand ils virent enfin la haute palissade en bois sombre qui entourait le temple, ils arrêtèrent, Omidemo vint à eux remarquant l’oiseau mais il n’en dit pas un mot, comme s’il avait tout suivi depuis l’esprit de Shireisu. Les deux homme et l’animale ce dirigèrent vers la porte, là un moine les interpella du haut de la muraille; il était chauve vêtu de l’habit ample et cérémoniale de sa trempe, sa voix semblait sympathique bien que criarde:

-Hep, vous deux! Que venez vous faire par ici?
-Nous somme venu nous entretenir avec maître Shingen et maître Makoto.
-Oh! Oui bien sûr, entraient donc.

Le moine fit ouvrir la grande porte en bois de hêtre à l’aide d’un levier placé sur les haute muraille. Omidemo et Shireisu pénétrèrent dans les défenses du temple, le paysage qui s’ouvrit à eux n’était pas des moindres, les différentes structures qui composé le temple était faite de bois et de pierre de façon a ne pas dénaturer ce qui l’entourait; des cerisier en fleur, des jardin zen, des plaines tapissait de fleur rouge, jaune, blanche, mauve et orange. Des petite source d’eau cernait de gros rocher, certaine était thermales et il s’en dégageaient d’épaisse vapeur blanche. Derrière le temple une grande chute d’eau s’écrasant au sol sur plusieurs niveau finissait dans un grand lac. A droite de la cascade s’étendait une plaine verte au herbe finement taillé et ou des chemin dallé la traversé sous une forme labyrinthique, sur les endroit de verdure s’élevait des dalles tombale, un cimetière… Les personne qui était enterré ici avait bien de la chance, ça devait être un honneur de reposer ici. Les deux hommes restèrent éblouis face à cette horizon jusqu’à ce que le moine les rejoignent, tout d’abord il les salua avec respect, puis son regard resta figé sur l’oiseau qui était perché sur l’épaule de Shireisu, il ne dit pas mot mais on pouvait clairement sentir son cœur accélérait et ses yeux devenir de grosse bille pétillante. Le moine secoua la tête puis incita les deux hommes à le suivre.

Tout trois empruntèrent un chemin dallées avec précision, ils atteignirent une structure qui semblait être le bâtiment principale du temple de par sa hauteur gigantesque et sa beauté inimaginable. L’architecture était composé de cinq toi d’ardoise noir qui en captant les rayon du soleil et en les enfermant servait à chauffer la battisse; les diagonales des toit former comme des veinure proéminente qui montait en une élégante courbe faire le chapiteau du temple. Les portes gardait par deux statues de gardien zen était faite en bois de chêne finement ouvragé représentant tout un paysage dans le creux des veinures du bois. Le moine qui malgré sa carrure peu imposante poussa avec facilité les portes semblant pourtant si lourde.

A l’intérieur du bâtiment une seul et unique pièce s’étendait… C’était un immense lieu sans doute réservé au prière et peut être à certain entraînement; il n’y avait aucun étage supérieure le plafond était embrumé de fumerole que dégageaient des bougeoirs fumant, des statuettes de dragon, lion, oiseau ou encore loup qui crachaient de l’encens très odorant et coloré. Au fond de la pièce une gigantesque statue représentant Le Grand Bouddha. Le reste de la pièce n’était meublé que de quelque commode, beaucoup de tapis et une grande quantité de brasero. Devant Le Bouddha un homme prier de toute ça fois, où même les pas des trois homme approchant amplifié par le raisonnement qui avait court dans la pièce. Lorsqu’ils furent assez proche pour distinguer de plus prés le prieure, ils purent voir un vieillard vêtu d’un élégant mes simple kimono de culte. Il était chauve, par contre une longue barbe blanche traînait sur le sol. Le vieux avait les yeux fermé et marmonnait des phrase sans queue ni tête.

Shireisu, Omidemo et le moine restèrent derrière cette personne, attendant avec respect la fin de ses verset sacré. Cela dura un temps fou d’après Omidemo, et environ cinq minutes pour Shireisu. Quand, finalement, les sermons de l’homme s’arrêtèrent, seul un faible échos chantait encore ses parole dans la vaste demeure. Le vieillard ce retourna enfin vers ses visiteur. Son regard était de la couleur du bois d’if, son visage était très peu ridé pour son age certain. Les yeux du vieillard s’écarquillèrent quand il vit l’oiseau perché sur l’épaule de Shireisu, comme si il avait vue un revenant. Le vieillard posa son regard sur celui du garçon au cheveux écarlate. Étrangement il ne semblait pas apeuré par les allure des deux visiteur, un petit sourire avait même prit place sur son visage, et lorsqu’il parla se fut d’une voix assuré et engageante:

-Je suppose que vous ne venez pas pour prier les dieux…
-Non en effet. Répondit Shireisu.
-Dans ce cas je suppose que ce qui vous intéresse dans ses lieu, c’est l’enseignement de la voie du Houhou. Et d’après ce que je vois avec vous, il semblerait que vous ayez tout pour réussir.
-Exacte.
-Soit, donc nous commencerons l’initiation demain, si vous le voulez bien.
-Le plus tôt sera le mieux je vous remercie. Par contre pourriez vous nous loger au temple?
-Bien sûr, le quartier des pèlerins sont fais pour cela. Cette personne vous guidera.

Un moine était apparu par une porte quasi invisible à l’œil humain, il s’approcha des deux hommes en manteau noir les salua poing lié à la paume et sans un mot leur demanda de le suivre.

Omidemo et Shireisu dormait dans des lits simple mais confortable dans une pièce démuni de meuble où seul des idoles était posé dans des creux muraux. La chambre était parfumé d’encens de toute odeurs sensés chasser les mauvais esprit et calmait les maux des hommes. Ce lieu n’était guère éclairé. Seul les bâtons relâchant les odeurs étincelait du point rouge de la combustion. Le silence était absolue, le murmure même de l’air n’osait souffler ses ode. Et quand le moine pénétra dans la pièce il ne semblait guère marcher, mais léviter au dessus du sol. Il s’approcha prudemment du lit où sommeillait le jeune homme à la chevelure écarlate. Il approcha sa main de l’épaule du garçon…
Il s’arrêta net.
Une lame de couteau placé à quelque millimètre de la trachée. Le garçon d’Akatsuki leva ses yeux cerné, et reconnaissant le moine qui les avait guidés jusqu’à leurs loge abaissa le couteau et le remis dans son étui caché par les draps.

-Vos capacité sensorielle sont impressionnante.
-Votre discrétion l’est tout autant. Mais dite moi que venez vous faire ici.
-L’entraînement commence, maître Shingen vous attend déjà.
-N’était-ce pas prévu pour demain?
-Nous somme demain si je puis répondre ainsi. L’avenir appartient à ce qui le saisisse en premier…
-Bien. Shireisu se retourna vers son comparse toujours les yeux clos, il saisit a nouveau le couteau et le lança. Tu as entendu paresseux?
-Qui n’aurai pas entendu… Omidemo avait stoppé la lame à la dernière seconde.

Dans la nuit clair le moine se déplaçait silencieusement dans les chemins de galet plats qui jalonnaient tout le temple, à quelque mètre derrière lui suivait Omidemo et Shireisu. Le premier avait le torse nue et un hakama noir saillait son corps à partir du bas ventre, l’autre lui avait revêtu un magnifique kimono cérémoniale au teinte de la période morte.

Bientôt ils atteignirent une passe à la lisière de la forêt. Celle-ci, cerclait d’arbre, dégageait le parfum des saisons et du temps. Des sépultures sculpter dans la pierre noble des mort s’élevait au milieu de l’herbe grasse représentant chacune un Kami différent. Les sculptures ne semblait pas avoir était placé là au hasard. En effet si on observait la disposition des pierres de plus haut on pouvait remarquait que chacune était relié par des chemins de galet formant un oiseau dans un cercle.
Le Houhou.

Shingen était là, magnifiquement drapé dans son vêtement de grand Maître. En tailleur sur l’une des sépultures. Sans doute celle qui formait l’œil de l’oiseau mystique. Le vieillard avait les yeux clos, son visage rayonnant d’une lumière presque divine sous le hâle de l’astre nocturne. Il ne semblait encore guère apte à remarquer les nouveau venu; il était en transe.

La petite assemblée s’accroupis, paume contre cuisse, attendant respectueusement le retour de l’esprit du Maître dans le monde des vivants. A la grand horreur d’Omidemo cette attente risquait d’être longue… Lui n’étant guère de nature patiente, il était servi… Mais l’air n’était pas désagréable malgré tout, et c’est sans doute pour cela qu’il ne vis pas la bonne heur de transe de Shingen passer.

Les paupières du Maître se relevèrent lentement. Ses pupille balayèrent la scène qui s’ouvrit devant lui. Il y reconnu ses invité, et un sourire se peignit sur son visage encore peu dompté par les années.

-Bien, vous pouvez partir. La leçon est terminé.
-Quoi!? Omidemo c’était brutalement levé et vociférait. Vous nous avez fait lever pour vous regarder sommeillé? Vous voulez que je vous… Il vis le visage du Maître hilare. Puis se tourna vers Shireisu les yeux clos, de marbre, un pâle sourire cernant ses lèvre. Omidemo fut… Honteux. Je vois c’était sa la leçon…
-Et oui vieux loup tout fou. Éclata le vieillard. Dans la maîtrise du Houhou et plus particulièrement dans l’étape de la concentration. C’est la patience et l’inflexibilité qu’il faut avoir. Et tu viens d’échouer aux deux au contraire de ton camarade.
-Je savais que je n’était pas fait pour se genre d’enseignement. Shireisu je pense que tu vas devoir le suivre tout seul…
-Non! S’esclaffa Shingen. Tu seras de la partie. Je n’en ai pas l’air mais je sais que tu es un esprit et que tu es liés à ton camarade comme la tortu est lié a sa maison où encore, que l’âme du samouraï est lié à son sabre. Donc tu suivra ,malgré tout se que tu pense de ta patience, l’initiation du Houhou. Par ailleurs toute personne ou esprit doivent savoir utiliser ses erreurs passées pour ne pas les refaire. C’est ça l’expérience du guerrier.
-Dite moi Maître Shingen, en quoi la voie du Houhou offre un destin exceptionnelle?

C’était Shireisu qui avait parlé de sa voix sortant du plus profond de l’hiver… Shingen tourna son regard vers se jeune homme aux cheveux écarlate. Il lui semblait si particulier… Comme si il n’était constitué de paradoxe incompréhensible. Le Yin et le Yang qui composait un être humain n’était jamais équilibré, un coté était toujours plus lourd que l’autre. Pourtant cette homme était le bien et le mal en parfaite quantité. Il était un cas incompréhensible au yeux du monde et du divin même.

-Je n’ai pas de réponse à cette question. Ce que je sais c’est que tous les hommes qui ont rencontré cette oiseaux on eu droit à quelque chose en plus. Et je vais faire en sorte de vous enseigner l’art de la voie de la paix de façon à se que vous aussi possédiez ce plus.

Sur ses mot le Sage se leva. Et entra dans la forêt.
Omidemo et Shireisu se regardèrent puis se levèrent pour le suivre.
Le moine qui leurs avait servi de guide resta assis, les yeux clos, priant.

Presque une heure c’était écoulé depuis qu’ils avait pénétré la forêt, et le soleil ne désirait pas encore illuminait ses terre de sa beauté matinale… Comme si le temps c’était soudainement arrêté.

Shingen, malgré son age avancé, se déplaçait avec une agilité, une précision et une vitesse surprenante. Il glissait littéralement sur le sol comme si il marchait sur un fluide.

Au loin on entendait le rugissement violent d’un fleuve malmenant ses eaux. Les trois homme se rapprochait en cette direction sans dire un mot, sans perturber un seul instant les rugissement cruel des flots.

Ils atteignirent enfin ce fleuve. Au moins large de quatre vingt mètre. Incroyablement tourmenté. Quelque haut rocher réussissais à montrer le bout de leurs tête au dessus du flux et du reflux des eaux rageuse. Le Sage alla se poster juste avant la rive. Là, il se retourna et sourit à ses deux initier avant de leurs dire.

-Vous m’avez indiqué que vous désiriez apprendre les chemins de la voie assez vite. J’ai donc décidé de vous faire suivre un chemin plus rapide mais aussi beaucoup plus dure.
-Quand vous dite plus rapide, cela signifie combien d’année face au dizaine du chemin normal? Demanda ironique Omidemo.
-Neuf jours. Le sourire d’Omidemo disparut. Bien sur le perfectionnement est pour la vie mais les grandes lignes, et les principes complexes en neuf jours.
-Et par quoi allons nous commencer pour se premier jour?
-La concentration basique qui permettra à votre être selon le niveau de dépense, d’esquiver toutes attaque directe, et une grande quantité d’assaut élémentaire. Mais cette simple concentration ne se fait pas en une seul étape. Deux jours vous serons prit pour ceci, et nous allons commencer de suite.
-Et?

Pour réponse Shingen entra dans le torrent. Omidemo comme prit d’un réflexe allait se jeter sur le Sage pour le sauver du courant violent mais ils s’arrêtèrent. Les yeux exorbité. Une illusion? Shingen était là marchant tranquillement jusqu’au cœur du fleuve, il marchait… Comme si il était sur la terre ferme sans que aucun remous ne le déstabilise. Il ne ressentait pas la force du fleuve…

-A vous maintenant.

Shireisu semblait surpris pour la première fois. Complètement immobile. Comment se vieillard arrivait t-il à se mouvoir dans ses eau sans que son corps se fasse emporter? C’était hors de toute logique.

Omidemo voyant son compagnon en proie à la réflexion décida de tenter l’expérience en premier. Il n’avait aucune explication sur comment effectuer la chose et malgré ses six cent années d’age, il ne savait comment si prendre. Pour lui, ceci n’était que dans les contes de fée. Pourtant dieu sais qu’il avait réussi des exploit peu commode. Il décida d’employer son byakugan. Le vieillard n’employait pas de Chakra, rien, pas une once d’énergie. Comme si c’était de sa propre force qu’il réussissait à rester stable dans se tumulte d’élément. Les yeux d’Omidemo redevinrent rouge. Si l’homme n’usait pas d’énergie c’est qu’il n’était pas nécessaire d’en utiliser.

Inconsciemment quand Omidemo mis le premier pied sur les flots il avait déversé du Chakra pour pouvoir marcher sur le fluide. Il se reprit alors. Et rentra dans l’eau. Dans la seconde qui suivi, il fut emporté. Shingen n’avait même pas sourcillé. Il était intervenu dans la seconde employant une vitesse et une agilité incroyable. D’une main il stoppa le colosse de muscle qu’était Omidemo.

Celui-ci se sentait toujours en proie au courant, mais le Sage le maintenait en place. Comment? Impossible à dire. Mais grâce à cette prouesse l’esprit loup put faire en sorte de se tenir droit dans le fleuve peut profond mais si violent. Il entendis malgré la tourmente aquatique les mots du vieil homme.

-Concentre toi, et dit moi quand tu te sentira prés.

*Concentre toi, concentre toi… Facile à dire… Dans cette situation où aucune acquisition du silence est possible… Patience… C’était la première leçon. Il faut que je me calme. Que je prenne mon temps… Voilà. Quel était la suite du cours déjà? Ah oui! Inflexibilité. Je dois être inflexible face au flot, comme un rock!*
-Je suis prés. Dit Omidemo résolu. Comme un roc!

Shingen sourit à ses mots il lâcha son initier. Dans un premier temps il se refit emporter par le courent mais au moment où le Sage allait à nouveau le retenir, Omidemo s’immobilisa.
Droit.
Inflexible.
Comme un roc.

Shingen était content. Son initier avait retenu la leçon qu’il avait prise une bonne heure plus tôt. Dans la voie du Houhou, rien est fait au hasard. Tout enseignement doit pouvoir se compléter l’un l’autre comme les rouages d’une horloge. Omidemo avait réussi la première épreuve de cette étape. L’autre demanderas plus que des mots pour réussir. Le vieux maître tourna son regard vers Shireisu. Celui-ci observait l’eau. Une main dans son flux. Cette main était emporté par le courant. Mais retenu par la force contraire de Shireisu. Shingen compris que cette homme au contraire de son compagnon, n’agissait pas par intuition, mais par réflexion.

Shireisu observait sa main ans le tumulte. Elle n’avait pas assez de force pour soutenir la puissance de ces eaux. Et c’est pour cela qu’il essayait de comprendre comment Shingen arrivait t-il à soutenir, lui, cette force écrasante. Ce fut à se moment que les deux mots du Sage résonnèrent dans son esprit « Patience et Inflexibilité ». Finalement c’est deux mots était une des clés qui permettait de surmonter cette épreuve. « Tu es liés à ton camarade comme la tortu est lié a sa maison où encore, que l’âme du samouraï est lié à son sabre. »

*Pourquoi pas me lié ainsi avec l’eau? L’eau va se faire moi et moi vais me faire eau… Je vais créer ma propre façon de faire. Se rocher soutien la force de l’eau par sa propre force. Omidemo, lui, utilise sa volonté. Moi je vais dompter l’eau comme on dompte un cheval sauvage.*

Shireisu pénétra dans le tumulte. Il se joua d’abord des remous terrifiant de se cheval sauvage. Puis commença à danser avec lui, utilisant sa circulation pour s’immobiliser, utilisant ses flot pour se mouvoir. Bientôt il ne fit plus qu’un avec cette masse aqueuse. Se servant de ses force et faiblesse pour se déplaçait a son grés. Malgré tout ceci était épuisant. A de nombreuse reprise il dut utiliser la technique d’Omidemo « Comme un roc » pour se stabiliser alors qu’il perdait sa stabilité. Et deux fois Shingen l’avait récupéré du courant, lui laissant ainsi un peu de temps pour récupéré ses repaire et sa stabilité.

De son coté Omidemo réussissais aussi à marcher dans l’eau. Mais au contraire de Shireisu il utilisait sa volonté de fer pour dominer la puissance entière du tumulte. C’était aussi très épuisant. Mais efficace. Shireisu lui était l’eau, Omidemo au contraire était sa muraille. Comme un agresseur de l’élément.

Bientôt la force des deux équipiers se dissipait. Ils regagnèrent le large accompagné de Shingen. Ils avait réussis cette épreuve et ses deux étapes à leurs manière propre. Le shaman et l’esprit avait deux caractère complètement paradoxale. Pourtant rien ne pouvait les séparer. Shingen leurs dit souriant:

-Je suis épaté. Vous pouvez vous assoupir quelque heure nous reprendrons la suite lorsque le soleil sera à son paroxysme.

En effet la haut, le ciel c’était illuminé des pâle teinte de l’aube. Ils avait passé deux heure dans le torrent à l’affronter ou à le dompter.

Shireisu et Omidemo avait dormi à la belle étoile. Ils avaient sombré dans un sommeil des plus profond en quelque minute, chose rare chez eux. Et malgré le mugissement des eaux qui s’écoulait violement à quelque mètre d’eux il n’avait pas ouvert un seul œil. Et même le froid qui sinua leurs vêtement trempé ne les fit pas sortir de leurs rêve. Ce qu’ils avaient effectué pour la première fois cette nuit les avaient complètements vidés.

La haut le soleil avait atteint son point culminant et ses rayon vinrent miroiter sur les eau tumultueuse saillant le fleuve. Et se fut cette lumière vive qui força les paupière encore lourde de sommeil de Shireisu. Il papillonna un instant avant de se mettre à genoux, regardant autour de lui comme si il ne savait plus où il était et se qu’il avait fait.

Se fut quand il vue Shingen entrain de méditer prés du fleuve qu’il se souvint de tout se que lui et son compère avait effectué durant cette nuit qui lui avait semblé très longue. Le Sage n’avait pas menti en leurs indiquant que cette entraînement rapide allait être épuisant. Mais après tout rien ne s’obtient sans effort et la voie de la paix ne faisait pas exception à la règle, elle la démontrait presque parfaitement.

Shireisu scruta encore un peu les allant tour il vit Omidemo sous sa forme humaine dormir… Ceci l’étonna. Son compagnon habituellement était incapable de s’endormir réellement sous cette forme. Pour ses nuit il devait arpenter son état de loup pour sombrer tranquillement dans les bras de Morphée. Cette événement prouva que l’épreuve d’hier n’était vraiment pas quelque chose de simple comparé au enseignement qu’ils avaient fait dans le passé.

Le jeune homme se décida à se lever et à rejoindre leur instructeur de la voie. Une question lui trottait dans la tête et il désiré savoir l’opinion de Shingen sur celle-ci. Il s’agenouilla respectueusement prés du Sage et attendit qu’il daigne sortir de sa transe. Il ne patienta pas trop longtemps au contraire de la nuit précédente, juste quelque minute avant que la voix agréable du vieil homme atteigne les orteils de Shireisu:

-Tu désirs me poser une question?
-Oui, Maître Shingen. Je voulais savoir pourquoi la Voie de la paix porte ce nom alors que son enseignement est guerrier?
-C’est une bonne question. Le Sage ou le Guerrier?
-Hum… Le Sage.
-Pour atteindre la paix, l’harmonie doit passer pour le chao.
-Et si j’avais dit le Guerrier?
-La paix n’est que chimère tout est fait pour la guerre.
-Et qui du Sage ou du Guerrier vous semble le plus proche de la réalité?
-Malheureusement dans cette époque, il semble que sa soit le guerrier qui ai raison. Les homme ne sont pas encore capable de vivre en harmonie avec la nature. Malgré cela je fait en sorte que le temple soit une petite Utopie où respect, harmonie, et perfection sont les fondement. Et j’espère de tout cœur que jamais la cupidité et l’idiotie de l’homme vienne gâcher se petit bout de paradis qui a mis tant de temps à se construire.

Les deux hommes restèrent silencieux. Shingen ferma à nouveau les yeux replongeant dans son univers de méditation et de transe; mais cette fois Shireisu l’y rejoignis. Il ne faut pas entretenir que le physique, il faut savoir trouvé l’équilibre et faire travailler sa force spirituelle pour qu’elle soit forte et active.

Omidemo allongeai, souriait à la discutions qu’avait eu le Sage et son compagnon. Shingen leur avait donné leurs troisième leçon de la journée sans le faire paraître.

Deux heures s’écoulèrent avant qu’Omidemo se décide enfin à se lever. Deux heures où il n’avait fait que observé les nuages au dessus de lui laissant ses pensées se faire guider par le tumulte du fleuve non loin de là. Deux heures qui lui permirent de flemmarder au lieu de s’entraîner avec sérieux. Mais si Shingen ne leurs avait donné aucune consigne, c’est qu’ils avaient le droit à se petit plaisir de ne rien faire. Malgré tout, Omidemo n’était pas esprit à la paresse et son caractère combatif et actif revint.

Il pénétra à nouveau dans le torrent du fleuve, et, au contraire de cette nuit, le courant ne le fit pas bouger d’un seul centimètre. La volonté parfaitement contrôlé et braqué face à la puissance brute et pure de l’eau. Son repos lui avait apporté bien être, il ne sentit ainsi pas la pression qui affronté sa volonté. Il ne se fatigua pas beaucoup durant la traversé du fleuve.
Comme un roque.

Omidemo atteint la rive opposé. Il s’assis au bord de l’eau. Son torse brillant de mille gouttelette qui s’écoulait peu à peu vers le bas. Il était à nouveau trempé. Son hakama lui collait à la peau à certain endroit ou vogué dans le sens du courant au niveau de la cheville encore dans le monde aqueux.

Omidemo regarda en face de lui. Loin de plus de quatre vingt mètre, Shireisu et Shingen méditait toujours, il ne semblèrent pas avoir sentit le passage de l’esprit. Et il commençai à s’ennuyer tout seul sans rien à faire. Il devait réveiller ces deux feignasse la bas. Il inspira un grand bol d’air. Mêlé à son Chakra il commença à sculpter la forme de deux grande flèches, rapide, aiguisé,meurtrière.

Quand il les projeta, celui qui foncé sur Shireisu fut immédiatement tranché en deux qui tombèrent au sol le perforant violement. Son camarade avait été fulgurant il avait tiré un coutelas et avait brisé le réseaux de l’air de l’Atsugai.

Pour se qui fut de la flèche contre Shingen. Omidemo ne compris pas comment il n’avait pas réussi à le toucher… Le vieux Sage n’avait même pas bougé! L’attaque l’avait traversé il l’avait vue! Mais c’était comme si elle était passé à travers un fantôme. Pourtant bien réel. L’Atsugai était venu se perforer un arbre à la lisière de la forêt.

Shingen ouvrit finalement les yeux, se leva, aplanie ses vêtement un peu poussiéreux puis souriant à Shireisu lui dit d’une voix aimable:

-Allons rejoindre le galopin de l’autre coté. Nous allons passer à la prochaine épreuve.

Le vieil homme pénétra dans les eaux et commença à avancer sereinement face à la violence qui l’entouré. Shireisu l’observa à la fois curieux de la suite des leçons mais aussi anxieux, chose rare, face à se qui les attendaient… Si la technique qu’avait employé Shingen pour éviter l’Atsugai appartenait à l’enseignement du Houhou, il ne devait pas s’attendre à quelque chose de simple d’autant plus que cette technique n’avait aucun rapport avec la modification moléculaire. C’est simple il n’avait usé d’aucune énergie.
Plénitude.

Shireisu rentra lui aussi dans le fleuve employant la nouvelle façon de se mouvoir parmi les éléments. L’esprit encore embrumé par la manière qu’avait employé Shingen pour esquiver l’Atsugai d’Omidemo. Plus il restait avec ce Grand Sage plus il en devenait curieux. Son age avancé était trompé avec ça façon de se déplacer… L’enseignement du Houhou était-il si avancé pour réussir à tromper le temps lui-même?

Le nouveau disciple de Shingen avancer lentement à cause des pensées parasites qui embrouillées sa tête. Malgré cela il ne perdait pas pied face au courant. Il arrivait à le dompter beaucoup plus facilement que la nuit dernière. C’était comme si il jouait avec l’élément aquatique lui-même, le taquinant en l’évitant à la dernière seconde. C’était une manière artistique de se déplacer et cela n’avait pas échappé à Shingen qui l’observait à coté d’Omidemo sur la rive opposée.

Il semblait apprécié voir son entraînement porter ces fruits. Et qui ne pouvait l’apprécié? De plus Omidemo et Shireisu avait usé d’une manière différente de voir le problème. L’un par la seul force de sa volonté, l’autre par l’unité avec le problème en question. Mais qui des deux avait réellement réussi l’exercice? Celui qui avait su retenir les conseils de la première leçon, ou celui qui avait oeuvrait avec sa propre méthode. Shingen ne savait trop quoi penser de cela… Les deux étaient intelligents, ils avaient trouver une solution en appréhendant la situation d’une manière différente. Qui de l’Instinct ou de la Logique était le plus prés du but…

Shingen savait que c’est deux opposé ne pouvait être l’un sans l’autre… Dans une situation il faut être stratège, employer la solution la plus plausible, faisable et logique pour réussir. Mais l’Instinct est importante. C’était une manière de prendre du recul face à la logique et appréhender la chose d’une manière toute autre, peut être plus risqué, plus abracadabrante mais sans doute incroyablement déstabilisante. Shireisu était-il trop prévisible? Omidemo était-il trop instinctif? Être trop de quelque chose n’était pas bon. En effet dans l’un des deux cas si on l’est trop on en deviens prévisible. La chose était de savoir équilibré les deux poids de façon à se rendre complètement incompréhensif. Shingen devait s’employer à cette tache. Donner à ces deux disciple se qui leur manquer respectivement.

Shireisu atteint enfin la terre ferme. Sa traversé l’avait pas vraiment épuisé. Mais il manquait encore, sans doute, d’un certain temps d’adaptation à cette technique. Comme Omidemo d’ailleurs. Shingen les avaient bien prévenu: « Bien sur le perfectionnement est pour la vie mais […] » Ils auraient donc tout le temps pour apprendre à manipuler ce qu’est la voie de la paix.

Omidemo et son confrère s’agenouillèrent devant le Sage en attendant les prochaine consigne de leurs initiation. Il semblait que cette après midi commencerai d’abord par une leçon théorique sur La Voie. Qu’est-ce qui leur avait indiqué cela? Et bien Shingen c’était à son tour assis en tailleurs sur le sol de galets blanc qui rivés les cotes du fleuve.

-Alors, dite moi, comment avait vous appelé votre manière d’appréhender le problème que je vous ai posé cette nuit?
- « Comme un rock » avait dit sans hésitation Omidemo se qui fit sourire Shingen.
-C’est un nom parfait en effet pour ta manière Omidemo. Ton esprit est d’une volonté surprenante sa en deviens presque effrayant, quand on vois que tu es capable d’usurper la force du courant de se fleuve qui n’est pas un des plus clément… Il se tourne vers Shireisu. Et toi?
-J’ai pensé à la « Symbiose avec le monde » ou encore au « domptage du monde ».
-Les deux sembles représenter ta manière aussi. Ce jouer du courant comme si tu faisait parti intégrante de celui-ci. S’appuyant sur sa force pour avancé. Usant de ses courbes et de ses réseaux pour se déplacé.
-Vous avez réussi à voir rien qu’en nous observant comment on s’y prenait? Demanda Omidemo.
-Oui.
-Dite moi Maître Shingen, quel méthode vous employiez? Brusqua Shireisu, les yeux étincelant d’une curiosité bien placé.
-Tu es vraiment intelligent Shireisu, tu as vite compris que c’était à cette question que je voulais en venir depuis le début.
-En effet et donc?
-Et bien je l’appelle moi-même « L’Ignorance ».
-« L’Ignorance »… Pour vous c’est comme si il n’y avait pas de courant n’est-ce pas?
-Instinct surprenant Omidemo, oui c’est cela.
-Et est-ce que cette méthode est la même que celle que vous avez employé il y a peut pour… Commença Shireisu.
-Éviter l’attaque de ton camarade? Finis Shingen. Oui.
-Si je comprend bien notre prochaine leçon pratique seras lié à cette méthode.
-En effet. Mais, vous ne devrez pas oublier votre propre manière de faire. Mon but seras de vous apprendre les trois méthode, vous en maîtrisez une chacun. « L’Ignorance » est comme le lien entre les deux qui vous permettra d’atteindre la dernière.
-Mais j’arrive à employer « Comme un roque ».
-Oui, j’ai vue cela mais serai tu capable de traverser le fleuve de cette manière?
-Non…
-Voila. Quand tu l’as employer c’était pour souffler, t’immobiliser dans l’eau, non pas pour te mouvoir dans le courant. Là est la différence. Au contraire de vos propre méthode « L’Ignorance » permet plus que ne pas ressentir les chose physique. Suivait moi.

Les trois hommes se levèrent et pénétrèrent dans la forêt laissant derrière eux le grand fleuve et son tumulte. Les rayons ne traversait qu’a peine le feuillage touffu des arbres. Et dans leurs vêtement trempé il sentait la brise froide s’insinuer dans leurs corps.

Quand ils s’arrêtèrent enfin se fut à l’orée d’une haute falaise escarpé. Celle-ci se teignait d’une couleurs ocre. Elle ne sembler guère simple à serpenté, même pour des grimpeur aguerrie… En réalité le nombre de prise correcte se comptaient sur les doigts des deux mains. Une véritable muraille naturelle. Évidement l’apprentissage shinobi enseigner comment grimper les parois verticale sans utiliser les main mais seulement en marchant.

Shingen se planta juste devant l’édifice naturelle, il sortit de ses manche des morceaux de corde sombre et paraissant particulièrement solide. Il tourna son regard vers ses deux initiés et leurs souries comme à son habitude… Se qui n’inspira rien de bon dans l’esprit de Shireisu et d’Omidemo. La première fois ils avait dû traverser un fleuve tourmenté sans utiliser l’art shinobi. Maintenant qu’avait trouvé Shingen pour la suite de leurs leçons…

-Bien vous allait grimper cette falaise poing lié sans utiliser votre Chakra. Je serais là si jamais.
-Qu’est-ce que ceci à avoir avec se que vous nous avez parlé? Fulmina Omidemo.
-Rien, enfin pas directement, S’enquit le Sage, ceci est comme qui dirait une sorte d’échauffement. Par ailleurs ne vous attendez pas à une pose avant que la lune atteigne sont zénith.
-Que…Quoi! Vous voulez nous crever à la tâche c’est ça?!
-En quelque sorte. Mais vous vous êtes bien reposé durant le début de cette journée non? Et puis tu t’ennuyais à se que je me souvienne.

Omidemo se tût à ses mot, Shireisu lui demanda calmement:

-Ne pourrions nous pas grimper d’abord main libre, cette falaise ne semble pas très offreuse de prise.
-En effet, mais vous devrez vous débrouillez les mains lié. Vous voulez apprendre vite, alors je saute quelque étape. Maintenant tendaient vos bras.

Les deux initiés malgré eux ne se le firent pas prier deux fois, ils montrèrent leurs mains au Sage, qui feignit l’hésitation de les attachés puis ostensiblement lia serré les bras d’Omidemo et continua avec Shireisu. Une fois s’être assuré de ses lien il sourit au visage déteint de ses élèves, et dit hilare:

-Sur se je vous attend là haut!

Shireisu savait que si il montait en premier c’était pour leurs indiqué quelque prise et un peu la manière de faire. Étonné de l’agilité et la vitesse que faisait preuve le vieil homme pour s’élevait sur la falaise, il s’avança dans ses trace comme hypnotisé. Shingen grimpait sans une lueur d’hésitation dans ses mouvement tous n’était que précision et assurance.
Aucune erreur.

Quand à Omidemo il était si énervé d’avoir les mains enchaîné qu’il ne prit même pas la peine de regarder le Sage. Il s’approcha de la parois, ayant repéré une belle prise pour commencer son ascension. Il y posa le pied puis saisi une saillie de ses mains et s’éleva une première fois. Il continua d’arpenter lentement cette muraille de mère nature. Mais bientôt il se trouva piégé, aucune prise ne lui était à porté. Rien, même pas une petite anfractuosité. Était il allé trop vite sans préparé au préalable un itinéraire?

*Ah! Je suis dans de beau drap encore, moi… Rien à faire je m’habituerai jamais à observait un peu avant d’agir, sans Shireisu j’irais pas loin… Raaa! Et voilà maintenant je me sous estime! Bon réfléchi deux seconde… J’ai encore un couteau accroché à ma ceinture… C’est risqué mais bon je vais pas perdre la face devant le vieillard tout de même!*

La volonté d’Omidemo se braqua brusquement, il se cola contre dos à la paroi, ce qu’il avait obligé de faire preuve d’une incroyable énergie pour se tourner. Mais cela n’était rien à se qui l’attendait maintenant. Il devait saisir son couteau tout en restant dans un équilibre parfait sur les infime sailli qui soutenait ses pieds. Il n’avait pas droit à une seconde fois.

Ses bras se baissèrent au niveau de sa ceinture. En bas Shireisu avait commencé lui aussi à grimper, mais lui il n’avait aucun soucis au niveau des portées de prise. Il avait prit son temps pour trouver un itinéraire confortable tenant compte de son handicape se qu’Omidemo n’avait fait à moitié. Et qui, maintenant, se retrouvé à peiner pour tiré son coutelas de son étui grisonnant. A trois reprises il crût lâcher prise. Mais la force et la volonté qu’il effectuait au niveau des jambes les avait comme pétrifié.
Chance.

Il réussi à dégainer son arme. Puis d’une grande inspiration, retira son énergie pour pouvoir à nouveau pivoter son corps. Il n’aimait pas se sentir aussi proche de la chute… Il leva un pied. D’un mouvement de pivot au niveau des hanches il se retrouva face contre roche. Il reposa son pied. De ses main maladroite il planta son couteau dans la roche et y créa une confortable anfractuosité, qui lui permettrait d’avancer. Puis dans un dernière effort il saisi son arme entre les dents et continua son ascension.
Épuisé.
Endoloris.
Mais son amour propre était sauf.

La haut Shingen observait ses deux disciple avancer tranquillement. Shireisu se débrouiller plutôt bien. Même si il préférait avançait lentement ses geste était réfléchie. Au contraire d’Omidemo qui c’était vite retrouvé dans un problème de taille. Il n’avait pas réfléchie en commençant l’exercice. Ce qui ne l’empêcha pas de réfléchir pour résoudre se qui lui faisait face. A son compte, il n’y avait pas de doute à avoir, sa volonté était sans faille.

D’Après la hauteur de l’astre du jour, la nuit allait tomber dans un peu plus d’une heure. Ils étaient dans les temps pour la première partie de l’échauffement. Ils leurs resteraient encore trois heure d’alpinisme à faire avant de passer au véritable entraînement. Shingen savait qu’il leurs demandait beaucoup mais pour arpenter la Voie du Houhou si rapidement il ne fallait pas perdre une minute.

Shireisu n’aimait guère la situation dans laquelle il se trouvait. Ses main très limité lui empêcher de se déplacer plus vite et les prises commençait à se faire de plus en plus rare… Il n’avait pas prévu son itinéraire pour aussi haut. Cela faisait pas loin de une heure que l’exercice avait commençait et il lui rester encore une bonne moitié de la falaise au dessus de lui. Le plus dure ne seras pas la portion la plus haute, au contraire le nombre de sailli dans les hauteur se faisait plus nombreuse. C’était là où il était que la paroi se faisait presque lice…

Il observa Omidemo en gros cinq mètre au dessus de lui. Il commençait à peiner lui aussi. De plus sa mésaventure un peu plus bas l’avait épuisé avant l’heure. Et même si Shireisu savait son camarade particulièrement endurant et insensible ,quand il le désirait à la fatigue, il ne pourrait pas résister comme ça trop longtemps encore… Enfin, Omidemo l’avait toujours étonné. Il ne manquait pas de ressource et évidemment se n’était pas un simple polymorphe.

Shireisu retourna son attention vers la paroi rocheuse, il lui jeta un regard noir. Et cette soudaine colère envers la falaise escarpé lui fit poussé des ailes. Son œil habile repéra quelque creux à distance parfaite, et il repris son ascension avec une nouvelle énergie féroce.

Quand ils atteignirent enfin le sommet de la falaise, Omidemo et Shireisu s’écroulèrent au sol. Cette ascension fut des plus dure, se passer des capacités shinobi était pourtant un excellent entraînement pour faire travailler le corps et l’esprit mais comme de nombreux manipulateur de Chakra ils n’était pas habitué à se genre de manœuvre.

Shingen alla leurs déliés les mains et jeta les cordages derrière lui. Ses deux initié avait réussi le début de l’échauffement avec un peu d’avance. Le soleil c’était couché il y avait de cela moins de dix minute. A l’horizon on pouvait voir le ciel arpenté des couleurs enflammer qui devenait, plus on s’éloignait, noir. Shingen tendit deux gourdes pleine d’eau à ses élèves avant de leurs dire paisiblement:

-Vous aller vous reposer quelque minute, puis à mon signal vous aller descendre de la falaise, cette fois encore sans utiliser votre Chakra.
-Bien. Dirent t-ils docilement.

Shireisu s’accroupis, une lueur bleuté vint faire scintiller sa main droite. Cette main n’était plus constitué de chaire, d’os et de sang, mais d’eau. D’eau clair et limpide. Il passa sa paume sur quelque endroit de son corps douloureux. Sur certaine écorchure qui se refermèrent laissant une simple cicatrice. L’eau semblait curative et apaiser les douleurs musculaire. Après avoir finis de penser son corps il se dirigea vers son compagnon et commença à lui faire les soins rudimentaire. Ce contrôle de l’eau devait coûter à Shireisu car sa fatigue allait en croissance.

Shingen leurs laissa encore cinq minutes, qu’ils mirent à profit en s’allongeant. Leurs vêtement était trempé de sueur froide et d’eau du fleuve. Shireisu retira son haut en sale état, durant sa monté de nombreuse coupure vinrent rapiécer ses vêtement. Et puis vus les entraînements du Sage, il ne risquait pas d’attraper froid.

Vint le moment du signal. Comme préparé à cela, Omidemo c’était levé d’un seul coup et avait sauté de la falaise. Shingen et Shireisu n’avait put effectué aucun mouvement, ils se décidèrent à jeter un coup d’œil vers le précipice. Omidemo avait effectué une chute d’une bonne dizaine de mètre avant d’attraper in extremis une sailli consistante. Ses jambe fléchi, pied contre la paroi, un bras le retenant de toute sa puissance, à la force qu’effectuait la lois de la nature pour le happer vers le bas. Omidemo regardait la lune naissante au loin. Shireisu aurait dû s’en douter pendant les nuits et plus particulièrement celle de pleine lune, les capacités de son esprit tripler littéralement, comme son instinct et ses sens. Il resta là une minute durant. Puis tourna sa tête vers le sommet de la falaise et lança de sa voix gutturale:

-Alors Shireisu! Tu descends!

Shingen et Shireisu se regardèrent puis sourire et effectuèrent la même folie qu’Omidemo et réussirent eux aussi à se rattraper. Shireisu se sentait beaucoup plus libre sans ses lien.

Comme doué d’un sixième sens les trois hommes, malgré la difficulté qu’apporté une descente d’une falaise au dimension faramineuse et don le degrés était de quasiment quatre-vingt dix, saisissait toutes les sinuosité, les enfoncement. Percer à jour chaque inégalité pour progresser dans leurs descente.

La descente est sans doute plus complexe à effectuer qu’une ascension. Mais elle est aussi beaucoup plus rapide une fois qu’on à repéré le chemin à suivre, ce n’est qu’une question d’habitude et d’observation. Et cela Shingen le démontra très vite, au lieu de descendre échelon par échelon. Il enchaîner des chutes plus ou moins longue qui se finissait par un rattrapage ne manquant pas de précision. Ainsi se fut le Sage qui arriva en premier en bas. Suivi de prés par Omidemo qui avait prit de l’avance au départ, et Shireisu clos la marche. Il était sensiblement plus précis dans ses mouvement que l’avait était Omidemo qui avait choisi à plusieurs reprise des prises peu engageante vue leurs solidité moindre.

Une fois pied à terre, sans un mot Shingen partit en courant dans la forêt. Se vieillard ne cessera-t-il donc jamais d’étonner Shireisu? Les deux initier comprirent qu’ils devaient le suivre. Que la nuit n’était pas encore finis, et que encore beaucoup d’entraînement les attendaient impatiemment. La fatigue endolorissait les muscles des deux compagnon. Mais ils l’oubliait très vite par cette envie d’apprendre que leurs offrait le Grand Maître.

Ils prirent immédiatement un rythme très cadencé pour pouvoir suivre le vieil homme ayant prit une sacrée avance sur eux. Ils entendirent bientôt le mugissement du fleuve qu’ils avait quittait cette après midi. Mais apparemment Shingen ne prenait pas sa direction. Il allait plus haut. A la source du fleuve?

Et en effet quand le Sage s’arrêta se fut devant le spectacle d’une cascade immense de quatre-vingt mètre qui s’écrasait sur des éperons rocheux en masse au pied de la chute. Puis ensuite l’eau continuer sa course rapide et rageuse dans les eaux du gigantesque fleuve. Shingen se retourna vers ses disciple le sourire au lèvre. Et maintenant qu’aller t-il devoir faire dans se nouveau paysage démontrant la force de mère nature?

-Nous allons passez à l’exercice suivant.

Avait finis par dire Shingen. Ses disciple s’étant approché plus prés de lui il n’avait eu besoin d’hausser le ton pour dominer le bruit de fracas qu’émettait l’eau de la cascade. D’Après le regard à la fois curieux et anxieux de ses élève, Shingen sus qu’ils s’attendaient à un nouvelle exercice dantesque, et malheureusement c’était le cas. Il ne devait pas les laisser mijoter trop longtemps et dit de sa voix la plus apaisante:

-Vous devrez cette fois ci apprendre « L’Ignorance » en vous plaçant juste en dessous de la cascade.
-Mais, nous allons être emportés. S’enquit Shireisu.
-Comme lorsque vous avez traversé le fleuve? Demanda innocemment le Sage. Mais tu as raison ce n’est pas exactement pareille que la nuit dernière. Et puis je serai la pour vous repêcher. Sur ses mot le Maître alla s’asseoir sur la rive.

Omidemo hésita un instant puis braqua son courage et se fraya un chemin sur les éperons rocheux qui s’amoncelaient sous la cascade. Shingen le regarda avancé souplement sur les rocheux mais pour l’instant il n’était pas sous le mur d’eau…

*Omidemo n’aura aucun mal à apprendre « L’ignorance » par contre réussir à se déplaçait sous la cascade il n’y arrivera pas de suite. Tout le contraire de Shireisu.*

L’esprit loup était debout sur un haut rocher regardant, placide, l’immense vacarme aquatique qui lui faisait face. Comme si cette paroi le nargué. Jusque là il avait effectué quelque chose de facile… Maintenant, il s’agissait de s’accroupir sur une de ses pierre juste sous la lame d’eau. Ceci lui demandait de braquer sa volonté à un moment précis pour ne pas que la puissance fulgurante de la cascade le projette. Et même fait ainsi il n’était pas sur de réussir.

Il regarda alors son confrère, comme à a recherche d’une certaine aide. Shireisu n’avait pas empruntés le même chemin que lui. Il était directement aller sur la voie des rochers qui accueillait l’eau… Il s’y déplacer comme un serpent, il dansait littéralement avec le charme aqueux. Il était l’eau. Au loin Shingen l’observait lui aussi se déplacer.

*La « Symbiose » et « l’Ignorance » appartiennent au même arbre. La première permet de se déplacer avec l’élément, s’en servir comme d’un moyen de transport; par contre au repos être l’eau requiert des dizaines d’années d’entraînement au contraire de sa cousine. « L’Ignorance » que sa soit au repos ou en mouvement reste dans la même logique. Ignorer se qui nous entour comme si rien ne venait en obstacle. Mais sans la « Volonté » on ne peut guère arpentait ce niveau d’être.*

Shireisu se mouvait encore parmi le flux de l’eau. Mais il devait se tenir immobile pour apprendre. Il attendit encore un instant puis tenta de braquer sa volonté sur son rocher. Mais même une volonté de démon aurai du mal face à la chute massive de liquide. Shireisu fut emporté, il repris vite le dessus sur le courant et réussi à se hisser sur un rocher proche d’Omidemo qui c’était tenu prés à l’attraper si sa tournait mal. Ils se sourirent, puis replacèrent leurs attention sur la cascade.

Omidemo aurait bien voulut utiliser la manière de se mouvoir de Shireisu mais il en était incapable. Non pas qu’il soit trop peu intelligent pour cela, c’était plutôt qu’il ne trouver pas la logique de l’eau. Pour lui cette élément le laissait d’une part indifférent de l’autre admiratif. Paradoxe? Sans doute il aimait voir les flux et reflux et le calme qu’elle inspirait, mais pour lui elle n’avait pas de logique.

*Tu coules, tu coules… Mais je n’y vois pas la réponse à ma question. Dit moi ma belle comment dois-je faire pour rester dans tes bras…* *« Pour vous c’est comme si il n’y avait pas de courant n’est-ce pas? »…* *Bien sur je n’ai pas le choix il va falloir que j’emploie la méthode du Maître. Il nous à bien dit qu’elle était le lien entre ma méthode et celle de Shireisu. Bon déjà accroupissons nous…* *Voilà. Maintenant comment faire pour ignorer ça!…* *Il faudrait que j’oublie se qui m’entoure, que je pense qu’il n’y est que du sol sous mes pied. Pas d’eau. Pas de cascade. Rien que le sol et des rochers de si delà…* *Plus facile à dire qu’a faire. Comment oublier quelque chose qui fait autant de remue ménage…* *Et en faisant le vide de mon esprit… Bah…Sa vaut le coup d’essayer après tout.*

Faire le vide dans son esprit n’est pas quelque chose de facile. La plus part du temps c’est quand on essaye que des milliard de pensée brève viennent nous parasiter. La plus part du temps elle concerne se qu’on essaye d’atteindre. Pour un être humain, cette méditation reste aussi simple que se mettre dans la peau d’un animal… De chance, malgré son goût moindre pour la méditation, Omidemo était un animal. Enfin, un esprit animal. Sa manière d’être n’était pas la même que celle d’une homme. Son instinct animal repris le dessus, les pensées parasite n’était plus là.
Maintenant il était capable d’ignorer se qu’il désirait.

Finalement cette technique est comme lorsqu’une personne vous insulte, si on l’ignore, la personne s’épuise à vous faire réagir… Bien que le gouffre soit large entre se qu’Omidemo allait faire et celui de cette pâle comparaison. Cela requière le même système d’état d’être.

Omidemo marcha sans s’en rendre compte en contre courant, le torrent lui passant à coté sans l’emporté. Et pourtant sa volonté n’était pas de la partie enfin pas comme elle le faisait avant. Il éteint le voile d’eau et se mis en dessous sans y sentir la masse draconienne qui s’écrasait sur lui. Il se hissa sur un haut éperons de pierre et s’accroupis. Il soutenait fantastiquement parlant le poids de la cascade.

Shireisu n’en crut pas ses yeux. Shingen souris. L’eau glissait sur le corps d’Omidemo sans le faire bouger comme si son corps ne sentait pas se qui croulait sur lui. Comment avait t-il put saisir la technique aussi facilement. Ce ne pouvait être la méthode « Comme un roque » car même si la volonté d’Omidemo était sans faille pouvoir l’user si facilement pour se mouvoir sous la cascade et se tenir immobilisait arpentait le domaine de l’impossible. Alors il avait vraiment saisi la technique de Shingen.

*Plénitude…* *Ainsi se serais comme cela que tu ai atteint « l’Ignorance » mon cher comparse…* *Comme quoi la sagesse de quelque décennie ne t’on pas servie à rien…*
-Ne pas penser… Ne pas penser… Murmurait Shireisu en décrescendo.

A deux reprise il essaya d’ignorer la cascade et l’eau mais à chaque fois des pensées venait ruiner ses essaie, et l’obliger à combattre le courant en le domptant. Mais… Un Sage doit être patient car la sagesse est l’accomplissement total de la vie et il le Sage doit apprendre à utiliser ses expérience passé pour mieux arpentées les voie qu’il arpente.

Shireisu souffla pour la bonne cinquantièmes de fois. Omidemo était toujours sur son rocher immobile. Les plouf et les plaf de Shireisu ne l’avait pas fait sourciller. A nouveau il fit le vide dans son esprit. Si Shingen réussissait alors pourquoi lui non? Il devait oublier de faire quelque chose pour réussir. Exactement il oublier quelque chose.

*Suis-je bête!* *Les dieux nous on munie de la capacité de pensée et de raisonner. Voila pourquoi Omidemo à réussi à apprendre si vite. Il avait tout de son coté une volonté sans faille et instinct dû a ses origine.* *Il ne faut plus que je pense comme humain ou plus complètement.* *Je dois braquer ma volonté dans mon esprit. La volonté « d’Ignorer ».*

Cette fois quand Shireisu sauta dans la cascade qui lui faisait face, celle-ci ne lui bloqua pas le chemin comme si elle n’existait plus. Le jeune homme retomba sur ses deux pied. Il était bien conscient et n’était pas sensible à la pression qui jonchait ses épaule. Il marcha sous le rideau aqueux et vint se poster prés de son compagnon. Ils sourirent tout deux. Dominant la force titanesque de la chute d’eau.
Shingen ris un instant.

*Ils sont arrivé la haut plus vite que je ne le pensait. Mais la nuit n’est pas encore fini.*

A cette heure minuit devait avoir était passé d’une bonne heure déjà. Et ils s’entraînaient toujours intensément comme si leurs vie ne tenait qu’à sa. Leurs endurance avait était mis à rude épreuve depuis une journée et quelque heure. Les quelque pose autorisé ne durait guère plus d’un quart d’heure, comme le disait le sage: « Il nous reste moins d’une journée pour apprendre les concentrations basique, nous ne devons donc pas perdre un seul instant même pour du repos. Je vous avez prévenus que cette voie était particulièrement difficile à suivre. Je suis presque étonné que vous soyez encore d’attaque. »

En effet il était d’attaque à la nouvelle épreuve du Sage. Omidemo virevoltait dans les aires esquivant des fouets aqueux qui le chassait, celas manipulé par maître Shingen d’une main pendant que le reste de son corps combattait Shireisu.

La consignes avait était simple: « Vous devrez apprendre à utiliser toute vos capacité pour esquiver, bloquer, et éviter tout mes assaut. »
Comme à son habitude Shingen n’avait quasiment pas donné d’information, ce qui valu à ses disciple de patauger depuis une heure avec des techniques d’esquive rudimentaire et sans grande impression. Malgré cela Shingen ne les aida toujours pas. Il continuait à les assaillir de toutes sorte d’attaque. Ce qui permis, aux disciples, de découvrir que leurs Maître manipulait Eau et Terre.

Une heure durant ils continuèrent cette étrange entraînement sans vraiment savoir à quoi il servait. Améliorer leurs réflexe? Leurs temps de réaction? Leurs maîtrise du corps? Un peu de tout cela? Il ne savait pas. Et Shingen ne semblait pas d’avis à leurs expliquer tout cela maintenant… Pourtant se n’était pas en continuant ainsi qu’ils avanceraient leurs entraînement, qui s’avérait futile en cette instant.

Ils finirent par s’arrêter et vinrent s’asseoir prés de la cascade. Omidemo et Shireisu s’aspergèrent le visage de l’eau claire et froide, avant de tourner leurs attention vers le Sage. Il n’était guère dessus de leurs prestation d’esquive vue dans la situations où il les avait mis.

-Maintenant que j’ai put estimer vos capacité de défense en combat je vais pouvoir vous enseigner un style propre au Houhou. Voyez vous, la plupart des combattants au corps à corps compte sur la force de leurs coup pour entamer leurs adversaire. Plus leurs adversaire et faible plus leurs coup fond de dégât.
Dans le style du Houhou nous utilisons la force de l’adversaire et non pas la notre pour le vaincre. On utilise le niveau de combat de l’adversaire pour infliger des dégâts.
Par exemple si je combat un apprentie, l’attaque que je lui porterai additionne mon propre niveau avec le sien infligeant une attaque plus puissante.
Bien, mieux vaut une démonstration qu’un long discours. Omidemo viens, on vas se faire un petit combat.

Omidemo obtempéra. Enfin se qu’il aimait.
Le combat.

Il se plaça devant le Sage et se mis en garde. Shingen fit de même. Son œil d’analyste jaugea en une seconde les failles de la garde de l’esprit loup. Elle n’était pas parfaite mais bien pensé. Omidemo fit de même, il repéras quelque point facile d’atteinte sans risquer de se faire prendre…

-Hajime! S’exclama Shireisu qui les observait.

Omidemo ne perdit pas un instant. Comme une flèche il traversa la portion d’écart qui le séparait de Shingen, il le dupa en faisant croire une attaque à gauche alors qu’au dernier moment il glissa à droite en enchaînant un coup de pied latérale et tourbillonnant au raz du sol. Il avait mis tant de force dans se coup que même Shingen s’effondrerait.
Trop sur de lui, il ne vis pas se qui l’attendait.

Shingen avait rabaisser son genoux de façon à se que l’attaque du loup ne le fasse déchanté au pire des cas. Puis il évoqua un rapide mouvement de main. La jambe de son adversaire se retrouva dans les mains du vieillard. Se brusque ralentissement déstabilisa Omidemo lui faisant baissé sa garde pour tenter de se rééquilibrer. Erreur. Shingen en profita pour se faufiler dans son dos laissant vaquer la jambe. Et d’un violent coup de paume qu’il asséna aux omoplate fit partir le loup un peu plus loin.

*C’est comme si il avait utilisé l’élan d’Omi pour l’y instillé dans son propre coup.*

L’esprit loup se releva et réattaqua le vieillard avec un peu plus d’attention.

*Pénétrer le cercle de l’adversaire.*

Omidemo glissa à gauche se releva à quelque centimètre du corps de Shingen.

*Emprunter l’équilibre.*

Avançant un peu il obligea Shingen trop limité dans ses mouvement à reculer.

*Et frapper.*

En se reculant Shingen offrit lui-même la place de mouvement qu’il manquait à Omidemo. Il se baissa et entama une violente attaque par la paume.
Puissant.
Infléchissement.
Mais le vieux Sage n’empruntait pas les même lois que son adversaire. D’un simple déhanché il se mit hors d’atteinte qui frappait à nouveau l’air.
Irrésistible.
Le poing flétri du vieillard se dirigea dangereusement vers Omidemo déstabilisé. Soudain la voix de Shireisu lui arriva au oreilles:

-Accompagne les mouvements et utilise les à ton avantage!

Il compris tout de suite la phrase de son comparse et en une seconde son corps suivi le mouvement de poing du Maître. Bientôt trop court il laissa une ouverture dans sa position. Omidemo se baissa et se glissa jusqu’à son adversaire tout en restant bien en vue de celui si, se mouvant sous son bras pour tenter une nouvelle approche.

Shingen était un combattant conscrit dans l’art du Houhou et par définition dans son style martiale. Il n’eut donc aucun soucis à se déplaçais de quelque centimètre pour que le coup d’Omidemo soit inefficace. Le poing de celui si continua sa trajectoire mais en un instant une simple tape du vieillard sur le bras de l’esprit loup, lui fit perdre tout équilibre et tomba au sol.

La contre attaque avait était si fugace, si précise, imparable. Shireisu était bluffé. Une tel précision pour réussir à trouver le point d’équilibre… Ce n’était pas à la portée de n’importe quel homme, et Shingen avait dû travailler énormément pour atteindre se niveau. Le vieillard salua Omidemo à terre et dit à haute voix:

-Bon je pense que vous avez saisi le style. Et comme vous avez dû le remarquer trouver les points des différents peu facilement désarmer et déstabiliser votre adversaire vous donnant ainsi un certain avantage. Allez nous allons reprendre pour deux bonne heure. Ensuite nous pourrons dormir. Il nous reste encore beaucoup à faire.

Shireisu se leva et se joignit à son comparse et son Maître. La nuit risquait d’être encore longue et le jour encore plus.
Les premiers coup furent jetés.
Le combat pour la connaissance commença.

Une goûte d’eau s’écoula lentement sur la joue de Shireisu. Ce simple impact le fit sortir de ses rêve. Le long combat d’hier les avaient menés jusqu’à une clairière non loin de la cascade et du fleuve. C’était là où, après rude prouesse, avaient sombré dans un sommeil profond et réparateur.

En une nuit des nuages noir avaient voilés le ciel estival de ces derniers jour. Et, bientôt, il allait commencer à pleuvoir des torrents. La goûte simple qu’avait accueillis Shireisu sur sa peau n’était en faite que l’émissaire d’une armée entière et bien plus consistante. Néanmoins, rien de bien effrayant. La pluie, peu importe sa force, n’est que de l’eau chutant d’en haut. De plus Shireisu l’apprécié particulièrement car elle avait le don, comme quelque petite chose, de calmer son esprit.

Ce qu’avait prédis le jeune homme s’avéra très vite exact. Un véritable déluge se déversa sur la terre. Bientôt Shireisu entendit les grognements d’Omidemo n’aimant pas être réveillé en plein rêve.

Shireisu ne savait pas quel heure il pouvait bien être et le soleil était complètement caché par la nue, donc impossible d’en déduire une horaire quelconque.
D’ailleurs il ne s’en préoccupait pas dans l’instant.
Il avait beau faire vaquait son regard écarlate sur toute la clairière, il n’y découvrait aucun signe de Shingen. Pourtant dieu sait que se grand Maître n’appréciait pas perdre du temps dans l’entraînement qu’il fournissait à Shireisu et Omidemo.
C’est alors qu’il le vis enfin. A l’abri d’un amoncellement rocheux prenant la forme d’une arcade à la lisière de forêt au sud.

Le vieillard avait produit un feu à l’aide de quelque branche sèche, un lit de feuille odorante et deux pierre à feu. De cette source de chaleur et de lumière s’échappait le parfum de la viande bien saignante. En effet trois gibiers qui s’avéra être des lapin était embroché au dessus du feu et par l’intermédiaire du roulement d’un mécanisme de fortune cuisaient correctement. Shingen effectuait la tache avec un plaisir audible. Il sifflait, joyeux, une vieille mélopée.

Omidemo et Shireisu allèrent rejoindre le Sage et s’assirent sur la parcelle de sol a couvert de la pluie. Là, Shingen leur tendis leurs repas, et leur offrirent un agréable sourire don il avait le secret tout en leur disant:

-Alors, la nuit fut-elle bonne.
-Dure. Ironisa Omidemo.
-Réparatrice. S’enquit simplement Shireisu.
-Parfait, alors nous allons pouvoir continuer nos petit exercice juste après se bon repas.

Sur ce les trois homme s’employèrent à la tache. Ils dégustèrent tranquillement en prenant leurs temps. La viande était tendre et parfaitement cuite. Malgré cela Omidemo ronchonna un peu de ne pas avoir de viande rouge et bien saignante, en tant que loup c’est logique en tant que loup. Mais mis à part ce petit détail, le repas fut silencieux. Aucun détails ne furent demandé à propos de l’entraînement d’aujourd’hui. Ils le découvriraient bien assez vite.

Quand ils eurent fini, Shingen se leva et sans un mot alla se poster à la rivière. Shireisu se versa un peu d’eau clair sur les mains pour les nettoyer, puis lui et Omidemo rejoignirent. Tout trois restèrent là, immobile et en silence. Qu’allait il devoir faire cette fois ci? Il n’avait pas fait de théorie depuis un petit moment… Peut être que les exercice qu’il demandait à cette instant n’en requière pas. Le Sage commença:

-Quand on vous attaque, que faite vous?
-Je l’esquive. Dit directement Omidemo puis, Je l’encaisse.
-Je l’ignore… Je l’anticipe.
-Parfait, la plus part de vos réponse me conviennent.
-Qu’avons-nous travaillé hier avant de nous coucher?
-L’ignorance et l’anticipation?
-Plus particulièrement la deuxième. En utilisant la force de votre adversaire, vous vous accaparez de son cercle, lui volez son équilibre, et l’accompagnez dans sa chute. Aujourd’hui nous allons travailler une nouvelle technique. De la même manière que vous utilisait la force de votre adversaire au corps à corps vous allait apprendre à rediriger des attaque « d’énergie » contre lui. Vous vous appropriez son attaque et lui renvoierait tout simplement.
-C’est vraiment possible? Demanda Omidemo septique.
-Tu désir une démonstration? Bien alors attaque moi.

Omidemo hésita. La dernière fois qu’il avait accepté de l’attaquer, il s’était retrouvé au sol en moins d’une minute. Mais sa curiosité l’emporta sur sa prudence. Ce que le Sage allait leurs enseigner lui semblait irréalisable et il voulait absolument voir cette faculté. Même si au fond de lui il savait que le Maître réussirait aussi facilement que les autre épreuve, celle-ci.
Il ne savait trop quel technique il allait employer. Il avait le choix. Il décida dans employer une plutôt ravageuse… Le Gian… Technique de Foudre. Rapide, puissante, un assaut parfait pour faire découvrir l’horreur à une armée entière.
Omidemo observa calmement Shingen. Il était complètement immobile, et semblait si frêle dans son vieil age comme une feuille d’automne arraché à son toit. Pourtant le vieillard était beaucoup plus fort que son apparence. L’esprit loup sans prévenir ce lança à l’assaut. Son éclair fracassant traversa le sol à toute vitesse plus efficace qu’une charrue, il retourna le sol émettant un bruissement de mort assourdissant. Shingen n’esquissa qu’une ample arabesque de ses bras au moment où le Gian atteignait la marge critique. L’attaque d’Omidemo fut comme aspiré par le mouvement du vieillard. La foudre suivait comme un chien les bras qui virevoltait dans tous les sens et au fur et a mesure réduisait son taux de déplacement.
Une pulsion. Le Gian reparti vers son invocateur, mortel. Omidemo avait glissait en arrière avant l’impact de l’attaque à l’endroit où une seconde plus tôt il était immobile.

-Tu es satisfais Omidemo?
-Satisfait, oui. Mais comment faut il faire pour réussir?
-Au départ il est plus simple de s’approprier l’attaque don l’élément nous correspond le mieux. Et pour cela il faut que tu devienne l’aimant de cette élément pour pouvoir le dirigeant puis jouant sur les positif et les négatif la renvoyer où changer sa direction.
-En faite il ne faut faire qu’un avec l’élément. Dit calmement Shireisu.
-C’est exactement ça.
-Alors je pense savoir comment m’y prendre. Omidemo, effectue un Atsugai sur moi.
-Bien m’sieur.

L’attaque fut fulgurante. Quasi invisible. Le Chakra avait été sculpté en une flèche perforante. Shireisu dû recourir à sa vitesse hors norme pour s’éloigner de l’assaut et gagner un peu de temps sur elle, juste assez pour mettre en place son idée.

*Comme le fait un paratonnerre, il faut que j’accumule l’énergie dans mon corps pour ensuite la renvoyer par l’extrémité opposé. Sa c’est la première idée.
Celle de Shingen est un simple mouvement captant l’énergie et la charmant de façon à la contrôler totalement. Bien que plus complexe, cette façon de faire fait courir moins de risque à l’utilisateur. Donc…*

Shireisu, à la seconde où la flèche de vent allait le toucher, effectua un ample geste. Dans se mouvement était instillé une volonté qui se transformait en énergie pure. Une volonté de contrôle sur le vent. Une volonté incassable. Surprenante. Les entraînements de Shingen n’était pas fait à l’aveuglette. Chacun permettait le suivant avec plus de facilité.
Irrésistible.

La flèche fut dévié de sa trajectoire, happé par le bras de Shireisu. Puis elle fut déformée au fur et à mesure des geste du jeune homme aux yeux pourpre. Il effectuait une véritable danse. Aucun faux pas. Il était l’élément du vent. Le vent était lui.
Invincible.

Il continua à danser puis d’un geste souple mais sec dirigea l’énergie transformé en sphère tournoyante vers Omidemo. Celui-ci regarda la sphère approché impassible. A son tour il devait montrer ce qu’il savait faire. Il avait eu les mêmes idée que Shireisu mais il opta pour la première au contraire de son compagnon. Celle-ci requiert autant de volonté que l’autre mais elle ne demandait pas de contrôle véritable ni de pouvoir. L’esprit loup tendit le bras. Toute sa volonté braqué. La sphère le heurta. Le pénétra sans offrir de douleurs. Omidemo devait faire vite il tendit le bras opposé. L’élément du vent avait fait comme une courbe dans le corps de l’homme, elle ressorti indemne par la paume ouverte du bras opposé à celui qui avait aspiré.

Un véritable match suivi ce première échange. Chacun utilisant chaque parcelle de volonté, de résistance et d’énergie pour pouvoir renvoyer l’Atsugai qui a chaque échange changeait de forme. Passant d’une sphère à un marteau. D’une mâchoire à une main griffu. Shireisu faisait preuve d’une grande imagination pour que le « combat » soit plus attrayant. Bientôt Shingen augmenta la difficulté rajouta une « balle » d’eau au jeu. Les deux apprentis devait portait une grande attention. Chaque seconde leur était vitale. Le nombre de « balle » augmentait toute les minutes. Shireisu dû recourir à la vitesse d’exécution donc à la deuxième manière de faire pour pouvoir tenir. L’affrontement ne semblait pas avoir de fin. Apparemment Shingen ne le désirait pas, tant que ses deux disciples n’arriverait pas parfaitement leurs enchaînement. Il était impitoyable, mais c’était aussi un véritable pédagogue. Bon nombre de maître shinobi devrait prendre exemple sur sa manière d’enseigner. Sur la zone découverte la pluie tombait de plus en plus fort comme si elle clamait avec force le match du siècle. Les deux disciples était trempé mais leur concentration débordait par leurs exercice n’avait guère fait attention à ce détail. Plus d’une heure s’écoula. Non. Deux, avant que la fin fut sonné. A se moment toutes les attaques furent projeté vers le ciel, le sol, la roche ou les arbres ravageant brutalement la matière par d’immense crevasse et fêlure.

-Vous avez bien travaillés. C’est étonnant la vitesse à laquelle vous apprenez, vraiment. Donc nous n’allons pas nous arrêter en si bon chemin et je vais vous expliquer les limites de la technique que je viens de vous enseigner. Toutes les technique d’énergie ne peuvent être renvoyé avec les trois concentration basique du Houhou. Celle qui ont une densité surprenante où un taux d’énergie trop grand ne peuvent pas être redirigé de la manière normal. Mais une concentration particulière permet la chose, je vous l’enseignerez dans peu de temps. Pour le moment, nous devons terminer les trois basique, il nous reste peu de chose à faire et si vous travaillez bien nous pourrons entamer la suite de l’entraînement avec de l’avance.
-Et quelle est la suite? Demanda impatiemment Omidemo.
-Et bien voyons voir… Hum… Shingen réfléchi en prenant son temps avant de finir, Je ne pensais pas que nous étions aussi loin dans l’initiation des bases. Il ne nous reste qu’un détail à voir. Celui de réussir à garder une concentration irréprochable alors que vous êtes endormi assommé ou ayant perdu tout repérage. Nous allons travailler le dernier exercice, les autre viendrons peut être dans vos entraînement prochain, qui sais.
-Comment allait vous y prendre?
-Une technique d’hypnose obligeant a tout vos sens de s’endormir ainsi que une grande partie de votre cerveau. Une fois dans cette état vous devrez tout faire pour garder une concentration impeccable de façon à se que celle-ci puissent jouer la place de votre cerveau et ainsi vous défendre. Qui désir essayer?
-Moi je veux commencer.
-Bien, Omidemo regarde moi bien dans les yeux.

Les deux regards ne fléchir pas l’un face à l’autre. Puis soudain Omidemo fut comme endormis le regard vide de présence, son cœur battant toujours, ses pensé le travaillant dans une obscurité total sans son, sans lumière, sens sensation, sans odeur et sans goût plus rien le néant complet le tapissait complètement de l’intérieur. Lui qui était un esprit d’un animal, d’autan plus celui du loup, perdre ses sens était comme perdre la vie. C’était la deuxième fois qu’il avait peur. Peur dans ce rien infini sans aucune accroche à porté de main. C’était comme si il était revenu quatre cent ans en arrière…


A cette époque il n’était pas un esprit, c’était une véritable créature ne possédant aucun pouvoir exceptionnelle. Seul sa force colossale, son endurance éblouissante et ses réflexe incroyable l’avait mené au rang de chef de meute. Tous le respectait dans son groupe, tous lui vouaient une adoration peu commune dans leur race. Et il le leur rendait en les menant à la victoire. Abondance de proie, terrain de chasse de plus e plus vaste, une meute ne cessant de s’agrandir. C’était une belle vie pour les loups. Et encore plus pour lui, il avait à ses côté la plus belle créature du groupe. Une louve magnifique, élancé, au poil argenté et aux yeux d’un jaune sauvage. Pour eux de rien ne pouvait détruire leurs amour, ils étaient tout l’un pour l’autre. La fidélité incarné que bon nombre de couple humain devrait prendre en exemple. Un amour réciproque plus fort chaque seconde que le temps éclipse. Et un jour quand le beau et fringant chef de meute rentra d’une course folle avec la génération des jeunes chasseur, il eut la plus belle vu de ça vie. Quatre louveteaux tétant leur mère avec une affection innocente. Quatre superbes enfants venait agrandir la famille déjà grande de la meute.

Une visible paisible s’établissait à l’horizon. Seul un nuage noir s’agrandissait peu à peu dans le ciel splendide de beauté. Un seul danger. Mais il était de taille. La meute envahissant de plus en plus de territoire les hommes, terribles prédateurs, visait à chasser définitivement les loups de la région, et les hommes son malin et intelligent créant des pièges de plus en plus nombreux, camouflé, et mortel. Ils n’hésitaient pas à empoisonner des points d’eau pour atteindre leur but, obligeant la meute de reculer jusqu’à ce qu’elle soit acculé au pied du mur. De nombreux jeune inexpérimenté du cerveau sadique de l’humain c’était vue mourir de manière effroyable. Mais tout le monde fait des erreurs. La leur leurs coûtèrent très cher.

Le meurtre d’un des enfants du chef mis celui-ci dans un état de rage terrible oubliant sa peur de l’humain oubliant celle de leur arme et du feu. Embrasant la haine de tous les male de la meute qui avait la force de se battre contre leur persécuteur. La nuit de l’attaque fut sanglante. Trois quart du village fut vidé de sa population. Le sol saturé de sang. Les loups n’avait pas eu de pitié, femme, enfant, grand-mère. Ils les avaient tous tué, eux n’eurent que quelque perte malheureuse. Ils espéraient que les hommes avaient compris qu’ils ne se laisseront pas dominé sans combattre. Mais là encore c’était beaucoup trop beau pour être vrai.

Un jour et une nuit. Ce fut le temps qu’il fallut aux expert chasseur de la race humaine pour éradiquer la quasi-totalité de la meute. Les hommes était lâche les attaquants indirectement pour les acculer et les affaiblir puis une fois sûr de leur victoire, approcher pour les tabasser. Douze hommes moururent dont quatre par les mâchoires et les griffes du chef. Soixante-sept loup s’effondrèrent sur les soixante-douze qui restait des précédents troubles.

Il se souviendrais toujours de cette heure là. Toute la journée des compagnons était mort. Tout le reste de la meute était sur ses garde. Pourtant quelque homme pénétrèrent dans le cœur de leurs territoire là où vivait le chef et sa famille. Jamais il ne pardonnerais à l’homme se qu’il se passa à ce moment là. Des flèches, du sang… Toutes sa famille tué. Lui seul survivant pour être sortie faire le guet au nord. Il tua les deux assassins. Puis pris de rage comprenant l’attaque nocturne galopa aider ses compagnon. Il sauva une famille leur ordonnant de partir. Il égorgea un autre homme avant qu’une flèche vienne le cueillir en plein cœur. Il s’écroula à quelque seconde de sa mort. Ses sens lui échappait il était dans le noir. Pour la première fois il avait peur. Peur de ce qu’il avait vu. Sa famille… Ses compagnon… Il ne voulait pas être dans le néant.
Trop noir.

Un excès de rage le prit, une poussée d’adrénaline, un bôme pour ses trouble, une concentration sublime prenait chaque parcelle de son être et d’un prodigieux réflexe il saisi le poing que Shingen avait dirigé vers lui et le dévia in extremis. Il n’y avait eu une once d’hésitation dans ses geste. Ses sens pourtant n’était pas de la partie, quelque par emprisonné. Il bougea de sa seul volonté d’échapper à l’inexistante que lui faisait sentir le néant qui était née un instant en lui. Il ne voulait plus souffrir, plus mourir une deuxième fois dans l’obscurité et rien. Ô! Rien ne pourrait le troubler à nouveau. Même ayant perdu tout capacité d’analyse ou de repérage il se battrai contre ses vieux ennemies qui l’assaille, Souffrance, Lâcheté, Mort, Homme. Il les feraient tous payé du passé qu’il avait du vivre et du présent qu’il vivait avec ses souvenir venant le hanter quand la nuit était trop noir ou que le sang avait trop couler. Plus jamais il ne se laisserai faire.

Soudain le charme se rompit. Ses sens revinrent libéré. Omidemo apprécia le goût de l’air, le son du vent, les courbes de la terre, les odeurs de la nature et la vue de la vie. C’était comme une renaissance. Combien de temps avait était-il privé de ses repère quelque heure d’après le soleil. A quelque mètre de là Shireisu lui souriait. Lui aussi avait dû subir le sort de Shingen… Lui aussi avait dû être en prise avec des souvenirs noir. Mais ils avaient réussi à surmonter l’épreuve malgré les drames et la fatalité qu’il vivaient et qu’ils avaient vécu.

-Vous êtes tous les deux, les êtres les plus doué que l’histoire du Houhou n’ai jamais compté… Cette épreuve était sensé être la plus dur, psychologiquement parlant, de l’entraînement. Ne plus rien ressentir, être dans le vide total, c’est là que tout est refoulé et c’est là que la folie prend le trônes. Vous ne vous êtes pas laissé dominé. Vous avez réussi l’exercice.

Shingen leur avait permis de se reposer une bonne heure en leurs assurant qu’ils étaient en avance et qu’ainsi ils avaient bien le droit à faire un petit somme. Omidemo n’arriva pas à s’endormir. Était-ce parce que son épuisement n’était pas assez fort pour faire sombrer sa forme humaine, ou alors à cause de se qu’avait vécu son esprit devant l’exercice. Peur du cauchemar? Comme un étau qui depuis quatre cent ans se resserrait sur son âme en proie à des souvenirs cuisant… Malgré qu’il s’était promis à lui-même qu’il n’aurait plus jamais peur, il ne pouvait oublier ce sentiment complètement… Après tout il était un loup. Beaucoup plus sensible au chose et au sentiment que le sont les hommes, bête noir de son passé.

Shireisu, lui par contre, n’eut aucune difficulté à rejoindre les bras de Morphée. Qu’avait il vus durant l’exercice? Pourquoi cela ne l’avait pas effrayé à outre mesure?
Était-ce vraiment un être humain? Finalement qui était-il réellement? Comment son passé l’avait-il forgé comme cela? Tant de question qui se bousculait dans l’esprit de Shingen à son propos, une chose et sûr, durant toute ça vie, Shireisu devra se battre contre l’invincible. Il avait inconsciemment… Non! Consciemment défié le système. Il avait provoqué en un duel à mort le divin. Qui menait la danse en cette instant? C’était lui, cela ne faisait aucun doute, il voyait plus qu’il n’en faisait paraître, il affrontait délibérément le destin qui se voulait inchangeable car il avait été écrit par les dieux. Ce qui était, pour Shireisu, la pire chose qu’il pouvait arrivé, il ne supportait pas de savoir que quelque un pouvait connaître chacun de ses mouvements et pensées et ainsi le contrôler comme une vulgaire marionnette. Le monde n’était-il qu’une vulgaire pièce de théâtre de l’échelle d’une planète? Il ne pouvait le croire. C’est pour cela qu’il voulais mettre à ses côté toutes les aides possible pour couper les pont menant au divin. Son esprit devait donc être aussi insondable que celui du Houhou. Shingen fera tout pour aider ses homme se battant pour libérer l’humanité du joug que leur portait les dieux.
Ils devaient se remettre au travail.

Shingen alla réveiller Shireisu qui lorsqu’il approcha sa main de l’épaule du jeune homme, celui-ci la saisi, il dormait encore avant de finalement ouvrir les yeux. Sa concentration avait augmenté, on ne pouvait plus du tout le surprendre, même dans son sommeil. Ses réflexe déjà grand était d’une précision et d’une rapidité étonnante. Il avait saisi parfaitement le principe de la concentration final de base. Il allait donc pouvoir renforcé son esprit jusqu’à l’ultime.
Impénétrable.
Les deux disciples s’assirent en attente de leurs prochaines exercice. Ils étaient tout deux très déterminés, prés à tout pour avancer dans la Voie.

-Nous avons commencés tout à l’heur à forger votre esprit. Maintenant nous allons le rendre infranchissable par quelconque technique d’illusion, d’hypnose ou de pénétration psychique. Ici encore, la concentration joue un rôle plus qu’important, comme votre volonté d’ailleurs. Vous avez appris tous les deux à jouer avec ses deux flux d’énergie très important dans la Voie du Houhou. Cette fois il faudra faire en sorte de mêlé ses énergie de façon à créer une véritable forteresse entourant votre esprit tout en gardant la perception total du monde extérieure. Le but final sera que cette forteresse se place automatiquement en cas d’attaque.
-Et en quoi la nécessité des deux énergies? Demanda intelligemment Shireisu.
-La volonté sera les pierres de votre forteresse, et la concentration sera vos tour de guet. Je m’explique. Former un mur dans votre esprit nécessite toute votre attention vous obligeant à lâcher les yeux un instant le monde extérieure,…
-Ce que l’ennemi peut profiter pour enchaîner son attaque psychique à une attaque physique…
-Qui pourrais être mortel. Oui. Et comme vous l’avez compris la Voie du Houhou vise la perfection du corps, de l’esprit et de l’âme. C’est pour cela que les tours de guet de concentration pourrons garder à l’œil ce qui se passe. Et ainsi limiter énormément les risque.
-Le simple fait qu’on puissent voir dans ma tête m’est insupportable. Comment devons nous nous y prendre?
-Il va falloir beaucoup méditer et apprendre à votre esprit à faire cette forteresse en utilisant d’abord la volonté. J’essaierai de pénétrer votre esprit. Vous devrez ensuite vous laisser hypnotiser comme tout a l’heur et faire ensuite en sorte que je ne puisse vous pénétrer l’esprit. Et enfin vous fabriquerez les tours de guets et un petit combat s’annoncera.
-Quand commençons nous?
-Maintenant.

Omidemo et Shireisu ne cherchèrent pas plus de donné pour la manière de réussir l’exercice, car il savait très bien que Shingen ne donnerait aucune information. Depuis le début il ne disait que le stricte minimum et les laisser un moment sans dire mot jusqu’à l’accomplissement de l’exercice qui, la plus part du temps durait une heure pour les plus simple et quelque soixantaine de minute à ajouter pour se qui était dans la tranche des complexes.

Autan Shireisu commença à méditer directement après le top départ, Omidemo, lui, répugnait à cela. Rester assis à voir le temps passer il n’y voyais là que de l’ennuie. Son compagnon avait beau lui avoir expliquer plusieurs fois le terme de méditation il ne voyait guère la différence avec l’expression mourir d’ennuie. D’ailleurs il ne saisissait pas le sens de la phrase « ne plus penser à rien » c’était dans le domaine de l’impossible à cause de pensé parasite qui entravait la phrase à sa source. Enfin sa c’était sa partit humain qui le disait quand Omidemo arpentait ses faculté animal la chose lui était beaucoup plus facile. C’est ainsi qu’il se plongea en transe espérant que la construction de se mur sera une manière de tuer le temps.

De son côté Shireisu sillonnait déjà les plaines et montagne de son esprit, manière de dire… La dimension de l’esprit n’est pas tellement un paysage mais un plateau noir sans fond et sans horizon. Ce n’était pas la première fois que le jeune homme la comparait ainsi car cette représentation du complexe de l’esprit émettait la solution de l’infinité des chemin pouvant être empreinte et montrant aussi l’immensité du cerveau humain. Dix pour cent est utilisé d’après certaine personne, cela signifie t-il que les quatre-vingt dix autre ne sont pas sollicité? Interdit? Ou tout simplement utilisé dans des moments de non conscience. Shireisu pensait plus à un emploi limité naturellement une sorte de grande marge de sécurité. Le jeune homme avait d’ailleurs très vite compris que les entraînements du Houhou allait plus loin dans le cerveau que de nombreuse chose. Et la encore l’exercice demandait une vision interne extrêmement pointu… En effet visionner se que Shingen appelle les « Flux énergétique » n’était pas chose facile, mais voir et construire le monde de son esprit était quelque chose d’insaisissable au premier abord.
Shireisu avait beau être quelque un d’Intelligent, il ne l’était pas plus que d’autre, et cette exercice ne menait à aucun débouché dans l’instant en tout cas. Il ne savait pas combien de temps il errait dans les chemin obscur du plus profond de lui-même, combien de temps c’était t-il écoulé depuis qu’il c’était déconnecté de l’infâme réalité?
Quelque minute? Des heures? Il ne savait pas. Mais quand il atteint l’Endroit, il ne fut pas déçus d’avoir tant arpenté les possibles.
C’était un rêve, comme si à l’Endroit tout demeurait possible, un lieu servant d’archive de l’oublie et de forgeron de l’esprit. Il commença à comprendre pourquoi Shingen avait parlé de forteresse. L’Endroit semblait être à la fois le cœur de l’esprit mais aussi sa porte, toutes les pensées et autre données arpentait l’Endroit comme un passage obligé avant la suite de l’épopée. Et cette zone si spécial semblait démuni de protection comme si toutes personne apte, pouvait la percevoir et la lire. Il fallait donc ériger un mur filtrant chaque passage, chassant les indésirable et accueillent les vrais clients.
Comme si il savait déjà comment faire, Shireisu créa se mur. Après tout il était chez lui il pouvait faire se qu’il désirait quand il le désirait. Bien sûr, manquant d’un entraînement psychique très nettement visible par cette simple cloison spirituelle. Il porta toute sa volonté à la rendre plus solide, plus indépendante. Mais cette dernière lui semblait infaisable.
Il rajoutait progressivement de nouveaux soutiens endurcissant la structure, quand il sentis quelque chose se heurter violement contre les défenses nouveaux nées. Une énergie brute venait enfoncer de plus en plus le mur. Il tenu bon. Se tordit. Grinça. Flancha, l’énergie bien qu’amaigrie était colossale et s’étendis dans l’esprit de Shireisu comme un fléau. Le jeune homme fut prit d’une douleur vive à la tête l’obligeant à sortir de l’Endroit pour se retrouver à moitié allongé sur l’herbe humide.
Shingen lui souris, puis il désigna Omidemo non loin de là. L’esprit loup était prit de rictus symbolisant la douleur, mais il semblait tenir ses position dans l’Endroit, résistant tant bien que mal à la flèche de volonté perforante que Shingen faisait écraser contre son mur.
Il tenait.
Shireisu décida alors que ses maux de tête n’était pas assez douloureux pour l’empêcher de continuer l’exercice. Il rallia l’Endroit, chassa le fléau, érigea de nouvelle défense qui a chaque fois se faisait écraser par la volonté de Shingen. La douleurs crânienne se faisait de plus en plus ambiguë, mais Shireisu continuait à faire sa protection qui à chaque fois se faisait plus rapide, plus indépendante, plus forte. Comme toute chose il faut l’entraîner pour l’améliorer.
Les heures s’éternisait pourtant l’ennemi ne semblait pas lâcher prise. Combien de temps cela allait t-il durait encore. C’était une douleur de plus en plus intenable. Et, quand les deux disciple ne purent plus renouveler leurs murs et sortir de l’Endroit, il y découvrir leur Maître lui aussi épuisé à force de projeter sa volonté. Ils s’allongèrent alors pour reprendre des forces avant la suite de l’emploi du temps qui ne semblait d’ailleurs pas moins complexe.

La bataille faisait rage dans l’esprit de Shireisu. Il n’aurait pas pensé que perdre tout ses sens complexifierait autan la fabrication de sa forteresse spirituel. Les bâtisseurs de l’Endroit construisait les murs à l’aveuglette ne sachant où poser les pierres rendant le bouclier défaillant, irrégulier et peu efficace. De nombreuse fissure laissait passer des flèches de volonté essayant de percer à jour les pensées du jeune homme. Qui d’une once d’intelligence soudaine avait décidé de ne pas se limiter au mot « mur » mais véritablement à « forteresse » avec tout ce qu’il devait la constituer.
De véritable soldat chargé d’anéantir les intrusions chargeait dans tous les sens de l’Endroit souvent disparaissant à l’impact de la volonté brute de Shingen, quelque fois faisait reculer cette même énergie envahisseur.

Ils c’étaient reposé une heure entière, jusqu’à temps que leurs faculté physique et mental revienne et que leur maux de tête soit soutenable. Là, Shingen les hypnotisa émettant quelque difficulté à traverser le mur qui devenait de plus en plus autonome mais finalement il y parvint et une nouvelle fois, les deux disciples sombrèrent dans le néant total. Néant? Non plus exactement. Maintenant il voyait leur esprit différemment que beaucoup d’être humain, pour eux, c’était un univers appart entière, et l’Endroit en était le cœur et les portes. Paradoxale? Qui a dit que l’humain était logique?
Malgré qu’ils aient à nouveau perdu toute connexion avec la réalité d’une part à cause de l’hypnose subit, d’autre part, atteindre l’Endroit était quelque chose de très éreintant et donc difficile à réaliser en gardant une présence dans la réalité.

Ceci dit, pour le moment l’exercice ne consisté qu’à solidifier ses défense et non à créer ce que Shingen nommait les « tours de guet ». Simplifiant ainsi la tache ne demandant presque qu’une volonté de titan et une résistance de granit… Et, Shireisu s’en doutait, sans le voir il savait qu‘Omidemo s’en sortait bien mieux que lui. Il avait tout pour réussir, lui, Shireisu, avait beau être un adversaire tenace face à la volonté de Shingen, part rapport à son compagnon il se savait grand comme une fourmis.

Il était débordé. Les fissures se faisait de plus en plus nombreuse. Ses unité étaient happées par les flèches de volonté. Celle-ci pénétrait de plus en plus profond dans l’Endroit. Remontant de plus en plus loin dans sa mémoire et ses pensées. En exploration d’un territoire qui n’était en aucun le sien. Shireisu braqua à nouveau toute sa résolution sur la construction d’un mur implacable. En aveugle, les défenses se reformèrent. Shingen recula, repoussé par toute cette énergie libéré. Il assaillit de plus belle, une fois, deux fois, trois fois… La paroi éclate en mille pensées, se reforme dans la seconde qui suivi.
Automatisme parfait.
Shireisu avait réussi l’exercice peu de temps après son compagnon qui lui sourit quand il rouvrit les yeux libéré de l’hypnose de Shingen. Cette hypnose il l’avait chassé de son corps en même temps que la volonté propre du Sage.
Dans la réalité, la nuit était finalement tombé depuis quelque minute à peine. On pouvait encore voir à l’ouest les dernière nappe de lumière flamboyante émis par le soleil épuisé. La température était douce. L’orage qui avait eu lieu dans la journée avait rafraîchi la chaleur ambiante. Et une brise agréable en ses mois d’été traversait la zone. Malgré tout cela, Shireisu était brûlant de fatigue, de sueur, et d’énergie. Jamais dans sa jeune vie il ne s’était autan dépensé. Et il continuerait même si son corps était sur le point de flanché. L’entraînement lui avait clairement appris une chose. La volonté peut accomplir beaucoup de chose.
Shingen semblait lui aussi épris d’un sentiment d’épuisement avancé, c’est là qu’on pouvait constater de son âge avancé. Mais il arborait toujours sur son visage ce sourire humble et se regard aussi sage que lorsqu’on observe les arbres millénaire, vigoureux, puissant, impressionnant de leurs tailles et leurs vieillesses. Cette homme était un saint. Il avait voué sa vie au Houhou et à son accomplissement total. Offert son existence à la perfection du soit. Ouvert les portes à ce qui avait perdu les clés. Jusqu’à en devenir une personne discrète mais d’une importance politique non négligeable. Un Sage à qui on aimait discuter de ses problème, pour se libéré d’un poids certain. Fardeau de sa conscience. Bref une personne de confiance avec qui on pouvait laisser en main l’entraînement de son âme, corps et esprit jusqu’à sa plénitude total.

-Vous sentez vous capable de finir les exercice spirituel ou désiriez vous attendre que le jour revienne? Demanda-t-il simplement.
-Ne perdons pas de temps, plus vite nous aurons les bas plus vite nous pourrons nous consacrer à son perfectionnement. Répondit Shireisu entre deux souffles de récupération.
-Soit alors maintenant le travail qui nous incombe, est la création des « tours de guet » et du mélange des flux d’énergie.
-Puis-je émettre une théorie?
-Je t’en pris.
-D’une manière l’Endroit c’est-à-dire le lieu où on construit le mur, est en fait la porte et le cœur de l’esprit. Suis-je dans le vrai?
-Continue.
-Donc les tours serait les yeux du murs dans la réalité?
-En quelque sorte. C’est quelque chose de très complexe à expliqué comme toute les chose lié à l’esprit. Je vous l’ai déjà expliqué. Construire des murs dans votre esprit vous fait perdre un peu la réalité. C’est pour cela que les tours son nécessaire Vous garderez tout vos moyen aussi bien spirituellement que réellement.
-En clair nous serons dans un état second don notre concentration sur le réel nous permettra d’accentuer nos sensation et nos réflexe.
-Oui. Vous sentez vous prés à tenter l’expérience?

Trois combats. Trois affrontements où les disciple durent essayer de comprendre le système. Trois bataille où il se retrouvèrent très vite à terre, l’esprit requièrant trop d’attention. Mais à chaque fois qu’une manche passait, Shireisu et Omidemo, en comprenaient beaucoup sur le principe. Et au fur et à mesure ils tenaient plus de temps passant de dix seconde à deux minutes.
Au bout de cinq nouveaux combats, Shireisu avait totalement saisi le principe. Les « tours de guets » remplacer littéralement ses yeux avec habilité. Les sensations qu’il avait maintenant par le simple frôlement de l’air était… Magique. Chaque brusquement, chaque stagnation, chaque troue, il les entendait, les sentait, les touchait. Shingen avait de plus en plus de mal à l’attraper. Ses réflexe était beaucoup plus vif qu’avant et sa précision l’était d’autan plus. Bientôt en plus de repousser les attaque psychique du Sage, il commença à combattre physiquement. Mettant Shingen dans des impasse de stabilité de plus en plus rapide.
De son côté Omidemo, par ses intuition de loup et sa volonté était un adversaire sans défauts. Il avait entamé le combat un peu plus tôt que son compagnon le rattrapant peu à peu. Bientôt ils n’étaient qu’une pâle imitation humaine.
Feux follets virevoltant dans l’air fraie de la nuit tombé.
Intouchable.

-Ce n’est qu’un rêve Shirei rien de plus qu’un rêve.
-Non, Omi, tu ne comprend pas. Sa sonnait beaucoup trop vrai pour être un rêve. La tension qui l’y régnait était elle bien réel je peux te l’assurer.

Après avoir prit un petit déjeuné frugal de soupe au herbe et de minuscule poisson de rivière, Shireisu avait décidé de parler de ce qui c’était passé pendant son sommeil. Bien sûr, Omidemo ne le crut point… Après tout, faire un rêve d’un souvenir d’une autre personne semble tout à fait insensé. Et malgré cela… Shireisu était certain de se qu’il avait ressenti cette nuit là… Comme si une pierre de plusieurs tonne lui tombait dessus et broyait son esprit. Il avait senti sa défense psychique se mettre en place à se moment là… Mais elle ne tenu qu’une fraction de seconde. Comparé à la volonté de Shingen celle de cette nuit était mille fois plus forte. Cette volonté avait instillé dans la partie du cerveau créant les chimères, des souvenir d’un passé depuis longtemps révolu. Soudain des détails de la pièce et du contenu de l’écrit revinrent dans la mémoire de Shireisu.

-L’homme de mon rêve, il parlait du Houhou. Il était encerclé de pendentif et autre fiole au contenu douteux. Ses expression était beaucoup trop maléfique pour être faux…
-Shirei, tu sais mieux que moi que les songes peuvent créer des hallucinations innombrable. Ce n’était qu’un pseudo cauchemar au allure de réalité.
-Justement il était au allure trop vrai pour n’être qu’une fausse réalité.
-Mais…
-Tu dis qu’il y avait des pendentif dans ton rêve. Shingen était apparut juste derrière Shireisu, discret.
-Hum… Oui.
-Peux tu me les décrire?
-Ils étaient en argent pure, la majorité représentait un oiseau dans un cercle.
-Celui là c’est le symbole propre au adepte supérieure du Houhou.

Shingen tira d’une poche dissimulé de son kimono et collier. La parfaite répliques de ce qu’il y avait dans le rêve de Shireisu. Comme il le penser se n’avait pas était qu’une simple illusion du sommeil. Omidemo avait tord. Mais bien trop fier l’esprit loup dit d’une voix gutturale et saccadé:

-Simple hasard.
-Hum… Et les autres?
-Il y en avait un, beaucoup plus abstrait… Shireisu se baissa et commencé à dessiner dans la poussière du sol le symbole qu’il avait vue, au courbe et au pointe. Voilà sa ressemble en gros à ça.

Shingen regarda d’un œil d’analyste le dessin de Shireisu. Il avait un doute sur la nature de celui-ci… Il savait que dans ça vie il l’avait vue une foi. Mais la signification lui restait intouchable, comme si il n’arrivait pas à attraper le souvenir qui lui était lié. Finalement cette incapacité à ce souvenir l’inquiéta. De ses soixante ans en tant que grand Maître du Houhou, sa mémoire ne lui avait jamais fait faut bon, il arrivait toujours à retiré de sa mémoire se qu’il désirait. Il avait beau se faire vieux l’enseignement de la paix le tenait loin des incapacité flagrante de l’age avancé. Cette fois pourtant il ne trouvait plus se dessin dans son passé…

-Je ne connais pas celui là… Mais il m’inquiète.
-En quoi il vous inquiet? Ce n’est qu’un simple dessin.
-J’ai appris à me méfier des simple apparences… Et ce dessin respire à sa simple reproduction une étrange aura malsaine.

Une minute s’écoula, les trois personne s’observait alternativement, tous espérant un échappatoire de la part d’un d’entre eux. Le grand Maître fut le premier. De son pied il effaça le dessin de Shireisu puis se retourna. Et sans les attendre commença à marcher en direction de la lisière de forêt. Shireisu et Omidemo tiquèrent et le suivirent. A se moment même le vieux Sage dit d’une voix sereine mais dans un fond pâle d’une personne effrayé:

-Votre entraînement n’est pas encore arrivé à son terme. Je vais vous présenter la personne qui travaillera avec nous jusqu’à la fin de la « concentration » et se sera lui qui s’occupera de la deuxième notion du Houhou. La « libération ». C’est mon bras droit. Un jeune homme plein de talent, il saura s’occuper de votre enseignement. Il se nomme Makoto.

En effet un garçon, à peine plus âgé que Shireisu méditait sous l’ombre d’un grand arbre au seuil des bois. La peau lisse, peu martelé par les rayon du soleil. Le crâne rasé d’un moine. Son regard encore ouvert malgré sa transe montrait des yeux couleurs de safran. Des lèvre fine comme l’est son nez saillait son visage ovale. Il portait un vêtement de prière blanc, à son coup pendait le fameux collier du Houhou, à l’oiseau encerclé. Il inspiré la plénitude de la sagesse. Et comme son maître un noble sourire apaisait les cœurs de se qu’il rencontrait.
Tout trois attendirent patiemment que le jeune homme finisse ses rituel. Quand il se leva et qu’il leurs adressa la parole c’était comme si Shireisu entendait Shingen. En plus jeune.

-Je suis heureux de vous rencontré, Shireisu, Omidemo. Dit Makoto légèrement incliné. Je suis fier que mon Maître m’ai choisi pour continuer son œuvre de vous rendre proche du Houhou.

Le jeune homme fit un léger sifflement, un oiseau sortit des arbres. Le Houhou. Shireisu aurai put reconnaître l’animal entre mille si il devait. Ce simple volatile libéré une tel énergie de sérénité et de sagesse. Il alla se percher sur l’épaule de Makoto, il y avait entre les deux être comme une sorte de respect mutuel. Enfin le garçon s’adressa directement à Shireisu.

-Votre oiseau et magnifique. Apparemment il désirait vous revoir. Le temple n’est pas le lieu propice pour cette animal légendaire.

A ses mot, le Houhou se retira tranquillement de l’épaule de Makoto et vint se percher sur celle de celui qui l’avait découvert en premier.

-Bien maintenant que cela est fait nous allons pouvoir finir le travail de Maître Shingen. A se qu’il m’a dit il vous a bien enseigné la redirection des techniques d’énergie.
-En effet. Répondirent Shireisu et Omidemo à l’unisson.
-Il vous a donc aussi appris les limites de cette art.
-Oui. Même jeu.
-Ainsi vous savait que les technique trop puissante en énergie ou trop volumineuse ne peuvent être manipulé et redirigé par l’art basique.
-C’est cela. Même jeu.
-Nous en venons donc au fait que je vais vous apprendre une des caractéristique les plus puissante de la Concentration de la Voie. Celle, de la Plénitude du Houhou. Elle vous permettrait de faire ce que les base ne peuvent vous offrir. Évidement qui dit technique plus puissante dit concentration supérieure et donc effort intense. Pour commencer, vous allez vous asseoir et observer notre petite démonstration.
-Bien. Même jeu.

Les deux disciples allèrent s’asseoir sous l’ombre de l’arbre où se trouvait quelque minute plus tôt Makoto en méditation. De leur côté les deux Maître de la Voie se mirent l’un en face de l’autre. Le plus jeune tendis les bras en face de lui, légèrement en biais. Soudain il sembla que des forme fantomatique s’élevèrent de feuille tombé, de caillou, d’herbe et de poussière. C’était des être spectrale d’une pâle teinte bleuté comme la brume du soir. Makoto replia ses bras vers lui. Les esprits s’amoncelèrent entre ses main formant une sphère de plus en plus grosse. Il sembla à Shireisu de voir dans celle-ci des visage d’effroi de colère, d’énergie négative et pourtant si belle… Le Bras droit faisait suivre ce grand esprit de ses bras, le contrôlant parfaitement. L’assemblé était comme hypnotisé de se spectacle magnifique. Tellement hypnotisé que Makoto disparut sans que le remarque dans les trois seconde qui suivirent.
Il était dans les aires. La sphère spirituelle, elle fonçait droit vers Shingen. Apparemment le vieil homme avait vue venir l’attaque il tendit ses mains en la direction. A cinq centimètre de l’impact une puissante onde d’énergie s’échappa entre les mains du Sage et le grand esprit, une tel concentration vaquait dans les yeux du vieillard que rien ne semblait pouvoir le déstabilisé. Enfin après quelque seconde de secousse et de rafale Shingen avait prit le contrôle de l’esprit de son apprenti et lui renvoya.
A nouveau à quelque centimètre de l’impact, l’attaque fut happait par une main tendu de Makoto, puis elle ressorti sous forme d’une immense lance de son doigt pointé sur son maître. Celui-ci avait décidé que la démonstration était terminé repris le contrôle de l’attaque et la braqua vers le ciel avant de la propulser. Elle disparut.
Shireisu et Omidemo était éberlué qu’une tel énergie puisse exister dans se monde et que cette énergie puisse réduire la plus puissante des attaques à la plus mortel pour son invocateur.

-Je pense que vous avez vue tout ce qu’il fallait voir, maintenant c’est à vous de nous montrer ça. Ne vous inquiétez pas nous ferons en sorte que nos attaque ne soit pas trop dangereuse, et si vous n’avait pas le choix esquivait là ou protégez vous en. Dit Shingen.

La suite de la journée ne fut qu’une suite d’explosion et de destruction de la topographie que la carte aurait put afficher de cette clairière quelque jour dans le passé. Cette fois au lieu de la zone herbeuse et lisse fut mis un terrain accidenté de crevasse de plusieurs mètre de profondeur, de faille et de gouffre prenant de plus en plus d’ampleur et un nuage de particule de poussière et de terre régnait en maître.
Makoto avait raison cette technique était radicalement différente de la première bien que quelque point la rattachait à cette dernière. A plusieurs reprise Shireisu dû employer sa vitesse lumière pour éviter une sphère énergétique, et une fois sont corps du prendre la consistance de spectre pour ne pas être grièvement blessé du coté droit et de recevoir les débris expulsés du sol dans la figure.
De son côté Omidemo était en piteuse état, le reste de ses vêtement qui malgré les précédent entraînement était encore à peu prés correcte étaient devenus des lambeaux de tissu salle de poussière de sang et de terre. A mainte et mainte reprise il avait adapté son bras à la roche pour créer un dôme fait à partir des minerais les plus solide et dense du sol, ceci usait très vite ses réserve d’énergie. De chance ses réflexe de loup lui revenait souvent en tête esquivant à un millimètre, un sujet de la douleur.
Nonobstant, à chaque tentative, les deux disciple en apprenait plus sur la manière de prendre possession de la sphère de leur maître. Leurs mains adhérait de plus en plus à la puissance impalpable qui les assaillaient. Cela leurs brûlait littéralement les mains à chaque tentative. Mais leurs volonté de ne pas ressentir la douleur et l’épuisement faisait rage dans leurs tête, tant que aucune blessure qu’ils avaient tatoué sur le corps ne leurs semblait grave.

Shingen projeta une nouvelle sphère vers Shireisu, de son côté Omidemo attendait celle de Makoto. Au fur et à mesure de l’entraînement les deux acolyte c’était promulgué quelque information sur la manière de faire pour réussir l’exercice. Et, comme un puzzle celui-ci c’était éclaircie. Il se sentait tous deux prés à en voir de belle à leurs enseignant.
L’énergie adhéra au paume de leurs mains, d’un même ample mouvement de bras il dirigèrent la puissance incommensurable entre leurs phalange noirci et ensanglanté par les brûlures. Tout deux effectuèrent le même manège que Makoto avait fait en début de journée. Comme pour montrait à leurs maître la pleine maîtrise de cette énergie, Shireisu lança comme un ballon le grand esprit à Omidemo et vis versa tout deux les réceptionnaire parfaitement et dans la seconde suivant les attaque était lâché droit vers Makoto et Shingen. Les deux grand esprit se réunir en un seul. Comme pour clore le jeu les deux maître firent face à leurs propre attaque, et par des mouvement parfaitement calculait faisant des deux hommes, une seul et même entité. La puissance fut projeté vers le ciel comme une étoile filante.
Il devait être plus de deux heures de l’après midi. Les nuages avait prit les cieux. Eux, ils avaient réussi l’exercice. En plus de huit heure intense.

Ils étaient tous rentrés au temple après plusieurs jours d’absence. La nuit était tombé sur les beaux bâtiments de Terayama. Ils avaient enfin terminé l’entraînement traitant de la première partie de l’initiation du Houhou. Le dernière exercice n’avait pas était des plus simple à la compréhension… En effet après avoir compris la manière de redirection des attaques d’énergie surpuissante, en l’analysant au premier contact pour pouvoir se l’approprier, Makoto et Shingen leurs avaient expliqué ce qu’ils appelaient « la concentration du Houhou »…

-Nous arrivons à la fin de la première initiation. Et pour clore le spectacle voici votre dernière exercice. Commença Shingen.
-Cette fois si, cela ne concerne pas votre adversaire mais vous, comme dans plusieurs exercice où vous avez appris à mieux vous contrôler celui là va vous apprendre à ne rien dépenser de votre énergie physique comme spirituelle si précieuse. Continua Makoto.
-Cette apprentissage comme vous vous en doutez va vous ouvrir de nombreuse porte stratégique. Mais comme chaque avantage vous allez devoir travailler dure pour atteindre la fin.
-Ici, à nouveau, vous devrez employer du mieux que vous le pouvez votre volonté et votre concentration. De toute manière, dans le Houhou se sont des mots clés. En tout cas dans la première partie.
-Une fois que vous aurez saisi la complexité de la technique et que vous commencerez à l’employer correctement cela ne sera qu’une question de temps avant d’y arriver complètement et finalement d’atteindre la finalité de la concentration de la Voie de la Paix.

A la suite de cette explication, aussi vaseuse et peu compréhensible, les deux maîtres avaient demandé à Omidemo et Shireisu de se vider complètement de leurs énergie. Pendant deux grande heure ils c’étaient employés tout quatre à atteindre cette objectif. Ce fut des heures pénible pour les disciples. Minute par minute ils sentaient perdre une partie d’eux même. Leur esprit était assailli par des flèches de volonté de plus en plus forte. Les murs spirituelle devenu complètement autonome s’élevaient, valsaient, se tordaient pour enfin s’effondrer pour se reconstruire et ainsi de suite. Bref chaque parti étaient attaquées pour que les deux compagnons pour que le but soit atteint. Ce, qui à force fut le cas…


-Ce fut laborieux mais vous voilà enfin à bout de force. Fit Shingen souriant de compati.
-Ne vous foutez pas de nous Maître, vous y avez prit du plaisir. Attaqua Omidemo assis, haletant.
-Â! Sa c’est bien vrai! Éclata de rire le vieux.
-Trêve de plaisanterie que voulez vous de nous, maintenant? Demanda Shireisu reprenant son souffle.
-En effet il est temps de continuer. Shingen, à toi l’honneur. Renchéri le bras droit de la Voie du Houhou.
-C’est trop de bonté! Je…
-Shingen! Fulmina l’esprit loup au yeux haineux.
-Bon, bon… Alors, attaquez nous.
-Je vous ai dis quoi un peu plus tôt! De ne pas vous foutre de n’autre poire! j’avais pourtant l’impression d’avoir était clair dans mes foutu propos! Explosa Omidemo.
-Bah… Tu vois tu es capable de nous attaquer verbalement… Alors pourquoi pas physiquement? S’enquit Makoto, connaissant trop peu le caractère enflammé du loup.
-Mais c’est qu’il continu le pleutre!
-Omidemo, calme. Dit sèchement Shireisu, se qui calma immédiatement son compagnon. Crois tu franchement que si Shingen nous dis sa c’est pour se foutre de nous? Ne te souviens tu plus devant le fleuve quand il nous à dis de le traverser sans marcher dessus?
-Hum… C’est vrai. Mais à cette époque j’étais pas à bout de nerf et d’énergie.
-Tu es si fatigué que tu arrives a gueuler plus fort que d’habitude.
-Tu me connais non?
-Trop bien…

Shireisu sourit à se souvenir de cette discussion éruptive entre maître et disciple. Il était à cette heure assis sur une branche solide d’un arbre, dans un coin tranquille d’un des jardins innombrable du temple. Il s’enquit à se souvenir se qui c’était passé après… Souvenir douloureux. Quoi de plus normal. Dépourvu d’énergie ils avaient d’abord du se remettre debout tant bien que mal. Ce simple effort avait prit un temps fou. Preuve qu’ils étaient vraiment à bout. La suite ne fut pas moins invraisemblablement difficile. Mais à force d’effort certain souvenir des paroles des deux Sage leurs revinrent.
Le jeune homme sourit de plus belle en se remémorant les détails de la scène. Comment avait-il put oublier leurs dire comme quoi il faudrait à nouveau employer les mot clés qui régissais la Concentration parfaite première initiation de la Voie. Heureusement tout de même qu’ils s’en soient souvenus seulement une heure après… Leurs enseignements de shinobi leurs avaient enseigné auparavant de ne pas sous estimer le travail d’équipe. C’est pour cela sans doute qu’ils se donnaient des conseils mutuellement au fur et à mesure du temps. Et ces conseils portait leurs fruit.
Bien que tout deux aimes la solitude, quand il s’agit de devenir plus fort, de devenir leur vrai maître, là ils s’unissaient pour démolir tout propos de faiblesse les concernant, c’est comme sa que pendant toute ses année de cohabitation spirituelle puis de camaraderie ils avaient atteint un tel niveau que personne de sensé les aurais attaqué sans réfléchir deux seconde à une stratégie d’approche. Bref, les uns comme les autres étaient tous mort et ne pouvaient en témoigner. Du moins… Vivant.
Shireisu se souvint alors durant leurs essaie de plus en plus efficace, les deux maître s’échangeaient quelque mots en messes basses…


-Quand penses tu? Interrogea le vieux maître.
-Pas grand-chose… Juste qu’à eux deux ils deviendront beaucoup plus que tout un peuple…
-Pourquoi cela?
-Aucun apprenti, moi compris, n’avons réussi l’exploit de l’initiation courte… Personne à ma connaissance est allé aussi loin en si peu de temps.
-C’est sûr sans les notes du fondateur du Houhou aucun des grand Maître n’auraient su qu’il existait une méthode d’apprentissage courte.
-Qui était t-il se fondateur d’ailleurs.
-Un homme ayant plus de deux millénaires d’age qui était dans l’ombre des hauts rang. Aujourd’hui nous n’avons aucun souvenir de cette homme, même pas son corps…
-Je vois.


Ainsi il ne restait rien du fondateur du Houhou et de Terayama sur terre… Cette information embêtait franchement Shireisu, car il comptait bien trouvé des données sur cet homme qu’il savait lié à son rêve. Mais lors de l’entraînement, les idées n’avaient pas étés placé sur ça. D’ailleurs se fut à se moment précis qu’il avait compris comment ne dépenser aucune énergie. Sa volonté entière était cadré sur cette idée, et sa concentration portait toute son attention sur ses muscles et neurones.
Quand Makoto et Shingen virent l’Atsugai arriver sur eux ,il était trop tard pour l’esquiver ils durent donc employer la fameuse « Ignorance » du Houhou. La flèche les traversa sans les atteindre comme si ils avaient était à mille lieu de sa trajectoire, et alla s’écrasé contre un rocher proéminant plus loin le perforant de tout son long. Quelque seconde après les deux Maîtres durent la vie à un excellent réflexe pour éviter une explosion… D’Omidemo.
Après cette épisode troublant les Sages c’était observé les yeux surpris. Leurs élèves avait compris comment ne pas utiliser d’énergie. Un petit rire au souvenir de leurs tête sortit des lèvres de Shireisu. Ensuite les deux compagnons s’amusait à manipuler leur élément alors que le manque d’énergie spirituelle et physique était visible à l’œil nue. Pourtant leurs main se transformer en eau, en air, en poison, en foudre pour l’un et pour l’autre en terre en feu et aussi en liquide drogue mortel. Ce fut les derniers mot des Maîtres qui les soulagèrent le plus…


-Et… Et bien… Bégaya Shingen attirant le sourire d’Omidemo.
-Il ne fait plus aucun doute que vous avez réussi l’exercice haut la main. Continua Makoto plus assuré que son aîné.
-Nous allons donc rentrer au temple dés maintenant.
-Pour la deuxième partie, nous passerons à la théorie cette nuit à minuit.
-La faite des morts commence d’ailleurs à cette même heure se qui sera fort intéressant pour la suite.
-Alors en route. Vous pourrez prendre du repos quelque heure et aussi vous laver et vous changer.

Ils avaient atteint le temple une heure plus tôt. Omidemo avait directement disparut dans les grand jardin. Il avait sûrement profité de se moment de calme et cette possibilité de solitude pour aller vagabonder sous sa forme animal ainsi qu’aller chasser. De son côté, Shireisu c’était installé sur l’arbre à réfléchir et se souvenir de tout se qui c’était passé jusqu’à ce jour. Il avait changé aujourd’hui. Il se sentait… Plus complet. Prés à vivre le premier jour du reste de sa vie du mieux qu’il le peu. Une vie qui était loin d’être terminé. Beaucoup de chose il allait découvrir de lui-même et du monde qui l’entoure.

-Je tien à dire que chaque RP de se topic son dépendant les un des autres pour la technique. Donc chaque ligne ici présente tienne toute pour chaque abtitude qu'offre la technique de la "concentration parfaite".
-Le RP complet fait en gros 1400 lignes, d'aprés une téorie calculatoir simple.
-Tout changement de mes dosage de chakra doivent être vue avec moi et avec mon accord.
-Si vous avez besoin (Admin) de quelquonque explication à propos de ma technique voyais ça avec moi soit par MP soit par Msn. Comme pour les modification de dosage.


Concentration primaire: Permet d’esquiver n’importe qu’elle attaque au corps à corps ou projectile. Les attaques goken porté par l’utilisateur son issus du niveau de l’adversaire (attaque de base+ niveau de l’adversaire = attaque utilisateur.)
x2 légèreté, force, agilité, concentration, souplesse et réflexe.
PC: -30/esquive

Concentration secondaire: Permet d’esquiver 50% des attaque de Chakra. Elle permet aussi de rediriger les attaques esquivées (Dégât de l‘attaque inférieure a 250).
x3 légèreté, force, agilité, concentration, souplesse et réflexe.
PC: coût de l’attaque esquiver ou redirigé divisé par 2.

Concentration finale: Permet d’esquiver 75% des attaque de chakra et la totalité des attaque au corps à corps et des projectiles. Même assommé. Elle permet aussi de rediriger les attaques esquivées (Dégât de l‘attaque inférieure à 350).
x5 légèreté, force, agilité, concentration, souplesse et réflexe.
PC: -90/tour

Concentration du Houhou: Désactive toute consommation de Chakra pendant trois tour. Et amplifie de 500 la force vital.
PC: -700

Concentration sans limite: Cette concentration est tellement forte que aucun Genjutsu ne peut affecté l’utilisateur, ou peut briser un Genjutsu de la même manière aucun esprit peut pénétrer celui de l‘utilisateur.
PC: -100

Plénitude du Houhou: Permet une technique contre force sur toute technique faisant plus de 500 dégâts PC ou PV, renvoie l’attaque à son utilisateur avec la même intensité, ajouté à cela toute les capacité de la concentration finale (dure deux tours).
x6 légèreté, force, agilité, concentration, souplesse et réflexe.
PC: Le nombre de dégât de l’attaque renvoyé.

Bien, bien, bien. Alors tout d'abord, encore du désolé de l'attente pour te corriger. Passons en directement au fait.

Alors, superbe RP, super compréhensible, bien formé, belle histoire (qui tient debout)... Une belle écriture, avec des termes variés.
Seulement... fais attention à l'orthographe, je suis sûr qu'en te relisant tu ferais deux à trois fois moins de fautes (d'inattention).

Je te propose des modifications directement dans ce post, en fonction de ce que tu m'as proposé, de ce que j'ai vu dans le RP, et de ce qui est le mieux pour pas que tu sois Superman.Terminé les louanges et les blâmes, on attaque directement ta concentration. Alors :


- Concentration primaire
Effets : Permet d'esquiver n'importe quelle attaque au corps à corps ou projectile qui ne nécessite pas une utilisation de Chakra de l'adversaire.
X2 légèreté, force, agilité, concentration, souplesse et réflexe.
Attaque goken : Permet l'addition de la puissance de l'utilisateur et celle de son adversaire pour faire plus de dégâts (exemple : Shireisu se bat contre un Kage, ça va faire 50 dégats par coup (25 25).)
Coût : - 30 Chakra/Esquive

- Concentration secondaire
Effets : Permet d'esquiver 50% des attaques de Chakra (Taijutsu, Ninjutsu). Elle permet aussi de renvoyer les attaques esquivées dans la direction que l'on souhaite (généralement contre son adversaire).
Ces esquives et contre-attaques ne concernent que les attaques inférieures ou égales à 250 dégats.
X3 légèreté, force, agilité, concentration, souplesse et réflexe.
Coût : 50% Chakra de la technique esquivée

- Concentration finale
Effets : Permet d'esquiver 75% des attaques de Chakra (Taijutsu, Ninjutsu) ainsi que toutes les attaques ne nécéssitant pas de Chakra. Elle permet aussi de renvoyer les attaques esquivées dans la direction que l'on souhaite (généralement contre son adversaire).
Ces esquives et contre-attaques ne concernent que les attaques inférieures ou égales à 350 dégats.
X5 légèreté, force, agilité, concentration, souplesse et réflexe.
Coût : - 50 Chakra/Tour 40% Chakra de la technique esquivée

- Concentration du Houhou
Effets : Désactive toute consommation de Chakra.
Augmente la vie de 500 points.
La concentration dure 3 Tours au maximum.
Coût : Aucun. N'est utilisable qu'une fois par combat.

- Concentration sans limite
Effets : Entre dans une concentration qui permet de repousser plus aisément les Genjutsu. Si l'utilisateur repousse trop de Genjutsu dans un combat alors il fatigue et ne peut plus utiliser de Chakra pendant un certain labs de temps.
Coût : 50% Chakra du Genjutsu repoussé. Repousse jusqu'à 1000 dégats de Genjutsu. Une fois les 1000 dégats repoussés, l'utilisateur rentre dans un état de fatigue qui lui empêche d'utiliser du Chakra pendant 1 Tour. Cette concentration, une fois épuisée, n'est réutilisable seulement après le tour de fatigue passé.

- Plénitude du Houhou
Effets : Entre dans une concentration extrême. Dès qu'une attaque supérieure ou égale à 500 dégâts s'approche de l'utilisateur de la voie du Houhou, alors il a la possibilité de s'approprier la technique pour la renvoyer sur son adversaire.
X6 légèreté, force, agilité, concentration, souplesse et réflexe.
Coût : 80% Chakra de la technique adverse (Taijutsu, Ninjutsu)


La Voie du Houhou empêche à Shireisu d'obtenir une spécialité (Bijuu, Sceau Maudit, Eisei Nin, Hachimon Tonkou). Cela explique l'utilisation de la concentration du Houhou sans Chakra.

Voilà, voilà. Si tout cela est réglé, ta technique sera acceptée dans ces critères